Pochettes Vinyles Mythiques

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PascalB
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par PascalB »

jeanbaptiste a écrit :Qu'est ce qu'un disque mint ? POurtant collectionneur de vinyls depuis 30 ans, j'ignore ce mot... Vite éclairez-moi. Merci
Mint est un terme de collectionneur qui signifie neuf (ou tout comme). On l'utilise pour les vinyls, les cartes à collectionner, les statuettes de collection... plein de choses :wink:
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jeanbaptiste

Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par jeanbaptiste »

merci à toi Pascal pour l'info. J'apprends énormément de choses sur ce forum et ce malgré toutes ces années consacrées aux disques et à la musique en générale. Comme quoi... On ne sait jamais rien.
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Emmanuel
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par Emmanuel »

L'Evaluation d'un vinyle d'après la revue "Goldmine" est souvent reprise ailleurs (Discogs par exemple, site que je recommande tout particulièrement, c'est une des "bibles" du vinyle)
En Francais sur CDandLP.com

Il me semble que dans d'autres collevtions il existe beaucoup plus d'"états" intermédiaires...

Je suis aussi tombé sur ceci Jukebox Magazine que je ne connaissais pas (ni le systeme, ni le magazine).
Emmanuel
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JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

JIMI HENDRIX – ELECTRIC LADYLAND - 1968 : L' histoire d'une pochette


Contrairement aux notes de la pochette de son 1er album qui disent qu’il est né en 47, Jimi HENDRIX est né James Marshall Hendrix à Seattle le 27 novembre 42.
Initialement fan de blues, il s’engage dans l’armée en 61 dans les paras où il fait la connaissance de Billy Cox qui deviendra son bassiste.
Il quitte l’armée en 63 pour raisons de santé et vu ses talents de guitariste, commence à écumer le territoire US en accompagnant toute sorte de musiciens noirs de l’époque, dont Little Richard et les Isley Brothers.

En 1966, les Rolling Stones irradient les US avec leur hymne « Satisfaction » et lors d’une de leurs nombreuses tournées, Linda KEITH, alors petite amie de Keith RICHARD, remarque Hendrix lors d’un concert qu’il donne à Greenwich Village, et le trouve phénoménal.
Après avoir essuyé le refus d’Andrew Loog OLDHAM, Linda se tourne vers Chas CHANDLER, alors bassiste des ANIMALS, qui immédiatement remarque le potentiel qu’ HENDRIX pourrait avoir dans le monde du Rock, qui, faut bien l’avouer, tombait dans une sorte de soupe Pop, tellement éloignée du rock primal.

C’est ainsi que Chandler ramena Hendrix à Londres..
Sa 1ère tâche fut de constituer un groupe, ce qu’il fit rapidement, puis de changer son prénom de Jimmy en JIMI.
Le 1er enregistrement d’Hendrix fut un coup de tonnerre magistral qui secoua le monde du rock fin 66 : HEY JOE, vieux standard de folk dont la paternité contestée en revient à Billy ROBERTS, a été tranfiguré par Jimi, il a ralenti le tempo et a transformé cette complainte d’un amant trompé, en véritable brulôt qui devait rester dans les annales.
C’est après cet enregistrement que Track Records, distribué par Polydor, signa Hendrix.
Il donna son 1er concert en Europe à l’Olympia.

L’impact d’Hendrix est immédiat et foudrayant. Son Blues rock était incroyablement puissant et c’était le plus fort de l’époque.
Le monde entier s’est rendu compte qu’il se passait quelque chose de nouveau, qui allait au delà des Beatles, des Stones et de Dylan lui-même.
Hendrix faisait l’actualité comme aucune personnalité du monde musical avant lui.
Hendrix était mondial, alors que les Doors étaient seulement Américains.

C’est à cette époque que j’ai découvert Hendrix grâce ce fameux 45 tours sur lequel figurait « Hey Joe ». Je n’avais que 10 ans à cette époque, mais lorsque Hey Joe résonna sur notre vieux Teppaz, qui n'était pas vieux alors, je sus immédiatement que le son unique, qui sortait de cette guitare, allait bouleverser pas mal de choses.
C’était en effet la 1ère fois qu’un guitariste virtuose plaçait de tels solos.
Il y a des choses comme ça qui marquent une vie, et je dois avouer que celui-ci m'a réellement impressionné tout comme avant I FEEL FINE des BEATLES, THE LAST TIME des STONES, et LA POUPEE de POLNAREFF.

La suite de la carrière d’Hendrix fut la sortie de 45 tours magiques avant la parution du premier 33 tour : ARE YOU EXPERIENCED que je ne devais posséder que bien des années plus tard. Il y avait 2 titres d'anthologie, ARE YOU EXPERIENCED et surtout 3RD STONE FROM THE SUN.
Fin 67, sortit AXIS BOLD AS LOVE avec le fameux LITTLE WING.

Puis vint le chef d’œuvre absolu, celui qui allait révolutionner le monde de la musique « tout court », j’ai nommé l’extravaguant double album ELECTRIC LADYLAND, qui fut d’ailleurs le premier sujet de notre dossier POCHETTES VINYLES MYTHIQUES.

Il faut remettre l’accouchement de ce disque dans le contexte de l’époque ; nous sommes en 68 et Martin Luther KING vient d’être assassiné, puis c’est au tour de Bob KENNEDY de subir le même sort. Les US sont déchirés par des émeutes raciales et on se trouve en pleine guerre du Vietnam en train de prendre une sale tournure.
Malgré cela, HENDRIX est euphorique , avec son éternel chapeau sur la tête et son immense sourire qu’il affichait en permanence.
Pendant que les STONES parlent de « combats de rues » et les BEATLES de « révolution », lui va nous parler de sirène et voyages psychédéliques.
L’album fut enregistré au RECORD PLANT et les sessions ont commencé avant AXIS BOLD AS LOVE.
Il y a de prestigieux invités comme Stevie WINWOOD, Jack CASSADY et HENDRIX va se surpasser, à tous les niveaux : CREATIVITE et VIRTUOSITE.

Cet album, que certains disent qu’il a mal vieilli, est un authentique CHEF D’ŒUVRE, basé sur 4 moments inoubliables : VOODOO CHILD (initialement baptisé CATFISH BLUES), 1983, ALL ALONG THE WATCHTOWER et THE SLIGHT RETURN.
Jimi est alors au sommet de son art et touché par la grâce.

La longue suite 1983, où il s’imagine, accompagné de sa petite amie, dans un voyage en quête de retouver l’Atlandite, est un modèle du genre. Articulé autour d’un riff de guitare rappelant celui d’HOUSE OF THE RISING SUN, il arrive à nous transporter dans son monde irréel qu’il retranscrit à merveille grâce à sa technique à la guitare.

Un autre moment magique d’ELECTRIC LADYLAND reste la reprise d’ALL ALONG THE WATCHTOWER. Dylan avait écrit cette chanson pour exprimer son mécontement contre sa maison de disques, comparée ici à un voleur (the thief), pendant que lui, la victime, est pris pour un bouffon (the joker).
Jimi était fan de Dylan, surtout de son travail récent, et il tomba sous le charme de cette chanson, mais il lui fit subir une transformation radicale. D’une bluette acoustique, il la propulsa dans un nouvel univers, proche des grandes musiques d’Ennio Morricone. L’ouverture est grandiose et la façon dont il prononce le 1er vers est saisissante. Le point culminant du morceau réside dans sa dévastatrice série de 4 solos de guitare, dont le 2ème à la slide est délicieux, le tout innondé de reverb, dont il était passé maître.
D’ailleurs, ALL ALONG THE WATCHTOWER devint l’hymne des GI’S sur le front au Vietnam.

L’album se clôture par THE SLIGHT RETURN, un conglomérat de solos destructeurs et enchevêtrés les uns dans les autres, et qui servit de catalyseur au mouvement BLACK POWER. Hendrix n’avait-il pas déclaré que cette chanson était l’hymne national de HARLEM ?

La polémique autour de la pochette a pris de telles proportions que ça en devient presque ridicule.
La « pudique Amérique », capable d’autoriser de nos jours les pires spectacles qui soient, n’a toujours pas autorisé la pochette avec les femmes nues.
Ainsi va la vie aux USA.

Le dernier album sorti de son vivant n’est autre qu’un live au FILLMORE enregistré le 31 décembre 69.
Ce disque renferme un autre monument, MACHINE GUN, dans le lequel Hendrix déploie tout son arsenal d’effets : fuzz, wah-wah, univibe etc…

Entre temps, il s’était lancé dans l’écriture de ce qui devait devenir : FIRST RAY OF THE NEW RISING SUN, un double album, enregistré dans son studio qu’il s’était fait construire, l’ ELECTRIC LADYLAND, lui permettant d’enregistrer dès qu’il se sentait inspiré.
Et un beau soir, il accoucha de ce qui est pour moi son plus beau morceau HEY BABY THE NEW RISING SUN, au cours duquel sa guitare tutoie les anges.
Avec le BLACK NAPSKIN de ZAPPA et l’intro magique du SINCE I’VE BEEN LOVING YOU de Page au MSG en 73, je n’ai jamais entendu une guitare sonnée aussi bien. C’est le solo le plus sensible que Jimi ait jamais enregistré. Et pourtant, le morceau est inachevé.

Début septembre 70, il accepte de jouer en Europe dans les grands festivals. Il fait un concert magnifique à WIGHT mais au festival de Puttgarden en Allemagne, ça se passe beaucoup moins bien. Alors que Billy COX fait une mini overdose sur scène, des hordes de bikers et d’anarchistes se livrent à une bataille rangée, ce qui fait fuir la foule.
HENDRIX s’installe alors à LONDRES avec sa girl friend, Monika DANNEMANN.
Il était déjà mal en point. Leonard COHEN prétend qu’il était très amoureux de Joni MITCHELL à l’époque et que l’indifférence de cette dernière à son égard, lui fit beaucoup de mal.

Que s’est-il passé la nuit du 17 au 18 septembre 1970 ?
Plusieurs versions, comme pour MORRISON et B.JONES, vont bon train.
La plus plausible, contrairement a ce que prétend Monika qui affirme qu’Hendrix est mort dans l’ambulance suite à de mauvais soins, reste celle des infirmiers qui disent avoir découvert le corps de Jimi, gisant mort dans son vomis. Il avait ingurgité trop de ses cachets de Vesperax et la tentative de réanimation s’est avérée inutile.

En un peu plus de 3 ans, JIMI HENDRIX aura marqué à jamais le monde de la musique moderne et il restera le premier musicien noir à jouer de la musique de blanc, enterrant de sa classe toute la concurrence.

J-Luc

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leodangers
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par leodangers »

Bonjour,
Je suis nouveau sur le forum. Je cherchais par hasard des pochettes de vinyles et suis tombé sur ce site par hasard. Comme beaucoup ici, je suis un amoureux du bon vieux 33 T. Il n'est pas une semaine sans que je réécoute mes vieux disques. Nostalgie...Mes préférés encore aujourd'hui sont le Cactus "'Ot 'N' Sweaty", et le "And Live" du Johnny Winter And. Deux lives furieux que je recommande à qui aime la guitare comme on ne l'entend plus. Allez, si je devais donner ici mon top ten, j'y rajouterai le premier Point Blank et son fusil pointé, le II du Led Zeppelin, le premier Montrose, "Beck-Ola" de Jeff Beck et le génial "Bang" de James Gang avec la guitare magique de Tommy Bolin.
Après, j'hésite encore entre "Lights Out" d'UFO ou le premier album De Michael Schenker.
Alors, s'il y a ici des amoureux de ces albums...
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JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

leodangers a écrit :Bonjour,
Je suis nouveau sur le forum. Je cherchais par hasard des pochettes de vinyles et suis tombé sur ce site par hasard. Comme beaucoup ici, je suis un amoureux du bon vieux 33 T. Il n'est pas une semaine sans que je réécoute mes vieux disques. Nostalgie...Mes préférés encore aujourd'hui sont le Cactus "'Ot 'N' Sweaty", et le "And Live" du Johnny Winter And. Deux lives furieux que je recommande à qui aime la guitare comme on ne l'entend plus. Allez, si je devais donner ici mon top ten, j'y rajouterai le premier Point Blank et son fusil pointé, le II du Led Zeppelin, le premier Montrose, "Beck-Ola" de Jeff Beck et le génial "Bang" de James Gang avec la guitare magique de Tommy Bolin.
Après, j'hésite encore entre "Lights Out" d'UFO ou le premier album De Michael Schenker.
Alors, s'il y a ici des amoureux de ces albums...
Bonsoir,

Ouah!
Ca fait plaisir de te lire.
Tous les titres que tu cites sont tous extarordianaires.
C'est vrai qu'OT'N SWEATY de CACTUS avec Verner FRITCHINGS à la guitare à la place de Mac Carty, c'est quelque chose.
Quant au 1er POINT BLANK, c'est furieux également : ah combien de fois, je l'ai écouté celui-là avec Rusty BURNS à la guitare.
En plus tu parles du fabuleux BANG du fameux JAMES GANG avec Tommy BOLIN.
Un de mes disques de chevet.
Et UFO, Montrose, Beck et Winter ( le seul à avoir sorti un double vinyle à 3 faces) : que de souvenirs.

J'ajouterais aussi le remarquable DON'T SAY NO de Billy SQUIER.

Merci encore. :bravo

J-Luc
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Baskerville
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par Baskerville »

JLH a écrit :
Et UFO, Montrose, Beck et Winter ( le seul à avoir sorti un double vinyle à 3 faces) : que de souvenirs.

J-Luc
Sauf votre respect, cher Erudit Rock, ce n'est pas le seul: En 1986 Joe Jackson sort "Big World" Image
Sa maison de disque veut sortir l'album qu'en CD. JJ insiste pour qu'il sorte également en vinyl mais comme l'album dure une heure ça ne fera que trois faces enregistrées, la 4eme face restant vierge. C'est ce qui se disait à l'époque.
:bjr:
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

JOHNNY WINTER – SECOND WINTER - 1969 : A Ecouter En Priorité La Face 4


Johnny WINTER a été découvert par un journaliste de la revue ROLLING STONE lors d'un article sur le Blues au Texas, lequel fut impressionné par les talents de cet incroyable guitariste.
Il signe ensuite chez COLUMBIA et devint rapidement la coqueluche du public du FILLMORE EAST à New-York.

SECOND WINTER est son 2ème album, qui pour une raison de durée, remplissait 3 faces d'un double album, la 4ème restant non gravée.
Il aurait pu en faire un double complet, s'il y avait incorporé le fabuleux MEANTOWN BLUES, un de ces morceaux favoris en concert, pouvant s'étaler sur plus de 12 minutes. Il existe une fabuleuse version de ce titre sur le live AND LIVE sorti en 71.
Mais, à ma connaissance, aucune version studio n'a jamais été enregistrée.

Les 3 faces de cet album regorgent de pépites et le jeu de WINTER, ultra rapide, relançant inlassablement ses solos jusqu'à épuisement, provoqua l'admiration de nombreux fans.
A cette époque, il existait une rivalité entre Hendrix et lui afin de savoir qui était le meilleur.

La version de HIGHWAY 61, de Dylan, est extraordinaire. Il y a également une reprise du SLIPPIN' AND SLIDIN de Little Richard, avec son frère, Edgar, au piano et au sax, qui swingue une max.
Tout le reste est gorgé de blues poussé à son paroxyme, hurlé par Johnny WINTER, dont il faut bien l'avouer, la voix n'était pas le point fort.

Tournant tel un forcené en 69 et 70, WINTER, monta ensuite un nouveau groupe, AND, avec Rick DERRINGER en seconde guitare. Après la sortie du fameux AND LIVE, il dut prendre une semi retraite, due à ses abus de drogues.
Ce n'est que fin 73 qu'il revint avec l'excellent STILL ALIVE AND WELL, sur lequel il chante le SILVER TRAIN que Jagger et Richard avaient spécialement écrit pour lui.
Ce titre figure aussi sur l'album GOAT'S HEAD SOUP des Stones.

Il existe une excellente version CD DELUXE LEGACY de SECOND WINTER, de bien meilleure qualité que le vinyle.

J-Luc

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leodangers
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par leodangers »

Bel album, oui mais je lui préfère le "and live" avec le medley "great balls of fire" et une reprise démentielle de "jumpin' jack flash" des Stones. D'ailleurs si quelqu'un ici a la pochette, je suis preneur. Superbe guitariste qui, il me semble a croisé le fer avec Hendrix.
Peut-être mon bluesman préféré avec Stevie Ray Vaughan...
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

leodangers a écrit :Bel album, oui mais je lui préfère le "and live" avec le medley "great balls of fire" et une reprise démentielle de "jumpin' jack flash" des Stones. D'ailleurs si quelqu'un ici a la pochette, je suis preneur. Superbe guitariste qui, il me semble a croisé le fer avec Hendrix.
Peut-être mon bluesman préféré avec Stevie Ray Vaughan...
J'ai la pochette de l'original US, celle qui s'ouvre avec un rabat simple.
Je la ferai un de ces jours.

J-Luc
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

En éditant les messages, j'ai remis les pochettes des pages 1/2/3 qui avaient disparu suite à la fermeture de l'hebergeur.

Le sujet est à nouveau complet.

J-Luc
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par leodangers »

bonjour Jean-Luc,

Je viens de visionner tes pochettes. Waouah! Certaines sont mythiques à mes yeux comme le "In Rock" de Deep Purple ou le "Rock 'n' Roll Animal" de Lou Reed avec ses deux guitaristes fantastiques. Mention spéciale pour le Tejas des ZZ TOP (mais qui les écoute encore aujourd'hui?).
Je suis en train de réécouter le premier UFO, Phenomenon et cet album, c'est vraiment une claque! Si Schenker n'est pas le plus virtuose, il est sans doute un des plus mélodique. Chacun de ses morceaux est un ravissement dont on ne se lasse pas d'écouter...
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par JLH »

leodangers a écrit :bonjour Jean-Luc,

Je viens de visionner tes pochettes. Waouah! Certaines sont mythiques à mes yeux comme le "In Rock" de Deep Purple ou le "Rock 'n' Roll Animal" de Lou Reed avec ses deux guitaristes fantastiques. Mention spéciale pour le Tejas des ZZ TOP (mais qui les écoute encore aujourd'hui?).
Je suis en train de réécouter le premier UFO, Phenomenon et cet album, c'est vraiment une claque! Si Schenker n'est pas le plus virtuose, il est sans doute un des plus mélodique. Chacun de ses morceaux est un ravissement dont on ne se lasse pas d'écouter...
Bonjour Leodangers,

UFO était vraiment un très bon groupe tant qu'il y avait Michael SCHENKER.
PHENOMENON est le 1er album avec lui, mais UFO avait enregistré précedemment 3 albums avec d'autres guitaristes comme Bernie MARSDEN (Futur WHITESNAKE).

PHENOMENON est un très bon album mais on sent que c'est le début de SCHENKER qui n'avait que 18 ans au moment de son enregistrement.
Le groupe allait exploser l'année suivante avec le fantastique FORCE IT sur lequel SCHENKER joue comme un DIEU.
Les mélodies sont superbes et ses solos d'une finesse incroyable : le final intrumental BETWEEN THE WALLS est tout simplement majestueux.
SCHENKER était un peu le petit Mozart de la 6 cordes.
Peu de guitaristes de Rock ont réussi à jouer des solos aussi inspirés.

Beaucoup de mes amis sont venus au Hard Rock après avoir écouté SCHENKER.

En plus, en concert, c'était une bête : avec sa GIBSON FLYING V coincée entre ses genoux et sa longue chevelure blonde qui lui recouvrait le visage, c'était l'attraction du groupe.
Dommage qu'il ait été aussi instable.

J-Luc
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PascalB
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par PascalB »

leodangers a écrit :Mention spéciale pour le Tejas des ZZ TOP (mais qui les écoute encore aujourd'hui?).
Moi, Tejas, Tres Hombres et leur live from Texas sont des albums que j'écoute régulièrement :wink:
Quand le sage montre la lune, l’abruti regarde le doigt.
leodangers
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques

Message par leodangers »

Tejas, tres hombres, je les écoute souvent aussi.
Je suis d'accord Jean-Luc pour le "force it" d'UFO. Un album superbe mais y a-t-il un mauvais album d'UFO avec Schenker? Même la pochette, je la trouve magnifique.
Au rayon guitariste, je garde toujours un album de Pat Travers sous le coude...Il y en a des superbes! je recommande à tous le "Putting it Straight", pour moi son meilleur.
Pour en revenir à Johnny Winter, je me souviens avoir eu en ma possession un album où il joue avec Jerry Lacroix. Je ne me rappelle plus du titre mais cet album-là, dieu que je l'ai souvent écouté!...
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