Bonsoir à tous,Ding Deng Dong a écrit :Bonsoir RV,
Je dois reconnaître que le sentiment que nous avons eu à l'écoute est assez difficile à expliquer et davantage encore à démontrer.
C'est vraiment dommage que nous soyons aussi éloignés!
A+
Il est en effet des phénomènes "bizarres".
On peut rajouter quelques origines possibles à tout cela (pas de gravure, burin, laque, amplis de gravures, entrainement de la machine à graver, maitrise de "l'ingénieur" chargé de cette opération de gravure,...). La liste n'est pas exhaustive. Comme tout process mécanique, la fabrication d'un "machin" analogique génère de la contrainte. Les facilités de corrections numériques sont désormais telles que revenir à la gravure n'est pas sans risque.
Pour ce qui est de "ce sentiment", il faut se souvenir que la gravure passe par des "bobines" et la lecture aussi. Le coup des transfos me rappelle quelque chose...
Pour le reste, ce sujet est "inépuisable".
J'ai échangé quelques impression "à distance" avec BERN79 à qui j'ai fait parvenir quelques enregistrement LP/CD et CD/CD. Surprise! Résultat différents avec des sources "identiques". LP et CD! Ce qui peut s'expliquer avec un LP (si le disque et l'electronique sont identiques, l'extraction du signal ne l'est pas, la "mécanique" étant différente) devient un peu plus surprenant avec un CD. Comment un CD "brûlé" peut-il mieux "sonner" que l'original "pressé" (sans aucune retouche logicielle bien sur) sur un même lecteur? Pourtant, BERN79 l'a constaté, lui aussi.
Je n'ai pas tout compris, même si j'ai quelques idées. Mes connaissances en numérique sont toutefois bien moindres qu'en analogique. Je me garderai donc bien d'aller plus avant sur le sujet.
Voici donc une interrogation de plus.
Bonne nuit à tous.
NAIM21.