Vos "coup de coeur" : variétés, world ...

[AstondoA]

Sans oublier un live sur le quel il y a une version de With a Little Help From My Friends pas au niveau de l'interprétation de Woodstock mais pas mal du tout quand même, c'est Joe Cocker Live tout simplement

entre autres ...

[bernard lapeyre]

Pour une mise en bouche ce CD est excellent et regroupe une sacrée brochette de "tubes" (Je te le recommande particulièrement)



Si comme moi tu préfère les enregistrements Live, essaye cela c'est énorme



Et pour finir (Pour l'instant!?)

[hkonaim]

Bonsoir , en parcourant ce fil que je viens d'apprendre la disparition de Joe Cocker qui a bercé mon adolescence .Un album de Joe de Cocker à ne pas louper "Coker happy"

[RV]

Je trouve que ce disque de reprises acoustiques de Bernard Lavillers est une belle réussite

[djembaurel]

Ba Cissoko

Sabolan (Marabi Productions 2003)

C'est un mix que je trouve réussi, ce qui n'est pas toujours le cas, entre instruments traditionnels/ modernes (kora acoustique, kora électrique, basse, percus), c'est très pêchu et sympa.
Ne pas chercher une musique trad par contre, c'est une musique "actuelle" (enfin d'il y a 10 ans...)
Je crois qu'il a fait d'autres albums ensuite, mais je ne les connais pas.

Ba Cissoko, né en 1967 à Koundara, est un musicien guinéen, maître de kora.
Ba Cissoko, le neveu du maestro de la kora M’Bady Kouyaté, reste dans sa manière de jouer relativement proche de la tradition, mais ses compositions et son approche sont plutôt modernes.
Son groupe, se composant de Sekou Kouyaté, lui aussi à la kora, du bassiste Kourou Kouyaté (les deux sont des fils du même M’Bady Kouyaté) et du percussioniste Ibrahima Bah, est un ensemble qui a créé une nouvelle interprétation du patrimoine musical mandingue. Ceci est surtout grace aux sonorités de la kora electrique de Sekou Kouyaté, que ce dernier ait reçu le sobriquet "Jimmy Hendrix africain".
Ba Cissoko, qui a appris à jouer la kora depuis son enfance car il est issu d'une famille de griots, a également été influencé par la musique moderne comme le reggae et la salsa. Ses compositions racontent sur la religion, ses expériences des voyages dans d'autres pays, une autre chanson est dédiée aux femmes, un appel pour respecter les femmes.

Avec ses partenaires Sékou Kouyaté, Kourou Kouyaté et Ibrahima Bah "Konkouré", il a enregistré trois albums et effectué plusieurs tournées en Afrique de l'Ouest, en Europe et en Amérique du Nord.
En 2008, il enregistre la chanson Sunday Bloody Sunday du groupe rock U2 disponible sur l'album In The Name Of Love : Africa Celebrates U2, sorti en avril 2008.
En 2011, il tourne en France, donne plusieurs concerts et rencontre un franc succès. Son album NIMISSA, sorti en 2012, confirmera l'engouement du public français pour cet artiste, récompensé par Télérama, Les Inrocks ou encore Mondomix.

Discographie :
2003 : Sabolan (Marabi Productions / Harmonia Mundi)
2006 : Electric Griot Land (distribué par Harmonia mundi)
2009 : Seno (production LaBelMetis (Nuits Métis)/ Frochot Cantos Music / Distribution Pias)
2012 : Nimissa" (Harmonia Mundi)

[djembaurel]

Dans ces moments où certains nous manquent je voulais vous faire découvrir un homme extraordinaire :
Momo Wandel Soumah
(décédé le 15 juin 2003) était un chanteur, compositeur et saxophoniste de Guinée, reconnaissable par sa voix rocailleuse caractéristique.
Véritable roi du swing et de l'improvisation, Momo Wandel Soumah (1926-2003) était le doyen du jazz africain.
"Le jazz est né chez vous, mais moi je l'ai ramené chez moi, en Afrique, car c'est de là qu'a jailli sa source." Il créait sa musique sans l'écrire, en s'inspirant des chansons populaires, et en réunissant autour de sa voix "façon Louis Armstrong qui serait sorti de sa savane" et de son vieux saxo desséché, les grands maîtres des instruments traditionnels africains : kora, balafon, flûte pastorale, djembé,...
Il a commencé à jouer dans des orchestres de danse dans les années 1950, mais s'est orienté vers la musique guinéenne moderne après la révolution culturelle. De la mi-1980, Momo a développé un mélange singulier de jazz et musique traditionnelle africaine.
Au moment de sa mort, il était directeur musical de l'extraordinaire ballet "Circus Baobab"...

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Ecoutez ses enregistrements...et ne loupez pas les excellents films de Laurent Chevallier auxquels il a participé ou est le sujet :

2008- Expérience africaine ... https://www.youtube.com/watch?v=9ml6dSnJZJQ
2006- Momo le doyen
2000- Circus Baobab
1994- L'Enfant noir (sur lequel on entend sa reinterpretation d'Afro blue)
1991- Djembefola
et biens d'autres films et biens d'autres groupes...
https://www.youtube.com/watch?v=r2AG1TrGAGQ
http://www.dailymotion.com/video/x32xqs ... roots_news
Momo Wandel Soumah - Afro Blue (Mongo Santamaria - Oscar Brown Jr.) : https://www.youtube.com/watch?v=sY8h6XAGW84

[djembaurel]

et aussi vous faire découvrir (pour ceux qui ne les connaitraient pas encore) 2 des + grandes voies de l'Afrique (eux du mali) mais aussi du monde entier :
-Salif Keita
et
-Oumou Sangaré

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Salif Keïta est descendant en ligne directe du fondateur de l’Empire du Mali, Soundjata Keïta[réf. nécessaire]. Il souffre d'albinisme dans une région où les albinos sont mal vus en raison des pouvoirs maléfiques qui leur sont attribués1. Après ses études, il rêve de devenir instituteur mais il est recalé à cause de sa mauvaise vue. Il décide alors de devenir chanteur ce qui va créer un scandale dans sa famille. Traditionnellement, la musique est réservée à la caste des griots, et les Keïta sont une famille de princes. Il est rejeté par sa famille et part à Bamako en 1968. Il intègre le groupe du saxophoniste Tidiani Koné, le « Rail band de Bamako », qui joue tous les soirs au buffet-hôtel de la gare à Bamako, et obtient d’importants succès avec son répertoire composé d’airs traditionnels interprétés de façon moderne.

En 1973, il rejoint un autre groupe, Les Ambassadeurs qui joue d'abord au motel de Bamako, puis avec lequel il s’installe à Abidjan, en Côte d’Ivoire. En 1978, il y enregistre son premier album Mandjou dans lequel il rend hommage au président Guinéen Ahmed Sékou Touré et au peuple mandingue.

En 1980, il enregistre aux États-Unis deux disques : Primpin et Tounkan. En 1984, il quitte Abidjan pour revenir à Bamako et retrouver sa famille, notamment son père vieillissant. Il participe cette année au festival de musiques métisses d’Angoulême (France). Il rencontre un succès auprès du public français, et vient s’installer en France à Montreuil d’où il anime de nombreuses fêtes traditionnelles dans la communauté malienne immigrée. L'année suivante, il participe, à la demande de Manu Dibango, à l’enregistrement d’un album collectif Tam tam pour l’Afrique au profit de l’Éthiopie où sévit la famine. En 1986, il enregistre l'album, Soro, de blues-rock chanté en malinké. Cet album enregistré sous la houlette du producteur sénégalais Ibrahima Sylla pour le label Syllart sera révolutionnaire et portera Salif Keita comme une star internationale. Il participe alors au festival des Francofolies à La Rochelle en 1987, et à un concert organisé à Londres pour le 70ème anniversaire de Nelson Mandela, au côté notamment du sénégalais Youssou N'Dour. Il sort en 1989 son second album en France Ko-Yan où à travers la chanson Nous pas bougé, il aborde les problèmes que rencontrent les immigrés maliens en France. Son troisième album Amen sort en juin 1991.

Son album Folon de 1995 est dédié aux enfants albinos pour lesquels il a créé une association. À partir de 1996, bien que toujours installé à Montreuil, il ouvre un studio d’enregistrement à Bamako afin d’aider les jeunes musiciens maliens (dont notamment Fantani Touré, Rokia Traoré…). En 1997, il sort un album Sosie composé de titres de chanteurs français (Maxime Le Forestier, Michel Berger, Jacques Higelin ou Serge Gainsbourg) interprétés à la kora ou au balafon. En juin 1999, il sort un nouvel album intitulé Papa où il évoque son père, décédé deux ans plus tôt. En 2001, il ouvre un club couplé à un studio d’enregistrement qui porte le nom de Moffou, nom d’une flûte utilisée par les enfants bergers. En mars 2002, sort un album portant le même nom.

Le 12 décembre 2004, à Johannesburg (Afrique du Sud), il est distingué aux Kora Awards pour l’ensemble de sa carrière. Lors de la cérémonie des Victoires de la musique 2010 en mars 2010, il obtient une Victoire dans la catégorie « Album musiques du monde de l'année »2.

Il est le père de l'athlète française Nantenin Keita, championne du monde 2006 et olympique 2008 de 400 m lors des Jeux paralympiques d'été de 2008.

En 2014, il participe au festival de musique du monde Esperanzah !

Engagement citoyen et politique
Salif Keïta est candidat aux élections législatives maliennes de 2007. Il figure en troisième position sur une liste présentée par le Mouvement patriotique pour le renouveau, le Bloc pour la démocratie et l'intégration africaine (BDIA) et le Parti citoyen pour le renouveau (PCR) dans la circonscription de Kati3. Il milite actuellement au sein du PCR4.
Le 19 juillet 2010, Salif Keïta a été nommé Ambassadeur de la paix par Jean Ping, président de la commission de l'Union africaine, afin de soutenir « les efforts de la Commission pour résoudre les conflits et promouvoir la paix sur le continent »

Anecdote
Pendant la Coupe du monde 2006, Cauet, l'animateur radio, parodie une de ses chansons, Madan (remixée par Martin Solveig), en hymne pour l'équipe de France : Zidane y va marquer qui fera le tour de la France pendant l'été suivant.
Citations
« Un disque, c'est comme un enfant. On se fiche qu'il soit beau ou pas. L'important, c'est d'avoir fait ce qu'on voulait faire. On va l'élever et le défendre pour lui donner le chemin de la gloire. Mais déjà, il me plaît, parce que c'est mon enfant. (...) C'est le fruit de l'amour. Et l'amour, partout, perce plus fort que les balles d'un fusil. »
Bibliographie
Salif Keita, l'ambassadeur de la musique du Mali, de Cherif Keita - éditions Grandvaux - 2009 -
Salif Keita, la voix du Mandingue, de Florent Mazzoleni - éditions Demi-Lune - 2009 -

Discographie :
Talé -2012-
La différence -2009-
20th Century Masters -2007-
M’Bemba -2005-
Remixes from Moffou -2004-
The Best of the Early Years -2002-
Moffou -2002-
Golden Voice - Best of Salif Keita -2001- 2CD
Papa -1999-
Sosie -1997 -
Folon -1995-
69-80 -1994- Compilation 1969-80
The Mansa of Mali...A Retrospective -1994- Compilation 1987-93 plus Mandjou (1978)
L'Enfant Lion -1993- Musique du film l'Enfant Lion, par Patrick Grandperret
Amen -1991-
Ko-Yan -1989-
Soro -1987-
Albums avec Manfila Kanté:
Salif Keïta & Kanté Manfila-The Lost Album -2005- Compilation, avec 3 titres inédits composés par Kemo Kouyaté
Dans l'authenticité, Vol.2 -1979-
Dans l'authenticité, Vol.1 -1979-
With the Ambassadeurs Internationaux:
Tounkan / Mana Mani -2010- 2CD compilation
Mandjou / Seydou Bathily -2010- 2CD compilation
Classics Titles -2006- Compilation CD
Tounkan -1984-
Primpin -1983 -
Djougouya -1983-
Mandjou -1979-

[djembaurel]

Oumou Sangaré

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est née à Bamako de parents originaires du Wassoulou, une région historique au sud du fleuve Niger. Sa mère était la chanteuse Aminata Diakité.

Dès son enfance, Oumou Sangaré chante afin d’aider sa mère à nourrir sa famille, son père les ayant abandonnés. À l'âge de 5 ans, elle se fait remarquer par ses talents de chanteuse en remportant la finale des écoles maternelles de Bamako, et à cette occasion, elle se produit au Stade Omnisports devant 3 000 personnes. À 16 ans, elle part en tournée avec le groupe Djoliba percussions.

Alors qu'elle n'a que 18 ans, elle enregistre son premier album en 1987 avec le producteur sénégalais Ibrahima Sylla. Celui-ci attend plus d'un an avant de sortir la cassette Moussoulou. À sa sortie en 1988, l'album a un succès fulgurant, se vendant en une semaine à plus de 100 000 cassettes au Mali. Le label africain Syllart laisse l'artiste s'épanouir vers une carrière internationale. Grâce à Ali Farka Touré, Oumou Sangaré signe ensuite avec le label anglais World Circuit Records. À 21 ans, elle devient une star.

Oumou Sangaré est considérée comme une ambassadrice du Wassoulou, sa musique étant inspirée des musiques et danses traditionnelles de la région. Elle écrit et compose ses chansons qui s’appuient sur une forte critique sociale, concernant notamment la place de la femme et des humbles dans la société.

Depuis 1990, elle se produit sur les plus grandes scènes du monde (Opéra de Sydney, Central Park, Roskilde festival, festival d'Essaouira, Opéra de la monnaie de Bruxelles, Queen Elisabeth Hall, tous les grands festivals des Pays-Bas...).

Oumou Sangaré défend la cause des femmes à travers le monde. Elle a été nommée Ambassadrice de bonne volonté de la FAO en 2003, prix de l'Unesco en 2001 et commandeur des Arts et Lettres de la République française en 1998.

Elle participe à la bande originale du film Beloved (1998) avec Oprah Winfrey dans le rôle principal.

Artiste, personnage public aux prises de position engagées, Oumou Sangaré s’est également lancée dans l’hôtellerie, l’agriculture et la vente de voiture pour créer des emplois dans son pays : la star africaine Oumou Sangaré donne son nom à des automobiles chinoises2.

Discographie :
1988 : Moussoulou chez le label Syllart
1993 : Ko Sira
1996 : Worotan
2001 : Laban
2002 : Mussowla Diala
2002 : CAN 2002
2003 : Oumou
2006 : Strange fruit
2009 : Seya
2011 : Bi Furu

[FredM]

Pour une mise en bouche ce CD est excellent et regroupe une sacrée brochette de "tubes" (Je te le recommande particulièrement)

Reçu ce midi par la poste ce CD neuf, que m'a envoyé gracieusement un certain Bernard L., car il l'avait en double... Ce forum regorge de gens biens décidemment...

Ecouté dans la foulée, j'ai accroché à à peu près tout, c'est très beau, bien rocailleux et tout, une incursion dans le monde pop-rock pour moi, et c'est un bonheur.

[bernard lapeyre]

Pour une mise en bouche ce CD est excellent et regroupe une sacrée brochette de "tubes" (Je te le recommande particulièrement)

Reçu ce midi par la poste ce CD neuf, que m'a envoyé gracieusement un certain Bernard L., car il l'avait en double... Ce forum regorge de gens biens décidemment...

Ecouté dans la foulée, j'ai accroché à à peu près tout, c'est très beau, bien rocailleux et tout, une incursion dans le monde pop-rock pour moi, et c'est un bonheur.

Merci de cet hommage public, je suis toute rose
Mais le plus important c'est que cela te plaise, c'est un résumé de sa plus belle période, par la suite il a un peu plus cédé à la facilité, bien que son parcours soit parsemé de perles.

[djembaurel]

Pour ceux qui ne le connaitraient pas encore (malheureusement...)
Le roi de l'afro beat :
"Fela (Anikulapo) Kuti (connu aussi simplement sous le nom de Fela), né le 15 octobre 1938 à Abeokuta (Nigeria) et mort le 2 août 1997 à Lagos (Nigeria), est un chanteur, saxophoniste, chef d'orchestre et homme politique nigérian.

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Fondateur de l'organisation République de Kalakuta (en) au Nigeria, il est considéré comme l'inventeur de l’afrobeat, fusion des éléments afro-américains du funk, du jazz, de la musique d'Afrique occidentale, de la musique traditionnelle nigériane et des rythmes yorubas.
Fela Kuti figurait comme un artiste engagé contre la corruption, la dictature et le pouvoir des multinationales dans son pays.
Populaire auprès des laissés-pour-compte des ghettos de Lagos, le Black President se sert de la musique comme d’une arme pour brosser un sombre tableau des mœurs socio-politiques. Ses morceaux, qui durent en moyenne un quart d’heure sont accompagnées de paroles en pidgin — l’anglais du petit peuple — contre la dictature militaire, la corruption qui gangrène les élites et décrivent aussi la misère de la rue. Au-delà de ces tableaux sombres, Fela Kuti suggère aussi aux Africains de conquérir leur liberté par un retour aux sources qui leur rendra leur identité et leur vérité.
Fela Kuti allie le jazz et la soul aux rythmes locaux, le ju-ju et le highlife qui donnent naissance à l’afrobeat. Sa popularité s’étend bientôt au-delà même des frontières du pays. Mais très vite, il va s’attirer les foudres du pouvoir militaire qui supporte très mal ses satires. Après la sortie de son album antimilitariste Zombie (1976), sa propriété baptisée Kalakuta Republic (en) est entièrement rasée dans un raid militaire au cours de laquelle sa mère âgée de 78 ans est défenestrée. Elle succombera quelques mois plus tard des suites de ses blessures. Fela Kuti est plusieurs fois jeté en prison et torturé...
Il se convertit à l'animisme et prend le patronyme d'Anikulapo — celui qui porte la mort dans sa gibecière — Kuti — qui ne peut être tué par la main de l'homme. Ses concerts sont ponctués de discours enflammés sous une impressionnante orchestration rythmique assurée par de puissantes percussions, des cuivres envoûtants, très souvent ponctuée de grandes envolées au saxophone. Bien que censuré par les médias d’État, il collectionne les succès en même temps que grandit sa popularité[/i]."

Si vous cherchez de la musique "foot-tapping" alors allez y...c'est ça !!!
il a fait + de 60 albums et les films sur lui comme "Fela : Musique au poing (1982) de Stéphane Tchal-Gadjieff et Jean-Jacques Flori (documentaire, 53 min, France)" sont à voir !!!
Ses 2 fils Femi Kuti et Seun Kuti sont extra eux aussi...dans la meme lignée...

[blancdepoulet]

Pour ceux qui ne le connaitraient pas encore (malheureusement...)
Le roi de l'afro beat :
"Fela (Anikulapo) Kuti (connu aussi simplement sous le nom de Fela), né le 15 octobre 1938 à Abeokuta (Nigeria) et mort le 2 août 1997 à Lagos (Nigeria), est un chanteur, saxophoniste, chef d'orchestre et homme politique nigérian.

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Fondateur de l'organisation République de Kalakuta (en) au Nigeria, il est considéré comme l'inventeur de l’afrobeat, fusion des éléments afro-américains du funk, du jazz, de la musique d'Afrique occidentale, de la musique traditionnelle nigériane et des rythmes yorubas.
Fela Kuti figurait comme un artiste engagé contre la corruption, la dictature et le pouvoir des multinationales dans son pays.
Populaire auprès des laissés-pour-compte des ghettos de Lagos, le Black President se sert de la musique comme d’une arme pour brosser un sombre tableau des mœurs socio-politiques. Ses morceaux, qui durent en moyenne un quart d’heure sont accompagnées de paroles en pidgin — l’anglais du petit peuple — contre la dictature militaire, la corruption qui gangrène les élites et décrivent aussi la misère de la rue. Au-delà de ces tableaux sombres, Fela Kuti suggère aussi aux Africains de conquérir leur liberté par un retour aux sources qui leur rendra leur identité et leur vérité.
Fela Kuti allie le jazz et la soul aux rythmes locaux, le ju-ju et le highlife qui donnent naissance à l’afrobeat. Sa popularité s’étend bientôt au-delà même des frontières du pays. Mais très vite, il va s’attirer les foudres du pouvoir militaire qui supporte très mal ses satires. Après la sortie de son album antimilitariste Zombie (1976), sa propriété baptisée Kalakuta Republic (en) est entièrement rasée dans un raid militaire au cours de laquelle sa mère âgée de 78 ans est défenestrée. Elle succombera quelques mois plus tard des suites de ses blessures. Fela Kuti est plusieurs fois jeté en prison et torturé...
Il se convertit à l'animisme et prend le patronyme d'Anikulapo — celui qui porte la mort dans sa gibecière — Kuti — qui ne peut être tué par la main de l'homme. Ses concerts sont ponctués de discours enflammés sous une impressionnante orchestration rythmique assurée par de puissantes percussions, des cuivres envoûtants, très souvent ponctuée de grandes envolées au saxophone. Bien que censuré par les médias d’État, il collectionne les succès en même temps que grandit sa popularité[/i]."

Si vous cherchez de la musique "foot-tapping" alors allez y...c'est ça !!!
il a fait + de 60 albums et les films sur lui comme "Fela : Musique au poing (1982) de Stéphane Tchal-Gadjieff et Jean-Jacques Flori (documentaire, 53 min, France)" sont à voir !!!
Ses 2 fils Femi Kuti et Seun Kuti sont extra eux aussi...dans la meme lignée...

Sans oublier son batteur qui est pas mal non plus....

[blancdepoulet]

De la musique qui donne la patate :
Vampire Weekend - éponyme et Contra

[el med]

Un client me l'a offert cet après midi en guise de pourboire
Je ne connaissais pas du tout, il m'a dit " vous allez aimer je pense"
C'est excellent

[djembaurel]

Pour ceux qui ne le connaitraient pas encore (malheureusement...)
Le roi de l'afro beat :
"Fela (Anikulapo) Kuti (connu aussi simplement sous le nom de Fela), né le 15 octobre 1938 à Abeokuta (Nigeria) et mort le 2 août 1997 à Lagos (Nigeria), est un chanteur, saxophoniste, chef d'orchestre et homme politique nigérian.

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Fondateur de l'organisation République de Kalakuta (en) au Nigeria, il est considéré comme l'inventeur de l’afrobeat, fusion des éléments afro-américains du funk, du jazz, de la musique d'Afrique occidentale, de la musique traditionnelle nigériane et des rythmes yorubas.
Fela Kuti figurait comme un artiste engagé contre la corruption, la dictature et le pouvoir des multinationales dans son pays.
Populaire auprès des laissés-pour-compte des ghettos de Lagos, le Black President se sert de la musique comme d’une arme pour brosser un sombre tableau des mœurs socio-politiques. Ses morceaux, qui durent en moyenne un quart d’heure sont accompagnées de paroles en pidgin — l’anglais du petit peuple — contre la dictature militaire, la corruption qui gangrène les élites et décrivent aussi la misère de la rue. Au-delà de ces tableaux sombres, Fela Kuti suggère aussi aux Africains de conquérir leur liberté par un retour aux sources qui leur rendra leur identité et leur vérité.
Fela Kuti allie le jazz et la soul aux rythmes locaux, le ju-ju et le highlife qui donnent naissance à l’afrobeat. Sa popularité s’étend bientôt au-delà même des frontières du pays. Mais très vite, il va s’attirer les foudres du pouvoir militaire qui supporte très mal ses satires. Après la sortie de son album antimilitariste Zombie (1976), sa propriété baptisée Kalakuta Republic (en) est entièrement rasée dans un raid militaire au cours de laquelle sa mère âgée de 78 ans est défenestrée. Elle succombera quelques mois plus tard des suites de ses blessures. Fela Kuti est plusieurs fois jeté en prison et torturé...
Il se convertit à l'animisme et prend le patronyme d'Anikulapo — celui qui porte la mort dans sa gibecière — Kuti — qui ne peut être tué par la main de l'homme. Ses concerts sont ponctués de discours enflammés sous une impressionnante orchestration rythmique assurée par de puissantes percussions, des cuivres envoûtants, très souvent ponctuée de grandes envolées au saxophone. Bien que censuré par les médias d’État, il collectionne les succès en même temps que grandit sa popularité[/i]."

Si vous cherchez de la musique "foot-tapping" alors allez y...c'est ça !!!
il a fait + de 60 albums et les films sur lui comme "Fela : Musique au poing (1982) de Stéphane Tchal-Gadjieff et Jean-Jacques Flori (documentaire, 53 min, France)" sont à voir !!!
Ses 2 fils Femi Kuti et Seun Kuti sont extra eux aussi...dans la meme lignée...

Sans oublier son batteur qui est pas mal non plus....

Tony Allen...oui c'est clair...le + grand batteur d'Afrobeat peut etre...