Et ben ! Sacré truc que la mise en oeuvre d'un système !
Ce week-end, y'a un truc qui me titillait : J'ai lu dans un post qu'il ne faut surtout pas mettre le pré-ampli sur l'ampli. Pas de bol, c'est exactement le cas chez moi. J'ai du mal à croire à tout ça parfois, mais après tout, un test ne coute rien d'autre que du temps ; C'est partis !
Je me suis basé sur quelques disques : Bach par Hopkinson Smith (suite violoncelle adapté au luth), 2éme concerto de Rachamaninov (Boris Berezovski), Leucocyte (EST), Miles Ahead (Miles Davis), Caravanserail (Santana), L'imprudence (Bashung). Bref, ceux qui tournent le plus souvent, et que je connais les mieux.
Donc, j'ai séparé d'une trentaine cm en hauteur le 180 du 102.
J'ai mis la HC et Nap 30cm dessous.
Résultat = Mieux : un peu plus de grave, et j'ai un peu plus de dynamique.
Je déplace la HC et la Nap sur le 180. Résultat = touche plus, c'est parfait ! je garde les paramètres de la séparation 102 / 180, et je gagne un peu en image sonore.
En résumé : quel pied ! Quel boulot... Je comprends qu'Eddy y passe du temps
.
D'ou mon questionnement : ou est la limite, la quintessence, le maximum que l'on peut tirer des boiboites Olives dont je raffole depuis près de 20 ans...
