Bonjour,
j'ai acheté à pas cher : Highway 61 Revisited
Like a rolling stone est bien sûr le titre qui a suffit à me décider à cet achat, mais je suis tombé sur une autre perle à mes oreilles : Ballad Of A Thin Man
j'ai toujours aimé le son des orgamones et sur ce titre limite western (on dit folk ?), je nage dans le bonheur.
Partant de cette introductions, vers quels Cds de Dylan je dois me lancer tout d'abord, pour continuer à appréhender cet artiste que je ne connais que par quelques tubes..quand je vois sa dicographie, je préfère vous demander... j'aimerai pas tomber sur un disque "moyen"
Bob Dylan
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CAMEO172
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Bob Dylan
Modifié en dernier par CAMEO172 le 14 août 2007, 23:17, modifié 1 fois.
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filip63
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Re: Bob Dylan
Ah ! je me disais aussi qu'avec une aussi petite voix, il devait surement avoir un problème orgamonal !CAMEO172 a écrit :.....j'ai toujours aimé le son des orgamones .....
:oops: Bon je :arrow:
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CAMEO172
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Re: Bob Dylan
ça s'écrit pas comme ça ? :oops:filip-63 a écrit :Ah ! je me disais aussi qu'avec une aussi petite voix, il devait surement avoir un problème orgamonal !CAMEO172 a écrit :.....j'ai toujours aimé le son des orgamones .....
:oops: Bon je :arrow:
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christophed83
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j'ai deux albums en cd
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si tu veux je les amènerai quand je viendrai te voir
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naim cd3.5/snaps(dual rail)modifiée, nac102/psc/hc, nap180, naca5, atc scm-7
sennheiser HD595/pro-ject headbox mkII/rega planar3
mitsubishi hc3000, Anthem mrx300/marants ma500, yamaha bd-s1067, jm-lab cobalt 815/sr20 - electra cc30, velodyne spl-800
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CAMEO172
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bonne idée !!!christophed83 a écrit :j'ai deux albums en cd
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si tu veux je les amènerai quand je viendrai te voir
reste à savoir quant tu viens (moi je demande que ça que tu passes) :oops:
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filip63
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Re: Bob Dylan
Dans les instruments de musique je connais l'orgue Hammond (http://rouesphoniques.heberg-forum.net/forums.html), mais je ne sais pas ce qui est utilisé dans le disque que tu évoques.CAMEO172 a écrit :ça s'écrit pas comme ça ? :oops:filip-63 a écrit :Ah ! je me disais aussi qu'avec une aussi petite voix, il devait surement avoir un problème orgamonal !CAMEO172 a écrit :.....j'ai toujours aimé le son des orgamones .....
:oops: Bon je :arrow:
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SDG
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Enfin un post sur dylan!!! c'était à désespérer. Cameo, attention quand on rentre dans les oeuvres du Zim on n'en sort plus
Pour commencer, obligatoire BLONDE ON BLONDE
Chef d'oeuvre absolu, le disque à avoir.
Ensuite il faut connaître ses premiers disques folk soit par exempe
Ses bootleg officiels constituent de bonne synthèse, par exemple celui là
Si tu as aimé highway 61, tu aimerais le live du plus fameux de l'histoire du rock, le mythique Royal albert all concert, qui n'a jamais eu lieu à Londres mais à Manchester. Un concert halluciné par un Dylan complétement stone !
SI tu 'accroches pas trop, évites tous les disques après "Blood the track" (1975 de mémoire)
Pour commencer, obligatoire BLONDE ON BLONDE
Chef d'oeuvre absolu, le disque à avoir.
Ensuite il faut connaître ses premiers disques folk soit par exempe
Ses bootleg officiels constituent de bonne synthèse, par exemple celui là
Si tu as aimé highway 61, tu aimerais le live du plus fameux de l'histoire du rock, le mythique Royal albert all concert, qui n'a jamais eu lieu à Londres mais à Manchester. Un concert halluciné par un Dylan complétement stone !
SI tu 'accroches pas trop, évites tous les disques après "Blood the track" (1975 de mémoire)
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SDG
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CAMEO172
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merci pour toutes ses infos. je pars en croisade maintenant et je réserve un peu de dylan pour mes prochains achats
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SDG
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JLH
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Pour celui qui veut découvrir Dylan, voici mes conseils :
D’abord, il faut commencer par sa période acoustique avec les disques suivants :
THE FREEWHEELIN’ sorti en 63 avec les hits :« Blowin in the wind », « Master of war “,
“Girl from the North Country” “Don’t think twice, it’s alright” mais surtout “ A hard rain’s gonna fall”.
THE TIMES THEY ARE A CHANGIN’ sorti en 64 avec la chanson du même nom,
« With God on our side », « When the ship comes in” et “One too many mornings”.
Ensuite, Dylan a viré sa cuti, et s’est mis à électrifier son Folk, ce qui a déclenché l’ire de son public initial, avec 3 albums majeurs :
BRINGING IT ALL BACK HOME sorti en 65 comprend le magnifique “She Belongs to me”, que BASHUNG a repris magistralement sur l’album OSEZ JOSEPHINE, « Love minus zero no limit » et “It’s all over now baby blue”.
HIGHWAY 61 REVISITED paru la même année, renferme en plus des incontournables « Like a rolling stone » et « Ballad of a thin man », sa plus belle chanson « Desolation Row ».
La mélodie est incroyable et le texte, d’une grande subtilité, nous plonge dans un univers digne du grand Fellini.
On retrouve sur ce titre, tout le génie de Dylan : la mélodie, les accompagnements et son phrasé légendaire et inimitable, que l’on peut entendre un peu sur l’hommage « Song for Bobby » que lui rend CAT POWER sur son dernier album.
A noter que « Like a rolling stone » est surement dédiée à la muse d’Andy Warhol, Edie Sedgwick dont Dylan était tombé éperdument amoureux à cette époque.
BLONDE ON BLONDE est son 1er chef d’œuvre. C’est d’ailleurs le 1er double album de l’histoire du rock ; et quel double album. Tout y est magique.
« Temporary like Achilles », « 4th time around », « Just like woman » ou « Rainy day women » figurent parmi les plus belles chansons jamais écrites.
La pochette du disque a sa petite histoire : le photographe avait pris une centaine de clichés de Dylan avec sa fameuse écharpe ; au moment de choisir, Dylan a pris la seule qui était floue !
Ensuite, Dylan se plante gravement à moto avec sa Triumph Bonneville et reste plus de 2 ans sans donner signe de vie.
Commence alors une longue période de disette pendant laquelle Dylan ne sortira que des albums ratés, si bien que les critiques de l’époque le considére comme étant fini.
Le déclic a lieu grâce au cinéaste Sam PECKINPAH, qui en 73, se lance dans un film sur PATT GARETT & BILLY THE KID, avec comme acteur principal KRIS KRISTOFFERSON, grand ami de Dylan, qui est convié, non seulement à écrire la BO du film, mais également à y jouer un petit rôle.
Sur la BO, il y a une chanson « Knockin on heaven’s door ».
En 2mn30, Dylan prouve qu’il a retrouvé sa plume et son génie, et va relancer sa carrière.
Les variations autour du thème principal de la chanson « Billy » sont également très beaux.
Puis Dylan sort son 2ème chef d’œuvre fin 74, BLOOD ON THE TRACKS.
C’est à mon sens son plus grand disque, avec notamment « Tangled up in blue », « Simple twist of fate », « You’re a big girl now » et « If you see her, say hello ».
Ce disque est résolument moderne, et prouve que Dylan, malgré sa longue période de non créativité, a très bien assimilé la tournure prise par le rock des années 70 et entend bien faire partie des artistes majeurs de ce mouvement.
On ne peut rester insensible à l’écoute d’un titre comme « You’re a big girl now » ; c’est la perfection même, et lorsque je l’écoute encore aujourd’hui, je sais que je vais vivre un grand moment, tant l’émotion y est intense.
Sur cette lancée, sort en 75 un autre très bon album à posséder absolument : DESIRE.
Dylan est en plein divorce à cette époque et rend un hommage poignant à son ex-femme Sarah Lowndes sur le très beau titre « Sarah ».
Il y a aussi « One more cup of coffee » et « Hurricane » dédiée au boxeur Rubin CARTER, injustement accusé de meurtre, pour lequel Dylan allait partir en campagne pour sa libération.
STREET LEGAL et SLOW TRAIN COMING sont également de bons albums, mais hélas mal produits ; et c’est dommage, car il y a de super chansons sur ces 2 disques.
Ce qui cloche sur ces albums, ce sont les chœurs gospel, que Dylan y a ajoutés.
De 80 à 88, Dylan a sorti ses pires albums, donc éviter surtout cette période, où absolument rien n’est bon.
Puis, alors qu’on n’attendait plus rien de lui, Dylan nous refait le coup de 73, en sortant, en 89, un nouveau chef d’œuvre, produit par le canadien Daniel LANOIS, j’ai nommé : OH MERCY.
C’est un disque très épuré où Dylan, conseillé par Lanois, revient à l’essentiel et à la simplicité ; finis les chœurs et les chansons insipides.
Tous les titres de cet album sont remarquables mais ma préférence va à « The man with the long black coat » et surtout « Most of the time ».
Le comble est que Dylan a écarté du montage final, un titre majeur « Series of dreams », que Lanois voulait à tout prix inclure ; mais on ne contredit pas le maître !
« Series of dreams » apparaîtra quelques années plutard, sur le coffret BOOTLEG SERIES 1 à 3.
Le dernier album qu’il faut avoir est également produit par LANOIS et s’intitule TIME OUT OF MIND sorti en 97, avec les très beaux « Not dark yet » et « Standing in the doorway ».
Aujourd’hui, Dylan a 67 ans ; il continue de tourner toute l’année à travers le monde, donnant des concerts au cours desquels il prend un malin plaisir à rendre méconnaissables ses classiques inaltérables.
J’ai assisté à 2 de ses concerts : en 78 à Paris et en 81 à Mannheim.
Je dois dire hélas, que j’ai été très déçu. Je ne suis pas tombé à la bonne période.
Tant pis, car il me reste ces magnifiques disques que je continue de découvrir d’écoute en écoute, et j’aimerais être à la place de ceux qui ne les connaissent pas encore, car, si vous aimez la musique, l’acquisition de ces albums vous procurera un plaisir énorme et vous marquera à jamais.
J-Luc
D’abord, il faut commencer par sa période acoustique avec les disques suivants :
THE FREEWHEELIN’ sorti en 63 avec les hits :« Blowin in the wind », « Master of war “,
“Girl from the North Country” “Don’t think twice, it’s alright” mais surtout “ A hard rain’s gonna fall”.
THE TIMES THEY ARE A CHANGIN’ sorti en 64 avec la chanson du même nom,
« With God on our side », « When the ship comes in” et “One too many mornings”.
Ensuite, Dylan a viré sa cuti, et s’est mis à électrifier son Folk, ce qui a déclenché l’ire de son public initial, avec 3 albums majeurs :
BRINGING IT ALL BACK HOME sorti en 65 comprend le magnifique “She Belongs to me”, que BASHUNG a repris magistralement sur l’album OSEZ JOSEPHINE, « Love minus zero no limit » et “It’s all over now baby blue”.
HIGHWAY 61 REVISITED paru la même année, renferme en plus des incontournables « Like a rolling stone » et « Ballad of a thin man », sa plus belle chanson « Desolation Row ».
La mélodie est incroyable et le texte, d’une grande subtilité, nous plonge dans un univers digne du grand Fellini.
On retrouve sur ce titre, tout le génie de Dylan : la mélodie, les accompagnements et son phrasé légendaire et inimitable, que l’on peut entendre un peu sur l’hommage « Song for Bobby » que lui rend CAT POWER sur son dernier album.
A noter que « Like a rolling stone » est surement dédiée à la muse d’Andy Warhol, Edie Sedgwick dont Dylan était tombé éperdument amoureux à cette époque.
BLONDE ON BLONDE est son 1er chef d’œuvre. C’est d’ailleurs le 1er double album de l’histoire du rock ; et quel double album. Tout y est magique.
« Temporary like Achilles », « 4th time around », « Just like woman » ou « Rainy day women » figurent parmi les plus belles chansons jamais écrites.
La pochette du disque a sa petite histoire : le photographe avait pris une centaine de clichés de Dylan avec sa fameuse écharpe ; au moment de choisir, Dylan a pris la seule qui était floue !
Ensuite, Dylan se plante gravement à moto avec sa Triumph Bonneville et reste plus de 2 ans sans donner signe de vie.
Commence alors une longue période de disette pendant laquelle Dylan ne sortira que des albums ratés, si bien que les critiques de l’époque le considére comme étant fini.
Le déclic a lieu grâce au cinéaste Sam PECKINPAH, qui en 73, se lance dans un film sur PATT GARETT & BILLY THE KID, avec comme acteur principal KRIS KRISTOFFERSON, grand ami de Dylan, qui est convié, non seulement à écrire la BO du film, mais également à y jouer un petit rôle.
Sur la BO, il y a une chanson « Knockin on heaven’s door ».
En 2mn30, Dylan prouve qu’il a retrouvé sa plume et son génie, et va relancer sa carrière.
Les variations autour du thème principal de la chanson « Billy » sont également très beaux.
Puis Dylan sort son 2ème chef d’œuvre fin 74, BLOOD ON THE TRACKS.
C’est à mon sens son plus grand disque, avec notamment « Tangled up in blue », « Simple twist of fate », « You’re a big girl now » et « If you see her, say hello ».
Ce disque est résolument moderne, et prouve que Dylan, malgré sa longue période de non créativité, a très bien assimilé la tournure prise par le rock des années 70 et entend bien faire partie des artistes majeurs de ce mouvement.
On ne peut rester insensible à l’écoute d’un titre comme « You’re a big girl now » ; c’est la perfection même, et lorsque je l’écoute encore aujourd’hui, je sais que je vais vivre un grand moment, tant l’émotion y est intense.
Sur cette lancée, sort en 75 un autre très bon album à posséder absolument : DESIRE.
Dylan est en plein divorce à cette époque et rend un hommage poignant à son ex-femme Sarah Lowndes sur le très beau titre « Sarah ».
Il y a aussi « One more cup of coffee » et « Hurricane » dédiée au boxeur Rubin CARTER, injustement accusé de meurtre, pour lequel Dylan allait partir en campagne pour sa libération.
STREET LEGAL et SLOW TRAIN COMING sont également de bons albums, mais hélas mal produits ; et c’est dommage, car il y a de super chansons sur ces 2 disques.
Ce qui cloche sur ces albums, ce sont les chœurs gospel, que Dylan y a ajoutés.
De 80 à 88, Dylan a sorti ses pires albums, donc éviter surtout cette période, où absolument rien n’est bon.
Puis, alors qu’on n’attendait plus rien de lui, Dylan nous refait le coup de 73, en sortant, en 89, un nouveau chef d’œuvre, produit par le canadien Daniel LANOIS, j’ai nommé : OH MERCY.
C’est un disque très épuré où Dylan, conseillé par Lanois, revient à l’essentiel et à la simplicité ; finis les chœurs et les chansons insipides.
Tous les titres de cet album sont remarquables mais ma préférence va à « The man with the long black coat » et surtout « Most of the time ».
Le comble est que Dylan a écarté du montage final, un titre majeur « Series of dreams », que Lanois voulait à tout prix inclure ; mais on ne contredit pas le maître !
« Series of dreams » apparaîtra quelques années plutard, sur le coffret BOOTLEG SERIES 1 à 3.
Le dernier album qu’il faut avoir est également produit par LANOIS et s’intitule TIME OUT OF MIND sorti en 97, avec les très beaux « Not dark yet » et « Standing in the doorway ».
Aujourd’hui, Dylan a 67 ans ; il continue de tourner toute l’année à travers le monde, donnant des concerts au cours desquels il prend un malin plaisir à rendre méconnaissables ses classiques inaltérables.
J’ai assisté à 2 de ses concerts : en 78 à Paris et en 81 à Mannheim.
Je dois dire hélas, que j’ai été très déçu. Je ne suis pas tombé à la bonne période.
Tant pis, car il me reste ces magnifiques disques que je continue de découvrir d’écoute en écoute, et j’aimerais être à la place de ceux qui ne les connaissent pas encore, car, si vous aimez la musique, l’acquisition de ces albums vous procurera un plaisir énorme et vous marquera à jamais.
J-Luc
Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dreams...
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Emmanuel
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Re: Bob Dylan
C'est bien un orgue Hammond, joué par le guitariste Al Kooper.filip-63 a écrit :Dans les instruments de musique je connais l'orgue Hammond (http://rouesphoniques.heberg-forum.net/forums.html), mais je ne sais pas ce qui est utilisé dans le disque que tu évoques.CAMEO172 a écrit :ça s'écrit pas comme ça ? :oops:filip-63 a écrit : Ah ! je me disais aussi qu'avec une aussi petite voix, il devait surement avoir un problème orgamonal !
:oops: Bon je :arrow:
Pour l'anecdote:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Al_Kooper
http://fr.wikipedia.org/wiki/Like_a_Rolling_Stone
Emmanuel
__________________________________________
Technics SL-1210MK2/Stageline+Cd5i>>202 (DTC mk3)>>200>>Naca5>>Intro2
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SDG
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Hello J.Luc, merci pour ce long post, j'avoue que j'avais eu la flemme d'en écrire autant :oops:
Je te rejoins sur à peu près tout : ca me fait plaisir de lire que quelqu'un aime 'temporary like Achilles", une chanson rarement citée de "blonde on blonde", que j'adore. Parmi les autres du même genre (peu citée mais que je trouve géniaux :
"the lonesome death of hattie carroll"
" it take a lot to laugh, it takes a train to cry"
"as I went out one morning"
"Queen Jane approximately",
"romance in Durango", et tant d'autres.
J'en profite pour recommander aussi l'album "John Wesley harding", pas le chef d'oeuvre de Dylan, mais un disque folk agréable et des chansons très marquées par la religion ("I dreamed I Saw Saint Augustine") qui contient entre autre le fameux "All along the Watchtower", chanson qui sera reprise avec beaucoup de succès par hendrix.
En revanche, "knockin' on heaven's door", rien à faire , je trouve ca très très faiblard et paresseux.
Sinon le pire de Dylan que j'ai écouté : "Empire Burlesque", un vrai cauchemar.
Je ne peux que conseiller Dylan, je n'ai pas pas peur de dire qu'il a changé musicalement ma vie. Hormi La musique classique et quelques grands chocs (sonates pour piano de Beethoven, les cantates de Bach, Stravinski...) et le jazz, je ne vois rien de beaucoup mieux...
A+
Je te rejoins sur à peu près tout : ca me fait plaisir de lire que quelqu'un aime 'temporary like Achilles", une chanson rarement citée de "blonde on blonde", que j'adore. Parmi les autres du même genre (peu citée mais que je trouve géniaux :
"the lonesome death of hattie carroll"
" it take a lot to laugh, it takes a train to cry"
"as I went out one morning"
"Queen Jane approximately",
"romance in Durango", et tant d'autres.
J'en profite pour recommander aussi l'album "John Wesley harding", pas le chef d'oeuvre de Dylan, mais un disque folk agréable et des chansons très marquées par la religion ("I dreamed I Saw Saint Augustine") qui contient entre autre le fameux "All along the Watchtower", chanson qui sera reprise avec beaucoup de succès par hendrix.
En revanche, "knockin' on heaven's door", rien à faire , je trouve ca très très faiblard et paresseux.
Sinon le pire de Dylan que j'ai écouté : "Empire Burlesque", un vrai cauchemar.
Je ne peux que conseiller Dylan, je n'ai pas pas peur de dire qu'il a changé musicalement ma vie. Hormi La musique classique et quelques grands chocs (sonates pour piano de Beethoven, les cantates de Bach, Stravinski...) et le jazz, je ne vois rien de beaucoup mieux...
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