Kelinac 811MG - Que du bonheur! NAP 200 réparé - CR d'écoute
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yijing
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philippe
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Bon voilà, je me lance : premier compte-rendu d'écoute avec un album que j'adore (je sais certains vont hurler....). FUN HOUSE des STOOGES avec le morceau DIRT. Je vous préviens je ne suis pas technicien. Mon écoute est avant tout instinctive. Je cherche d'abord l'émotion. Donc tout cela risque d'être un brin cahotique.
Pour la petite histoire, c'est grâce au morceau FUN HOUSE que j'ai découvert COLTRANE... Entrant un jour dans un magasin de disques d'occasions je demandais au vendeur s'il avait des albums des STOOGES car j'avais flashé sur FUN HOUSE. Celui-ci me regarda dédaigneux en me disant que FUN HOUSE avait tout piqué à COLTRANE - en beaucoup moins bien et je repartais chez moi avec Giant steps et le virus COLTRANE.
Démarrage de DIRT : petit tempo de batterie, arrivée de la basse, de la guitare et de la voix d'iggy. Tout est là précis, net, parfaitement étagé. La basse ne bave pas. La voix d'iggy Pop est railleuse à souhait, parfois gutturale, parfois en souffle rauque. La guitare et ses riffs magiques, en appui permanent, rapide, précise, électrique à souhait. La batterie claire et les cymbales sans trainée... J'adore. Un son net, rapide et parfaitement focalisé, qui restitue bien l'ambiance délirante de cet album. Si je ferme les yeux je ne peux pas situer les enceintes.
Passé la quatrième minute la guitare délire, iggy prends ensuite le relais, tout est magique. l'émotion passe.
Un autre album magnifique : MOSAIC par WOVEN HAND avec le morceau DIRTY BLUE. Démarrage à la guitare. précision du son des cordes, glissement métallique des doigts sur celles-ci, la voix magique de DEE... là encore c'est la rapidité, le souffle, la précision incroyable et la magie des voix qui marque. Ecoutez la troisième minute : le temps s'arrête, c'est touchant...
Le morceau suivant : SLOTA PROW. Démarrage avec de multiples sons qui se mélangent, percussions, voix trafiquée, basses envoutantes et pourtant ce n'est pas fatiguant. Là encore je distingue clairement chaque son, précisément. La frappe sur une cymbale, les claviers, les coup de baguettes, la voix de DEE si particulière. Le rythme, lancinant prends le dessus. J'écoute la musique, et ce qui passe c'est le rythme et l'émotion. La tonalité des instruments, le grain des voix et des cordes, l'aération ... tout y est. Avec une rapidité fulgurante.
Différent : JOHN COLTRANE MEDITATIONS. Je prends toujours cet album avec moi pendant les écoutes car son premier morceau THE FATHER AND THE SON AND THE HOLY GHOST affolerait n'importe quelle chaîne par la complexité des instruments qui s'affrontent (et puis COLTRANE ET SANDERS en même temps avec un clavier, une basse, un piano et deux batteurs, la claque !).
Là encore chaque note est précise, détachée, et pourtant aérienne. Je distingue clairement chaque instrument, sa tonalité, son grain. Le souffle des saxophoniste est là. La frappe des batteries précise. Du chaos nait l'harmonie. C'est vraiment ce que je ressent. Tout est clair. Simple. Précis. Jamais fatiguant. Les aigus limpides, les sons précis. Le déchirement des saxos, vif, exact. Exactement ce que j'aime. Passé la septième minute, PHAROAH SANDERS - enfin je crois- délire au saxo, c'est carrément émouvant. Frissons garantis. Mes enceintes et ma chaîne jouent leur rôle : elles se font oublier au service de l'émotion et de la musique.
La suite avec du jazz, du classique, du contemporain et de l'opéra plus tard.
Pour la petite histoire, c'est grâce au morceau FUN HOUSE que j'ai découvert COLTRANE... Entrant un jour dans un magasin de disques d'occasions je demandais au vendeur s'il avait des albums des STOOGES car j'avais flashé sur FUN HOUSE. Celui-ci me regarda dédaigneux en me disant que FUN HOUSE avait tout piqué à COLTRANE - en beaucoup moins bien et je repartais chez moi avec Giant steps et le virus COLTRANE.
Démarrage de DIRT : petit tempo de batterie, arrivée de la basse, de la guitare et de la voix d'iggy. Tout est là précis, net, parfaitement étagé. La basse ne bave pas. La voix d'iggy Pop est railleuse à souhait, parfois gutturale, parfois en souffle rauque. La guitare et ses riffs magiques, en appui permanent, rapide, précise, électrique à souhait. La batterie claire et les cymbales sans trainée... J'adore. Un son net, rapide et parfaitement focalisé, qui restitue bien l'ambiance délirante de cet album. Si je ferme les yeux je ne peux pas situer les enceintes.
Passé la quatrième minute la guitare délire, iggy prends ensuite le relais, tout est magique. l'émotion passe.
Un autre album magnifique : MOSAIC par WOVEN HAND avec le morceau DIRTY BLUE. Démarrage à la guitare. précision du son des cordes, glissement métallique des doigts sur celles-ci, la voix magique de DEE... là encore c'est la rapidité, le souffle, la précision incroyable et la magie des voix qui marque. Ecoutez la troisième minute : le temps s'arrête, c'est touchant...
Le morceau suivant : SLOTA PROW. Démarrage avec de multiples sons qui se mélangent, percussions, voix trafiquée, basses envoutantes et pourtant ce n'est pas fatiguant. Là encore je distingue clairement chaque son, précisément. La frappe sur une cymbale, les claviers, les coup de baguettes, la voix de DEE si particulière. Le rythme, lancinant prends le dessus. J'écoute la musique, et ce qui passe c'est le rythme et l'émotion. La tonalité des instruments, le grain des voix et des cordes, l'aération ... tout y est. Avec une rapidité fulgurante.
Différent : JOHN COLTRANE MEDITATIONS. Je prends toujours cet album avec moi pendant les écoutes car son premier morceau THE FATHER AND THE SON AND THE HOLY GHOST affolerait n'importe quelle chaîne par la complexité des instruments qui s'affrontent (et puis COLTRANE ET SANDERS en même temps avec un clavier, une basse, un piano et deux batteurs, la claque !).
Là encore chaque note est précise, détachée, et pourtant aérienne. Je distingue clairement chaque instrument, sa tonalité, son grain. Le souffle des saxophoniste est là. La frappe des batteries précise. Du chaos nait l'harmonie. C'est vraiment ce que je ressent. Tout est clair. Simple. Précis. Jamais fatiguant. Les aigus limpides, les sons précis. Le déchirement des saxos, vif, exact. Exactement ce que j'aime. Passé la septième minute, PHAROAH SANDERS - enfin je crois- délire au saxo, c'est carrément émouvant. Frissons garantis. Mes enceintes et ma chaîne jouent leur rôle : elles se font oublier au service de l'émotion et de la musique.
La suite avec du jazz, du classique, du contemporain et de l'opéra plus tard.
Modifié en dernier par philippe le 18 juin 2008, 22:42, modifié 7 fois.
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yijing
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L-Audiophile
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philippe
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Du NACA 5 acheté sur ce forum !
Pour la suite du compte-rendu d'écoute - pour les quelques uns que cela intéresse - je suis désolé mais je me suis complètement laissé débordé par la travail. Je ne m'étais pas connecté depuis plusieurs semaines. Je le boucle ce week-end.
Pour la suite du compte-rendu d'écoute - pour les quelques uns que cela intéresse - je suis désolé mais je me suis complètement laissé débordé par la travail. Je ne m'étais pas connecté depuis plusieurs semaines. Je le boucle ce week-end.
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stollen
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:bjr:philippe a écrit :Du NACA 5 acheté sur ce forum !
Pour la suite du compte-rendu d'écoute - pour les quelques uns que cela intéresse - je suis désolé mais je me suis complètement laissé débordé par la travail. Je ne m'étais pas connecté depuis plusieurs semaines. Je le boucle ce week-end.
Tu as la chance de disposer de WE particulièrement longs :lol: .
Comment se comportent les Kélinac sur du classique et de l'opéra. Es tu satisfait de l'ensemble Naim/Kélinac ? As tu eu l'occasion d'écouter ces enceintes avec d'autres éléctroniques, chez leur concepteur par exemple ?