
Pochettes Vinyles Mythiques
- shadrap
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Dans 50 ans cette pochette sera toujours 

Garrard 401 / Ortofon RS 212 - NDX2 - CDI - NAC72 / Hicap - NAP 250 - ATC scm 20



- nicolas
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
J'aurais pu placer ce message ailleurs mais comme cet album est une (la ? ) référence du rock psychédelique japonais paru en 1971, je me suis dit que ça intéresserait les lecteurs de cette rubrique.
Malheureusement je ne l'ai qu'en cd, l'édition vinyle est intouchable. En dehors de la langue qui apporte une touche exotique, kuni kawachi utilise différents instruments ou percussions japonais et, tout en restant influencé par le rock psyché américain, c'est différent et intéressant.

Malheureusement je ne l'ai qu'en cd, l'édition vinyle est intouchable. En dehors de la langue qui apporte une touche exotique, kuni kawachi utilise différents instruments ou percussions japonais et, tout en restant influencé par le rock psyché américain, c'est différent et intéressant.

- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
LED ZEPPELIN– 1969 : Les New Yardbirds
Le 1er album de LED ZEPPELIN est sorti début janvier 1969, et il est considéré, à juste titre, comme étant un disque majeur, au même titre que BEGGARS BANQUET des Stones ou le 1er LP des DOORS.
Il est surtout associé au début du HARD ROCK.
Or, pour moi, GUN avec RACE WITH THE DEVIL sorti l’année précédente, avait devancé LED ZEPPELIN.
Après la fin des YARDBIRDS à la fin de l’été 68, Jimmy PAGE avait eu l’idée de fonder un nouveau groupe, beaucoup plus « heavy » que ne l’était les YARDBIRDS, basé sur un concept de vieux blues hyper amplifié, gorgé de solos de guitare, et surtout supporté par une rythmique d’enfer.
Car la nouveauté du son du ZEPPELIN venait essentiellement de l’importance prise par la rythmique basse-batterie, sur laquelle Jimmy PAGE allait poser son jeu de guitare incendiaire.
L’idée d’une telle musique avait déjà été abordée par Jeff BECK depuis la formation en 68 du JEFF BECK GROUP et ses 2 albums TRUTH et BECK OLA.
Il faut rappeler que Jimmy PAGE et Jeff BECK, de son vrai nom Geoffrey ARNOLD, se connaissaient depuis l’âge de 15 ans, et étaient devenus les meilleurs amis du monde du fait de leurs goûts communs pour la guitare électrique et le Blues.
Ils ont fait connaissance grâce à la sœur de BECK, qui avait remarqué que PAGE, alors éléve d’un lycée d’EPSOM, avait conçu la même guitare que son frère.
Après leur rencontre, ils ne se sont plus quittés, et on peut considérer, que c’est pendant leurs innombrables heures de répétition dans la chambre de Jimmy PAGE, durant lesquelles ils échangeaient toutes leurs techniques et toutes leurs compétences, que le son de LED ZEPPELIN est né.
Après avoir joué ensemble au sein des YARDBIRDS en tant que lead guitare, leur rivalité a atteint son paroxysme et les nombreux faux-pas de BECK l’ont poussé vers la sortie fin 66.
On peut les voir dans le film d’ANTONIONI, BLOW-UP, interpréter STROLL ON (en fait c’est TRAIN KEPT A ROLLIN rebaptisé pour des questions de droits).
PAGE est donc devenu le seul maître à bord des YARDBIRDS, mais il n’arrivera jamais à les faire décoller, et ils restèrent toujours dans l’ombre des géants de l’époque.
Après une dernière tournée aux USA mi 68, PAGE décida de former les NEW YARDBIRDS, le super groupe dont il rêvait, avec ses idées et ses musiciens.
Le choix des membres fut épique, car PAGE voulait le chanteur Terry REID, mais celui-ci avait son propre groupe, JAYWALKERS, et refusa. Il venait de signer d’ailleurs un contrat avec Mickie MOST.
Le 1er à rejoindre le groupe fut John Paul JONES, qui avait travaillé avec PAGE et BECK sur le fameux BECK’S BOLERO du JEFF BECK GROUP.
JONES avait également travaillé sur SATANIC MAJESTIES REQUEST des Stones et jouaient de nombreux instruments, en particulier du piano et du mellotron (le son de KASHMIR, c’est lui).
Après avoir refusé le rôle, REID conseilla à PAGE d’aller voir un chanteur qui officiait dans un groupe totalement inconnu, HOBBSTWEEDLE. Rober PLANT n’avait que 20 ans et était passionné par le blues et le son de San Francisco. C’était un admirateur du groupe LOVE. Sa voix fantastique ne tarda pas à enchanter Jimmy PAGE qui vit le potentiel de ce jeune hurleur de blues, mais également sa facilité à chanter les ballades.
Une fois engagé, PLANT conseilla à PAGE d’aller écouter son ancien pote du BAND OF JOY, qui d’après lui avait le potentiel physique pour obtenir le son de batterie qu’il désirait insuffler à son nouveau groupe.
PAGE fut conquis immédiatement par John BONHAM.
Le groupe était donc au complet.
Restait un problème sur le nom : NEW YARDBIRDS. Le producteur Peter GRANT trouvait que ce n’était pas très novateur, et c’est Keith MOON qui eut l’idée de LEAD BALLOON, puis LEAD ZEPPELIN avec un « a ».
GRANT décida que ce serait LED ZEPPELIN, afin que les américains ne prononcent pas LEAD en LEED.
Les héritiers des Von Zeppelin ont essayé d'empêcher l'utilisation de leur nom, prétextant que l'honneur de leur famille était bafoué par une horde de voyous, mais en vain.
LED ZEPPELIN était né et allait devenir le plus grand phénomène rock des années 70.
Voici leur 1er LP.
A noter que le tout 1er pressage UK était présenté avec un lettrage Turquoise, bien vite remplacé par le lettrage Orange.
Le lettrage Turquoise, tiré en très petite quantité, est devenu collector et s'arrache sur ebay ou discogs à des prix indécents (plusieurs milliers d'Euros voire jusqu'à 10.000 € !).
Les 2 pochettes sont présentées ici, mais le lettrage Turquoise a été truqué à partir de mon exemplaire qui, hélas est un Orange.
J-Luc



Le 1er album de LED ZEPPELIN est sorti début janvier 1969, et il est considéré, à juste titre, comme étant un disque majeur, au même titre que BEGGARS BANQUET des Stones ou le 1er LP des DOORS.
Il est surtout associé au début du HARD ROCK.
Or, pour moi, GUN avec RACE WITH THE DEVIL sorti l’année précédente, avait devancé LED ZEPPELIN.
Après la fin des YARDBIRDS à la fin de l’été 68, Jimmy PAGE avait eu l’idée de fonder un nouveau groupe, beaucoup plus « heavy » que ne l’était les YARDBIRDS, basé sur un concept de vieux blues hyper amplifié, gorgé de solos de guitare, et surtout supporté par une rythmique d’enfer.
Car la nouveauté du son du ZEPPELIN venait essentiellement de l’importance prise par la rythmique basse-batterie, sur laquelle Jimmy PAGE allait poser son jeu de guitare incendiaire.
L’idée d’une telle musique avait déjà été abordée par Jeff BECK depuis la formation en 68 du JEFF BECK GROUP et ses 2 albums TRUTH et BECK OLA.
Il faut rappeler que Jimmy PAGE et Jeff BECK, de son vrai nom Geoffrey ARNOLD, se connaissaient depuis l’âge de 15 ans, et étaient devenus les meilleurs amis du monde du fait de leurs goûts communs pour la guitare électrique et le Blues.
Ils ont fait connaissance grâce à la sœur de BECK, qui avait remarqué que PAGE, alors éléve d’un lycée d’EPSOM, avait conçu la même guitare que son frère.
Après leur rencontre, ils ne se sont plus quittés, et on peut considérer, que c’est pendant leurs innombrables heures de répétition dans la chambre de Jimmy PAGE, durant lesquelles ils échangeaient toutes leurs techniques et toutes leurs compétences, que le son de LED ZEPPELIN est né.
Après avoir joué ensemble au sein des YARDBIRDS en tant que lead guitare, leur rivalité a atteint son paroxysme et les nombreux faux-pas de BECK l’ont poussé vers la sortie fin 66.
On peut les voir dans le film d’ANTONIONI, BLOW-UP, interpréter STROLL ON (en fait c’est TRAIN KEPT A ROLLIN rebaptisé pour des questions de droits).
PAGE est donc devenu le seul maître à bord des YARDBIRDS, mais il n’arrivera jamais à les faire décoller, et ils restèrent toujours dans l’ombre des géants de l’époque.
Après une dernière tournée aux USA mi 68, PAGE décida de former les NEW YARDBIRDS, le super groupe dont il rêvait, avec ses idées et ses musiciens.
Le choix des membres fut épique, car PAGE voulait le chanteur Terry REID, mais celui-ci avait son propre groupe, JAYWALKERS, et refusa. Il venait de signer d’ailleurs un contrat avec Mickie MOST.
Le 1er à rejoindre le groupe fut John Paul JONES, qui avait travaillé avec PAGE et BECK sur le fameux BECK’S BOLERO du JEFF BECK GROUP.
JONES avait également travaillé sur SATANIC MAJESTIES REQUEST des Stones et jouaient de nombreux instruments, en particulier du piano et du mellotron (le son de KASHMIR, c’est lui).
Après avoir refusé le rôle, REID conseilla à PAGE d’aller voir un chanteur qui officiait dans un groupe totalement inconnu, HOBBSTWEEDLE. Rober PLANT n’avait que 20 ans et était passionné par le blues et le son de San Francisco. C’était un admirateur du groupe LOVE. Sa voix fantastique ne tarda pas à enchanter Jimmy PAGE qui vit le potentiel de ce jeune hurleur de blues, mais également sa facilité à chanter les ballades.
Une fois engagé, PLANT conseilla à PAGE d’aller écouter son ancien pote du BAND OF JOY, qui d’après lui avait le potentiel physique pour obtenir le son de batterie qu’il désirait insuffler à son nouveau groupe.
PAGE fut conquis immédiatement par John BONHAM.
Le groupe était donc au complet.
Restait un problème sur le nom : NEW YARDBIRDS. Le producteur Peter GRANT trouvait que ce n’était pas très novateur, et c’est Keith MOON qui eut l’idée de LEAD BALLOON, puis LEAD ZEPPELIN avec un « a ».
GRANT décida que ce serait LED ZEPPELIN, afin que les américains ne prononcent pas LEAD en LEED.
Les héritiers des Von Zeppelin ont essayé d'empêcher l'utilisation de leur nom, prétextant que l'honneur de leur famille était bafoué par une horde de voyous, mais en vain.
LED ZEPPELIN était né et allait devenir le plus grand phénomène rock des années 70.
Voici leur 1er LP.
A noter que le tout 1er pressage UK était présenté avec un lettrage Turquoise, bien vite remplacé par le lettrage Orange.
Le lettrage Turquoise, tiré en très petite quantité, est devenu collector et s'arrache sur ebay ou discogs à des prix indécents (plusieurs milliers d'Euros voire jusqu'à 10.000 € !).
Les 2 pochettes sont présentées ici, mais le lettrage Turquoise a été truqué à partir de mon exemplaire qui, hélas est un Orange.
J-Luc



Modifié en dernier par JLH le 11 mai 2018, 09:56, modifié 2 fois.
Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dreams...
- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Pourquoi pas les mythiques 45 tours?
Le meilleur ne serait-il pas "the last time" des stones?


A moins que ce soit celui-ci, avec Satisfaction ?


Ou peut-être celui-là des Beatles ?

Moi, je vote pour "the last time", qui a vraiment été un déclencheur pour moi.
J-Luc
Le meilleur ne serait-il pas "the last time" des stones?


A moins que ce soit celui-ci, avec Satisfaction ?


Ou peut-être celui-là des Beatles ?

Moi, je vote pour "the last time", qui a vraiment été un déclencheur pour moi.
J-Luc
Modifié en dernier par JLH le 18 août 2012, 14:09, modifié 1 fois.
Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dreams...
- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Autres singles devenus mythiques :
Les Beatles en manteau de fourrures pour TICKET TO RIDE :

Celui des EASYBEATS, groupe parmi lequel figurent les célèbres VANDA & YOUNG, producteurs D'A C/DC.

POLNAREFF en 66 avec sa Poupée, et sa musique inspirée des groupes de San Francisco.

Encore les STONES en 68, remis sur le droit chemin du Rock, après leurs errances psychédéliques:


Enfin et surtout, mon single préféré avec MOTHERS'S LITTLE HELPER ("What a drag it is getting old" !!), LADY JANE et le sublime PAINT IT BLACK:

J-Luc
Les Beatles en manteau de fourrures pour TICKET TO RIDE :

Celui des EASYBEATS, groupe parmi lequel figurent les célèbres VANDA & YOUNG, producteurs D'A C/DC.

POLNAREFF en 66 avec sa Poupée, et sa musique inspirée des groupes de San Francisco.

Encore les STONES en 68, remis sur le droit chemin du Rock, après leurs errances psychédéliques:


Enfin et surtout, mon single préféré avec MOTHERS'S LITTLE HELPER ("What a drag it is getting old" !!), LADY JANE et le sublime PAINT IT BLACK:

J-Luc
Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dreams...
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
ERIC CLAPTON – NO REASON TO CRY - 1976 : God Ou Slowhand ?
« Tu sais, il faut vraiment que tu commences à chanter ; tu devrais être à la tête de ton propre groupe. Tu as reçu un don de Dieu, et si tu ne t’en sers pas, il te le reprendra ! »
C’est ce que dit Delaney BRAMLETT à Eric Clapton un beau jour de 70, alors que ce dernier, au sortir de BLINDFAITH, accompagne quelques temps le groupe Delaney & Bonnie.
Avant cela, Clapton a déjà joué dans Les YARDBIRDS, puis avec John MAYALL, et enfin avec CREAM.
Il écoute donc le conseil de Delaney, forme DEREK & THE DOMINOS, puis enregistre le fameux double album LAYLA avec Duane ALLMAN.
La tournée qui suit la parution de cet album est malheureusement un échec retentissant, sans doute d'une part parce qu'il n’est pas fait mention du nom Eric CLAPTON dans l'appellation du groupe, mais d'autre part , surtout à cause de l'absence de Duane ALLMAN tué accidentellement au guidon de sa moto en août 71, alors qu’il devait participer aux concerts à travers les USA.
Eric CLAPTON retombe ensuite dans ses vieux démons, l’alcool et la drogue. Sa passion amoureuse pour Patti BOYD, alors épouse de son meilleur ami Georges HARRISON, n’arrange pas les choses. Il se mure alors dans un silence de 3 ans et devient un véritable junkie.
C’est Pete TOWNSHEND, leader des WHO, qui le sort de sa torpeur, en le persuadant de reprendre sa guitare lors d’un concert au Rainbow en 73. Bien que Clapton soit alors en triste état, il accepte le défi et reprend ensuite peu à peu goût à la vie et à la musique. Il va d'ailleurs connaître la période la plus prolifique de sa carrière avec 4 albums déterminants entre 1974 et 1978.
Pour illustrer ce retour en grâce, j’aurais pu choisir le magnifique 461 OCEAN BOULEVARD, l’album du renouveau, ou SLOWHAND, sans doute son disque le plus accompli, voire même BACKLESS, l’album de 78 sur lequel il excelle sur une reprise, encore une, de JJ CALE. J'ai finalement retenu NO REASON TO CRY, sorti en 76, enregistré en 1 mois, fin 75, à Los Angeles au célèbre studio Shangri-La.
Depuis sa période DEREK, CLAPTON a laissé tomber sa LES PAUL pour ne jouer, sur le conseil de Stevie WINWOOD, que sur une FENDER Stratocaster, qu’il s’est confectionné lui-même à partir de 3 Stratos achetées d’occasion.
Il a également gagné des sommes colossales avec la tournée ayant suivi la sortie de l’album 461 OCEAN BOULEVARD, et vit aux Bahamas avec Patti BOYD. Celle-ci a en effet succombé à la cour assidue du guitariste et a définitivement quitté Georges Harrison. Elle décide de rejoindre Eric Clapton au beau milieu de sa tournée US.
Il est alors dans une période de totale insouciance et sa créativité est à son zénith.
DYLAN l’avait invité à jouer sur les sessions de DESIRE. Après une attente interminable, Clapton avait enfin pu jouer ses parties de guitare sur quelques morceaux. Mais comme toujours, au dernier moment, Bob décide de tout changer et les parties de Clapton passent à la trappe.
Pour se faire pardonner, DYLAN lui promet de lui composer une chanson et même de venir la chanter avec lui sur son futur album.
Pendant cette période bénie de 5 ans, Clapton, las de jouer son sempiternel Blues traditionnel, décide de faire évoluer sa musique, afin de lui donner une orientation plus moderne.
L’album live EC WAS HERE sorti en 75, devait être son dernier disque de blues avant un long moment ; il faudra attendre ensuite FROM THE CRADDLE, sorti en 96, pour son vrai retour à cette musique.
Il s’oriente donc vers la musique Californienne alors très en vogue, après la prise de pouvoir des Eagles et de Fleetwood Mac. Il joue pas mal de reprises, de Marley ou de JJ Cale, et il faut reconnaître que ça lui a bien réussi. Il cherche alors uniquement à se faire plaisir et son groupe composé, entre autres, de son vieux complice des dominos Carl RADLE, ainsi que la chanteuse Yvonne ELLIMAN, est très à l’aise sur ce type de musique.
En conséquence, NO REASON TO CRY est un album très varié, plein de fraîcheur, regorgeant de belles mélodies, mais surtout imprégné par le jeu de guitare lumineux de Clapton.
J’ai écouté ce disque un nombre incalculable de fois, et je le trouve toujours aussi bon, et sans aucune faille.
Clapton y est accompagné de prestigieux musiciens, dont Dylan, du BAND avec entre autres Robbie Robertson, et même de Ronnie WOOD, alors tout nouveau membre des Stones.
Les titres sont superbes. Mais, pour faire un GRAND DISQUE, il faut avoir un GRAND TITRE, une locomotive en somme, le petit quelque chose en plus, qui soutient en permanence le reste du disque, quelque chose auquel on se réfère sans cesse, et qui nous pousse à le réécouter.
Cette merveille, une véritable pépite, c’est la chanson de DYLAN, alors dans une période de créativité inouïe, qui la lui offre, avec SIGN LANGUAGE.
La chanson ne dure que 3 minutes, mais c’est une splendeur, sans doute une des meilleures jamais écrites par DYLAN, qui d’ailleurs, chante un couplet, de son incroyable voix.
La touche finale, et qui fait que la chanson va entrer dans la postérité, c’est Robbie ROBERTSON qui la lui donne, avec un inoubliable solo de guitare en vibrato, que Clapton admirait tant.
Le reste de l’album est très varié. Tous les morceaux sont d’un haut niveau et surtout impeccablement interprétés.
On y trouve des ballades, comme BEAUTIFUL THINGS, qui ouvre l’album ou le magnifique BLACK SUMMER RAIN qui le clôture.
Clapton nous prouve également que son jeu de guitare se prête parfaitement au rock et le montre sur CARNIVAL, HELLO OLD FRIEND et surtout HUNGRY sur lequel il plante un solo épileptique de slide.
Il se prend même pour Jimmy PAGE sur une reprise d’Otis RUSH, DOUBLE TROUBLE sur lequel il est impérial, et qui fait bougrement penser au SINCE I’VE BEEN LOVING YOU de LED ZEPPELIN.
L’ambiance, pendant l’enregistrement, est paraît-il très arrosée, et il régne dans le studio une atmosphère de « bordel ambiant », mais le résultat est au rendez-vous.
Le son du VINYLE est excellent, mais le CD est assez décevant. Dommage.
Mais en montant le son, on appréciera quand même.
Il ne faut passer sous aucun prétexte à côté d’un tel disque, d’autant qu’il est resté très méconnu.
Qui en parle encore aujourd’hui, à part moi ?
L’année suivante, Clapton sortait SLOWHAND, puis en 78, BACKLESS avec à nouveau 2 titres de Dylan, spécialement composés par le maître pour la circonstance.
Durant la tournée de 79 qui a suivi la sortie de BACKLESS, Clapton invite tous les soirs sur scène, Patti BOYD, qu’il vient d’épouser, afin de lui chanter GOLDEN RING, une de ses plus belles compositions.
« If I Gave to you a golden ring, would I make you happy, would I make you sing ? »
Hélas, Eric allait traverser les années 80 dans une déchéance totale. Se séparant de tout son groupe 81 avec qui il jouait depuis des années, accro à l’alcool tout comme l’était Jim Morrison, multipliant les cures de désintoxication ainsi que les comeback ratés, il n’enregistra plus rien de valable. Ce n’est qu’au milieu des années 90 et grâce à quelques disques de blues purs qu’il allait revenir sur le devant de la scène musicale, ainsi qu’un disque plutôt réussi avec JJ CALE en 2008.
Ah, Eric CLAPTON… j’ai tellement aimé ce musicien, autant pour sa musique d’ailleurs, que pour la vie incroyable qu’il a eue, parsemés sans cesse de démons et de drames.
Personnage passionnant et attachant, à la jeunesse brisée, à la fois fragile et fort, ayant réussi à se débarrasser de l’alcool et la drogue après la mort affreuse de son fils de 4 ans CONNOR, tué en 90.
Eternel amoureux et hélas malheureux en amour, lui, alors qu’il fréquentait en 90 un mannequin italien, une certaine CARLA B., eut le malheur de la présenter à JAGGER, qui bien-sûr, la lui piqua aussitôt pour en faire sa maîtresse pendant plus de 10 ans.
Aujourd’hui, il semble enfin avoir trouver la paix avec sa jeune épouse MIA et ses 3 filles. Il a fondé une clinique, Crossroads, afin d’aider les alcooliques à guérir. Il est richissime et vit dans sa propriété de toujours, dans le Surrey, à HURTWOOD, dont il dit éprouver un sentiment spécial, toujours le même au moment de rentrer après une longue tournée, en parcourant le dernier kilomètre jusqu’à ce qu’enfin apparaisse sa maison et ainsi pouvoir bénéficier d’un repos bien mérité, entouré de sa petite famille, mais aussi et surtout, de ses guitares.
NB : Vous pouvez retrouvez également cette chronique ici :
Chronique NO REASON TO CRY
J-Luc




« Tu sais, il faut vraiment que tu commences à chanter ; tu devrais être à la tête de ton propre groupe. Tu as reçu un don de Dieu, et si tu ne t’en sers pas, il te le reprendra ! »
C’est ce que dit Delaney BRAMLETT à Eric Clapton un beau jour de 70, alors que ce dernier, au sortir de BLINDFAITH, accompagne quelques temps le groupe Delaney & Bonnie.
Avant cela, Clapton a déjà joué dans Les YARDBIRDS, puis avec John MAYALL, et enfin avec CREAM.
Il écoute donc le conseil de Delaney, forme DEREK & THE DOMINOS, puis enregistre le fameux double album LAYLA avec Duane ALLMAN.
La tournée qui suit la parution de cet album est malheureusement un échec retentissant, sans doute d'une part parce qu'il n’est pas fait mention du nom Eric CLAPTON dans l'appellation du groupe, mais d'autre part , surtout à cause de l'absence de Duane ALLMAN tué accidentellement au guidon de sa moto en août 71, alors qu’il devait participer aux concerts à travers les USA.
Eric CLAPTON retombe ensuite dans ses vieux démons, l’alcool et la drogue. Sa passion amoureuse pour Patti BOYD, alors épouse de son meilleur ami Georges HARRISON, n’arrange pas les choses. Il se mure alors dans un silence de 3 ans et devient un véritable junkie.
C’est Pete TOWNSHEND, leader des WHO, qui le sort de sa torpeur, en le persuadant de reprendre sa guitare lors d’un concert au Rainbow en 73. Bien que Clapton soit alors en triste état, il accepte le défi et reprend ensuite peu à peu goût à la vie et à la musique. Il va d'ailleurs connaître la période la plus prolifique de sa carrière avec 4 albums déterminants entre 1974 et 1978.
Pour illustrer ce retour en grâce, j’aurais pu choisir le magnifique 461 OCEAN BOULEVARD, l’album du renouveau, ou SLOWHAND, sans doute son disque le plus accompli, voire même BACKLESS, l’album de 78 sur lequel il excelle sur une reprise, encore une, de JJ CALE. J'ai finalement retenu NO REASON TO CRY, sorti en 76, enregistré en 1 mois, fin 75, à Los Angeles au célèbre studio Shangri-La.
Depuis sa période DEREK, CLAPTON a laissé tomber sa LES PAUL pour ne jouer, sur le conseil de Stevie WINWOOD, que sur une FENDER Stratocaster, qu’il s’est confectionné lui-même à partir de 3 Stratos achetées d’occasion.
Il a également gagné des sommes colossales avec la tournée ayant suivi la sortie de l’album 461 OCEAN BOULEVARD, et vit aux Bahamas avec Patti BOYD. Celle-ci a en effet succombé à la cour assidue du guitariste et a définitivement quitté Georges Harrison. Elle décide de rejoindre Eric Clapton au beau milieu de sa tournée US.
Il est alors dans une période de totale insouciance et sa créativité est à son zénith.
DYLAN l’avait invité à jouer sur les sessions de DESIRE. Après une attente interminable, Clapton avait enfin pu jouer ses parties de guitare sur quelques morceaux. Mais comme toujours, au dernier moment, Bob décide de tout changer et les parties de Clapton passent à la trappe.
Pour se faire pardonner, DYLAN lui promet de lui composer une chanson et même de venir la chanter avec lui sur son futur album.
Pendant cette période bénie de 5 ans, Clapton, las de jouer son sempiternel Blues traditionnel, décide de faire évoluer sa musique, afin de lui donner une orientation plus moderne.
L’album live EC WAS HERE sorti en 75, devait être son dernier disque de blues avant un long moment ; il faudra attendre ensuite FROM THE CRADDLE, sorti en 96, pour son vrai retour à cette musique.
Il s’oriente donc vers la musique Californienne alors très en vogue, après la prise de pouvoir des Eagles et de Fleetwood Mac. Il joue pas mal de reprises, de Marley ou de JJ Cale, et il faut reconnaître que ça lui a bien réussi. Il cherche alors uniquement à se faire plaisir et son groupe composé, entre autres, de son vieux complice des dominos Carl RADLE, ainsi que la chanteuse Yvonne ELLIMAN, est très à l’aise sur ce type de musique.
En conséquence, NO REASON TO CRY est un album très varié, plein de fraîcheur, regorgeant de belles mélodies, mais surtout imprégné par le jeu de guitare lumineux de Clapton.
J’ai écouté ce disque un nombre incalculable de fois, et je le trouve toujours aussi bon, et sans aucune faille.
Clapton y est accompagné de prestigieux musiciens, dont Dylan, du BAND avec entre autres Robbie Robertson, et même de Ronnie WOOD, alors tout nouveau membre des Stones.
Les titres sont superbes. Mais, pour faire un GRAND DISQUE, il faut avoir un GRAND TITRE, une locomotive en somme, le petit quelque chose en plus, qui soutient en permanence le reste du disque, quelque chose auquel on se réfère sans cesse, et qui nous pousse à le réécouter.
Cette merveille, une véritable pépite, c’est la chanson de DYLAN, alors dans une période de créativité inouïe, qui la lui offre, avec SIGN LANGUAGE.
La chanson ne dure que 3 minutes, mais c’est une splendeur, sans doute une des meilleures jamais écrites par DYLAN, qui d’ailleurs, chante un couplet, de son incroyable voix.
La touche finale, et qui fait que la chanson va entrer dans la postérité, c’est Robbie ROBERTSON qui la lui donne, avec un inoubliable solo de guitare en vibrato, que Clapton admirait tant.
Le reste de l’album est très varié. Tous les morceaux sont d’un haut niveau et surtout impeccablement interprétés.
On y trouve des ballades, comme BEAUTIFUL THINGS, qui ouvre l’album ou le magnifique BLACK SUMMER RAIN qui le clôture.
Clapton nous prouve également que son jeu de guitare se prête parfaitement au rock et le montre sur CARNIVAL, HELLO OLD FRIEND et surtout HUNGRY sur lequel il plante un solo épileptique de slide.
Il se prend même pour Jimmy PAGE sur une reprise d’Otis RUSH, DOUBLE TROUBLE sur lequel il est impérial, et qui fait bougrement penser au SINCE I’VE BEEN LOVING YOU de LED ZEPPELIN.
L’ambiance, pendant l’enregistrement, est paraît-il très arrosée, et il régne dans le studio une atmosphère de « bordel ambiant », mais le résultat est au rendez-vous.
Le son du VINYLE est excellent, mais le CD est assez décevant. Dommage.
Mais en montant le son, on appréciera quand même.
Il ne faut passer sous aucun prétexte à côté d’un tel disque, d’autant qu’il est resté très méconnu.
Qui en parle encore aujourd’hui, à part moi ?
L’année suivante, Clapton sortait SLOWHAND, puis en 78, BACKLESS avec à nouveau 2 titres de Dylan, spécialement composés par le maître pour la circonstance.
Durant la tournée de 79 qui a suivi la sortie de BACKLESS, Clapton invite tous les soirs sur scène, Patti BOYD, qu’il vient d’épouser, afin de lui chanter GOLDEN RING, une de ses plus belles compositions.
« If I Gave to you a golden ring, would I make you happy, would I make you sing ? »
Hélas, Eric allait traverser les années 80 dans une déchéance totale. Se séparant de tout son groupe 81 avec qui il jouait depuis des années, accro à l’alcool tout comme l’était Jim Morrison, multipliant les cures de désintoxication ainsi que les comeback ratés, il n’enregistra plus rien de valable. Ce n’est qu’au milieu des années 90 et grâce à quelques disques de blues purs qu’il allait revenir sur le devant de la scène musicale, ainsi qu’un disque plutôt réussi avec JJ CALE en 2008.
Ah, Eric CLAPTON… j’ai tellement aimé ce musicien, autant pour sa musique d’ailleurs, que pour la vie incroyable qu’il a eue, parsemés sans cesse de démons et de drames.
Personnage passionnant et attachant, à la jeunesse brisée, à la fois fragile et fort, ayant réussi à se débarrasser de l’alcool et la drogue après la mort affreuse de son fils de 4 ans CONNOR, tué en 90.
Eternel amoureux et hélas malheureux en amour, lui, alors qu’il fréquentait en 90 un mannequin italien, une certaine CARLA B., eut le malheur de la présenter à JAGGER, qui bien-sûr, la lui piqua aussitôt pour en faire sa maîtresse pendant plus de 10 ans.
Aujourd’hui, il semble enfin avoir trouver la paix avec sa jeune épouse MIA et ses 3 filles. Il a fondé une clinique, Crossroads, afin d’aider les alcooliques à guérir. Il est richissime et vit dans sa propriété de toujours, dans le Surrey, à HURTWOOD, dont il dit éprouver un sentiment spécial, toujours le même au moment de rentrer après une longue tournée, en parcourant le dernier kilomètre jusqu’à ce qu’enfin apparaisse sa maison et ainsi pouvoir bénéficier d’un repos bien mérité, entouré de sa petite famille, mais aussi et surtout, de ses guitares.
NB : Vous pouvez retrouvez également cette chronique ici :
Chronique NO REASON TO CRY
J-Luc




Modifié en dernier par JLH le 27 oct. 2018, 11:27, modifié 11 fois.
Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dreams...
- HyperHD
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Deux bons albums un peu démodés.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
1. HIFI: SN+HC, CD5 XS+FC XS, Unitiserve, StageLine, HeadLine, Clearaudio Emotion+Audio Technica AT150SA, 803 Di, Tellurium Q Black, SRH840, QuietComfort 15.
2. HC: SR7005, UD7006, Apple TV, CC1008Be, SR800, SR20, SW25A, SW32, 46PFL8686H/12
3. HIFI: UnitiLight, (Nait XS), Kef R300.
2. HC: SR7005, UD7006, Apple TV, CC1008Be, SR800, SR20, SW25A, SW32, 46PFL8686H/12
3. HIFI: UnitiLight, (Nait XS), Kef R300.
- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Dossier "under re-construction" :
Je reprends toutes les pochettes, et je les publie en Recto-verso séparés, comme je le fais depuis un moment déjà.
Je trouve que c'est mieux; et vous qu'en pensez-vous?
Seules les pochettes dont le verso est la continuité du recto sont conservées dans l'ancienne présentation.
A partir de la page 17, c'est fait.
Petit à petit, je vais refaire le reste.
J-Luc
Je reprends toutes les pochettes, et je les publie en Recto-verso séparés, comme je le fais depuis un moment déjà.
Je trouve que c'est mieux; et vous qu'en pensez-vous?
Seules les pochettes dont le verso est la continuité du recto sont conservées dans l'ancienne présentation.
A partir de la page 17, c'est fait.
Petit à petit, je vais refaire le reste.
J-Luc
Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dreams...
- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Commentaires ajoutés sur PAVLOV'S DOG :
viewtopic.php?f=7&t=537&start=15
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- shadrap
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
J'attends la suite avec impatience...JLH a écrit :Dossier "under re-construction" :
Je reprends toutes les pochettes, et je les publie en Recto-verso séparés, comme je le fais depuis un moment déjà.
Je trouve que c'est mieux; et vous qu'en pensez-vous?
que c'est toujours agréable à lire !![]()
Et que toutes ces pochettes font envies.
Seules les pochettes dont le verso est la continuité du recto sont conservées dans l'ancienne présentation.
A partir de la page 17, c'est fait.
Petit à petit, je vais refaire le reste.
J-Luc

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- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Je viens de terminer toutes les pochettes avec recto/verso séparés.shadrap a écrit :J'attends la suite avec impatience...JLH a écrit :Dossier "under re-construction" :
Je reprends toutes les pochettes, et je les publie en Recto-verso séparés, comme je le fais depuis un moment déjà.
Je trouve que c'est mieux; et vous qu'en pensez-vous?
que c'est toujours agréable à lire !![]()
Et que toutes ces pochettes font envies.
Seules les pochettes dont le verso est la continuité du recto sont conservées dans l'ancienne présentation.
A partir de la page 17, c'est fait.
Petit à petit, je vais refaire le reste.
J-Luc
J'ai également ajouté pas mal de commentaires et j'ai refait les scans des pochettes de LA WOMAN des DOORS en page 1 et celle de CHELSEA GIRL de NICO, en page 17.
J-Luc
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Re:
Bonsoir Jean-Luc,JLH a écrit :LE MYSTERE PAVLOV'S DOG
Je découvre ce fil.... MAGNIFIQUE... BRAVO !
Il faut que je retrouve mon vinyl de PAMPERED MENIAL (COLUMBIA)....
Y a-t-il des versions CD dont l'enregistrement est digne de ce nom ?
Merci, Christian
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Salut Jean-Luc
merci et j'en ai profité pour ressortir l'album Pampered Menial ... je n'ai eu que le temps d'écouter Julia et le dernier morceau "Of once and future kings" qui m'a donné la chair de poule !
... encore et toujours magnifique ce morceau !

merci et j'en ai profité pour ressortir l'album Pampered Menial ... je n'ai eu que le temps d'écouter Julia et le dernier morceau "Of once and future kings" qui m'a donné la chair de poule !
... encore et toujours magnifique ce morceau !
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
S5-Pro a écrit :Salut Jean-Luc![]()
merci et j'en ai profité pour ressortir l'album Pampered Menial ... je n'ai eu que le temps d'écouter Julia et le dernier morceau "Of once and future kings" qui m'a donné la chair de poule !
... encore et toujours magnifique ce morceau !
Merci à vous 2 de faire partie des admirateur de l'oeuvre de PAVLOV'S DOG.CME a écrit :Bonsoir Jean-Luc,JLH a écrit :LE MYSTERE PAVLOV'S DOG
Je découvre ce fil.... MAGNIFIQUE... BRAVO !
Il faut que je retrouve mon vinyl de PAMPERED MENIAL (COLUMBIA)....
Y a-t-il des versions CD dont l'enregistrement est digne de ce nom ?
Merci, Christian
Leur musique, à mon sens, reste inégalée.
PAMPERED MENIAL fait partie des oeuvres "maitresses" de toute l'histoire de la rock music depuis le début des sixties, qui pour moi, débutent en 65.
Pour répondre à ta question Christain, il existe 3 versions différentes en CD des 2 albums de Pavlov.
Les 1ères rééditions, avec les pochettes de Columbia, datent de la fin des années 80, et sont un peu limites.
La 2ème réédition est plus récente et date de 5 ans environ, chez ROCKVILLE; le son audio est le même que Columbia (c'est spécifié sur le booklet), mais la pochette de PAMPERED MENIAL est celle d'ABC Records.
Ensuite ROCKVILLE a sorti une superbe nouvelle version remasterisée, avec les pochettes originales sous digipack.
Le son, surtout pour PAMPERED, est somptueux. Le gain, par rapport à la version initiale est énorme.
A noter que le 3ème album, sorti sous le nom St LOUIS HOUNDS en 77, a également été réédité par ROCKVILLE sous une autre pochette :
Le disque s'appelle : HAS ANYONE HERE SEEN SIGFRIED?
Le titre fait allusion au fait que Sigfried CARVER, un des piliers du groupe, avait quitté le groupe avant le début des sessions de cet album sans donner plus aucun signe de vie.
J-Luc
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- CME
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Cool.... c'est ça ?
http://musique.fnac.com/a2822802/Pavlov ... s-CD-album
http://musique.fnac.com/a2822802/Pavlov ... s-CD-album
XULYDE NAIM TOTALDAC