Pochettes Vinyles Mythiques

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JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

HAWKWIND – WARRIOR ON THE EDGE OF TIME : 1975 - Le Rock Cosmique

Magistral album de HAWKWIND en 75.

La basse de LEMMY, dont ce fut le 1er groupe, est monstrueuse, et son alliance avec la guitare de Dave BROCK fait merveille.
Ils forment à eux deux un espèce de mur du son, qui résonne tout au long de cet album remarquable.

Certains préfèrent SPACE RITUAL sorti 2 ans plus tôt, mais ce WARRIOR ON THE EDGE OF TIME est bien plus riche et bien mieux travaillé au niveau des mélodies.
Les parties de claviers et de mellotron sont omniprésentes, de même que la flûte de Nick TURNER, autre fondateur du groupe avec D.BROCK, et font penser à celles de PAVLOV'S DOG.

Cet enregistrement sera d'ailleurs le dernier de LEMMY avec HAWKWIND; il se fera éjecter du groupe pendant la tournée US ayant suivi la sortie de l'album, pour consommation abusive de "speed".
A ce propos, il faut rappeler que la chanson MOTORHEAD, du nom d'un célèbre amphétamine, sur laquelle LEMMY chante, sera enregistrée pendant les sessions de WARRIOR ON THE EDGE OF TIME, mais ne sortira qu'en simple.
Elle est incluse sur la récente réédition CD DE LUXE.
LEMMY formera ensuite une première mouture de son groupe de Hard Rock MOTORHEAD, qui existe toujours d'ailleurs.

La pochette est une merveille; elle se déplie en 4 morceaux et forme ainsi un bouclier.
L'illustration rappelle l'oeuvre de Roger DEAN, mais d'après les notes de pochette, elle n'est pas de lui; c'est un certain Comte Pierre D'Auvergne qui l'a réalisée.

J-Luc

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JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

LOU REED – ROCK AND ROLL HEART : 1976 - Un Grand Album oublié

Lou REED est mort.

C’est l’heure pour les disquaires de ressortir en rayon les grands classiques que sont TRANSFORMER, BERLIN sans oublier l’incontournable BEST OF.
C’est bien triste.
Ne serait-ce pas le rôle d’un disquaire digne de ce nom, de profiter de l’occasion de la disparition de cet immense artiste, pour faire découvrir d’autres enregistrements de Lou REED ?

Bien sûr, j’adore TRANSFORMER, et j’avais acheté à l’époque de sa sortie le BEST OF avec les célèbres photos polaroïd de Lou et de sa mythique compagne Rachel, pour le seul inédit de l’album, NOWHERE AT ALL issu des sessions de CONEY ISLAND BABY.
Mais le vrai Lou REED ne se cache-t-il pas ailleurs ?

Pourquoi, me direz-vous, parler sans cesse du LED ZEPPELIN II alors que l’on a sous la main la mine d’or que représente PHYSICAL GRAFFITI ?
Pourquoi user DARK SIDE OF THE MOON quand il y a des galettes comme MORE ou UMMAGUMMA, dix fois supérieures ?

En tant que chef du rayon « musique internationale » à la FNAC (c’est comme ça qu’on dit aujourd’hui), je pense qu’il aurait été beaucoup plus judicieux de retenir 3 autres disques de Lou REED, 3 disques magnifiques, incroyablement riches et surtout quelque peu méconnus du grand public ou de ceux pour qui, la musique de Lou REED se résume à WALK ON THE WILD SIDE, SWEET JANE ou VICIOUS.

Ces 3 pépites ont toutes été conçues entre 76 et 78 :
CONEY ISLAND BABY, ROCK AND ROLL HEART et surtout STREET HASSLE.

J’ai choisi aujourd’hui, pour rendre un dernier hommage à Lou REED, cet album sorti fin 76 et intitulé ROCK AND ROLL HEART.
C’est un disque que j’ai toujours adoré, et je l’ai écouté des dizaines de fois sans jamais m’en lasser. L’album aurait du s’appeler NOMAD.

Le contexte de cet album est assez complexe et la vie de Lou REED à cette époque est des plus hasardeuse. Sur le plan personnel, il vient de se séparer de sa compagne, un transsexuel nommé RACHEL; sur le plan de ses affaires, il vient de terminer une série de procès avec Denis KATZ son ex avocat et manager, qui l’a contraint à quitter RCA et signer avec le label de Clive DAVIS, ARISTA ; enfin sa santé n’est pas au mieux du fait de sa consommation exagérée en drogues et speed de tous genres, auxquels il faut ajouter sa récente attirance pour l’alcool. Ses fréquentations d’alors sont très controversées et contribuent un peu plus à le faire plonger dans cette vie de paumé New-yorkais, qu’il dépeint si brillamment dans ses chansons.

Pourtant le récent succès de CONEY ISLAND BABY, mon album préféré, lui a redonné l’envie de composer et surtout sur des thèmes un peu plus optimistes.
Il est vrai que les sorties de SALLY CAN’T DANCE et surtout celle de METAL MACHINE MUSIC se sont avérées catastrophiques pour son image et la presse ne s’était pas gardée de crier haut et fort que le personnage de Lou REED n’était plus qu’une caricature de lui-même, et ses déclarations superflues, voire imbéciles.

ROCK AND ROLL HEART fut pourtant une belle réussite personnelle pour Lou REED ; il signe tous les titres, joue toutes les guitares, mixe et produit l’album.
Le son est carrément fantastique. Il y a sur le vinyle une puissance et une présence des instruments sur lesquelles la voix de REED est admirablement mise en valeur.

Comme toujours, pour qu’un album soit réussi, il faut les 2 ou 3 chansons qui servent de locomotives et ici, ce sont LADIES PAY, YOU WEAR IT SO WELL et VICIOUS CIRCLE.

C’est du très grand Lou REED sur ses titres.
LADIES PAY est sans doute une de ses plus belles chansons, que la plupart des gens ignorent. La partie de piano fait penser à BECAUSE THE NIGHT, pas encore écrit en 76, et le solo de guitare de Lou REED nous prouve qu’avec les 3 accords qu’il connaît (c’est lui qui le dit), il est capable de faire sonner une guitare comme personne et nous faire vibrer intérieurement. Quant à sa voix, avec son style « chanté, parlé », elle est carrément superbe.
Pour une fois, il prend le parti des femmes, celles qui sont abandonnées par les hommes et dont le sort est ingrat.

Patti SMITH lui disait d’ailleurs, à cette époque, quand elle l’entendait enregistrer en studio :
« Comment se fait-il qu’un salaud fini comme toi puisse faire une musique aussi belle ? »

VICIOUS CIRCLE est une ballade magnifique et là encore sa voix, chaude et fragile, quasi parlée, reste inimitable ; et c’est comme ça qu’on l’aime.

Enfin YOU WEAR IT SO WELL, où Lou s’adresse à quelqu’un qui cache bien ses secrets, avec les chœurs de son vieux pote d’université, Garland JEFFREYS, est également un des grands moments de l’album.

Le reste est très varié ; on y trouve BANGING ON MY DRUM, un rock style « waiting for my man », un jazz datant du Velvet, A SHELTERED LIFE, sur le même tempo que BEGINNING Of A GREAT ADVENTURE sur New York ; et toujours ce son d’un réalisme étonnant.
I BELIEVE IN LOVE et ROCK AND ROLL HEART feront hérisser les poils de ses vieux fans qui voulaient qu’il devienne un des représentant de la « punk attitude », alors que Lou a toujours nié son attirance pour ce mouvement naissant à cette époque.
SENSELESSLY CRUEL révèle une fois encore sa crainte et sa maladresse avec la gente féminine.
L’album se clôt sur un morceau autobiographique, TEMPORAY THINGS, sur un tempo lent et au climat lourd, où là, les femmes sont à nouveau traitées de « bitch », et à qui on demande de dégager vite fait, car ce ne pouvait être que du provisoire.

Les chansons sont souvent courtes et ne dépassent pas les 3 mn, à part LADIES PAY et TEMPORARY THINGS. L’album, à sa sortie, déroute quelque peu le public, mais dans l’ensemble sera bien accueilli.

La pochette nous laisse apparaître un Lou REED redevenu homme, sans ses éternelles lunettes noires, sans ses cheveux courts blonds peroxydés Son vernis à ongle noir également a disparu. C’est un nouveau Lou REED qui va partir en tournée mondiale, dans des petites salles, mais hélas le disque se vendra mal et il n’inclura qu’un seul titre dans son répertoire.

Il repartira bien vite en studio enregistrer le crucial STREET HASSLE, qu’il considère comme son vrai chef d’œuvre.

J-Luc

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Gagl
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par Gagl »

Et bien voilà, encore trois albums à découvrir, à écouter sans tarder, puis à trouver en vinyles... :)
:merci: Jean-Luc.
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

VELVET UNDERGROUND – LIVE 1969 : 1974 - Un Concert d'Anthologie

Commentaires à suivre...

J-Luc

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nicolas
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Pochettes Vinyles Mythiques

Message par nicolas »

.
Modifié en dernier par nicolas le 24 nov. 2013, 16:31, modifié 1 fois.
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

LOU REED – CONEY ISLAND BABY – 1976 - L'album de la Rédemption

CONEY ISLAND BABY est un disque à part dans la discographie de Lou REED.

Tout d’abord, il fut très bien accueilli par la critique, et c’est déjà un succès en soi quand on connaît la dureté de la presse à son encontre à cette époque.

Il faut dire que Lou REED s’est mis dans une situation très inconfortable depuis quelques années vis-à-vis de la presse et de son public.
Il traverse une grave crise personnelle : il a divorcé de sa femme Bettye, et vit avec un transexuel d’origine Mexicaine, nommé Rachel. C’est elle qui est au verso de la pochette de SALLY CAN’T DANCE.
Il n’a pas supporté que son disque fétiche, BERLIN sorti en 73, a fortement déplu à la critique américaine (en Europe, il fut N°6 des ventes), en qualifiant l’album de « musique déprimante ». Il est vrai que BERLIN était tout sauf la suite que tout le monde attendait après le succès phénoménal de TRANSFORMER.
Pendant les 2 années qui ont suivi, Lou REED a passé son temps à se venger de la critique et de son public, en sortant 3 disques dont un en public, ROCK AND ROLL ANIMAL, sur lequel il s’essaie au Hard Rock, musique très en vogue à l’époque, SALLY CAN’T DANCE et surtout METAL MACHINE MUSIC, double album regroupant 4 morceaux instrumentaux de 16 mn chacun, où on n’entend que des bruits de guitare distordus.
A propos de ce dernier disque, Lou REED, alors en plein conflit contractuel avec son label RCA, disait lui-même :

« Je vous conseille de ne pas acheter ce disque. Ces connards se sont plantés, ils ont gravé quatre fois la même face. »

Toujours est-il que Lou REED multipliait les agressions verbales envers Denis KATZ son manager et avocat, et envers sa maison de disque RCA.
Mais ce qui a mis le feu aux poudres, s’est passé pendant la tournée mondiale courant 75. En Nouvelle Zélande, Lou REED est incapable de monter sur scène suite à sa consommation démentielle de « speed ». Le public attend, et le groupe ne le voyant pas revenir, joue sans lui, et c’est Doug YULE, son ancien compère du VELVET revenu dans son groupe à cette époque, qui chante à sa place.
Lou REED est dans une colère noire ; il annule la tournée, vire sur le champ Doug YULE et repart à New York.
Hélas pour lui, RCA lui réclame alors 600000 dollars, qu’il n’a pas, et refuse de continuer à le produire.
Obligé de vendre son appartement, Lou ruiné, est contraint de négocier avec RCA, qui l’oblige à sortir rapidement un album « commerciable ». En échange, il reçoit 15 dollars par jour et une chambre dans un petit hôtel à Manhattan.

C’est ainsi que commence l’enregistrement de ce qui allait devenir CONEY ISLAND BABY, considéré par ceux qui apprécient sa musique, comme son meilleur album.
Lou REED, comme au bon vieux temps du Velvet, s’occupe de tout et personne ne lui dicte quoique ce soit.
L’album est écrit en un temps record et sort au tout début de 76.

A mon sens, c’est un album MAGISTRAL.
Le son et l’ambiance du disque sont à l’apaisement. On sent Lou REED, sûr de lui, accompagné par un très bon groupe, et les compositions sont toutes d’un très haut niveau.

Les textes sont très personnels, comme sur la sublime chanson titre, sur laquelle sa voix est naturelle et détendue.

On trouve également l’irrésistible CHARLEY’S GIRL que l’on peut écouter et réécouter sans jamais se lasser. Le rythme de cette chanson est à tomber.

Figure également le très noir KICKS, inspiré des grands textes morbides du VELVET. Autre très grand moment de l'album.

Le reste est tout aussi accrocheur, avec des titres comme NOBODY’S BUSINESS, le très entrainant OOOH HH BABY, ou le mélancolique SHE’S MY BEST FRIEND, sans oublier A GIFT, une très jolie chanson.

La pochette de l’album est à l’avenant de la musique proposée : Calme, apaisée et superbe.

La presse du monde entier applaudit l’album, qui reste à ce jour son seul chef d’œuvre reconnu.

J-Luc

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Commentaires ajoutés sur ce chef d'oeuvre :

FRANK ZAPPA - Hot Rats - 1969

J-Luc
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

Un index par ordre alphabétique a été ajouté en page 1 :

C'est pratique quand on cherche un groupe ou un chanteur précis.

INDEX PAR ORDRE ALPHABETIQUE

J-Luc
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Gagl
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par Gagl »

Là, Jean-Luc, ça commence à faire une sacrée somme de chroniques de disques ! :D Le classement alphabétique lui donne une dimension quasi encyclopédique qui ne m'avait pas frappé et dans laquelle il devient plus simple de plonger... :merci:
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par S5-Pro »

Gagl a écrit :Là, Jean-Luc, ça commence à faire une sacrée somme de chroniques de disques ! :D Le classement alphabétique lui donne une dimension quasi encyclopédique qui ne m'avait pas frappé et dans laquelle il devient plus simple de plonger... :merci:
Effectivement et cela marche en plus ... génial merci Jean-Luc !!!

Tiens Zappa est en couverture de Prog Rock ce mois-ci !
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

10CC – HOW DARE YOU – 1975 - Attention Chef d'Oeuvre

On ne parle jamais de ce groupe génial, 10 CC, qui a pondu quelques albums remarquables dans les seventies, dont ce HOW DARE YOU, paru en 75.

La musique est d'une richesse incroyable.
On se situe entre Sparks, les Bee Gees ou Queen, voire Roxy Music, mais ce groupe a sa vraie identité et cet album en est la preuve irréfutable.
C'est une merveille de trouvailles et d'originalité. En plus, le son du vinyle est fantastique.

Le morceau I WANNA RULE THE WORLD est carrément dément. Ca part dans tous les sens, un peu comme le BOHEMIAN RHAPSODY des QUEEN, ou le TRIAL de PINK FLOYD.

Je vous reparlerai de ce groupe, qui a également sorti un autre extraordinaire album en 77, à la somptueuse pochette qui aurait sa place dans cette rubrique : DECEPTIVE BENDS.

Bien-sûr, leur album le plus commercial et le plus connu reste ORIGINAL SOUNDTRACK avec le fameux hit I'M NOT IN LOVE.

Pour ceux qui ne connaissent pas, et qui aiment un peu la musique "barrée", ce disque est pour vous.

J-Luc

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Modifié en dernier par JLH le 29 déc. 2013, 19:10, modifié 3 fois.
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Alcide Nikopol
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par Alcide Nikopol »

J'adore cet album que je conseille vivement à ceux qui ne le connaissent pas. C'est avec lui que j'avais découvert 10CC à la fi des années 70. Malheureusement je n'ai pas le vinyle :pleur4: , j'avais une copie sur k7. Entretemps je me suis acheté le CD en duo-pack avec le "Original Soundtrack" que j'aime moins, même si il y a le mythique "I'm Not In Love".
Marco <:)
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FRAIM
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HeadLine-HiCap / Audeze LCD-2, Grado RS-1, Sennheiser HD660S, ERGO 2, AKG 712 Pro

Mu-so / Mus-so Qb
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Gagl
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par Gagl »

::d Je fais partie de ceux qui ne connaissent pas ce disque et qui vont s'empresser de le découvrir. Et puis j'adore déjà cette pochette... :cool:
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alien78
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par alien78 »

Pareil, bonne idée !
vincent
--------------------------------------------------
Rega RP10, cellule Apheta 2, pré Rega Aria + Chord Epic,NDX2/xps2 DR/cds3/xps2/252/SC2/250 DR/Apertura ONIRA/câble HL (modulation), Apertura Référence (hp), barette secteur Isotek Sirius, PL sur 250, XPS2 et SC2. Fraim.

Je suis le numéro 2, vous êtes le numéro 6.
Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre !
troubadour

Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par troubadour »

Ils avaient un morceau reggae complètement dément aussi ! ?
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