Et vous lisez quoi en ce moment ?

[CAMEO172]

Un jazz cool à la sono

yamamoto ?

[totoche]

par exemple !!!!!!!!!!
j'ai reçu celui que je n'avais pas .
Il est bien dans la lignée mais c'est marrant d'avoir une autre interprétation de morceaux que l'on connait déjà

[CAMEO172]

par exemple !!!!!!!!!!
j'ai reçu celui que je n'avais pas .
Il est bien dans la lignée mais c'est marrant d'avoir une autre interprétation de morceaux que l'on connait déjà

je suis arrivé à le préférer aux autres..c'est pour dire ! Misty est fabuleux sur cette version de 2001 et autumn in seattle est un piège à nenette romantique :toutjuste

[moirasc]

Misty est fabuleux sur cette version de 2001 et autumn in seattle est un piège à nenette romantique

Ah ah.. Y a anguille ??? :cache
Méfie toi, pour le 252 et le 300, ce sera pas gagné avec une dame à la maison... :noir

[totoche]

si-si -
faut bien la choisir

[trez]

J'avais snobé pendant des années les polars de James Ellroy, je me suis plongé dans un de ses derniers: "Ma part d'ombre".

Pavé truffé de crimes, de dérives policières, de portraits pathétiques et d'âpretés dans les relations hommes/femmes. On comprend assez vite que c'est un ouvrage très autobiographique et qu'Ellroy a été profondément marqué par le meurtre de sa mère dans un de ces bas-fonds de Los Angeles, ce qui explique sa fascination pour le crime, de préférence sadique et/ou sexuel, et ses jugements sans complaisance sur le genre humain.
C'est aussi la limite de ce livre: on y est ivre de couples sanglants et d'homicides jusqu'à la nausée, bien que le récit soit vivant (si j'ose dire) et interroge sur le monde à nos portes (enfin moi j'ai l'impression de vivre à Disneyland par comparaison).
Cela donne envie de lire d'autres oeuvres de l'auteur, et d'en savoir plus sur le fantôme récurrent de ses livres, le Dahlia Noir, qui constitue aussi l'un d'entre eux et dont on a tiré un film (plus ou moins loupé d'après ce qu'il en dit).
Roman noir donc, où les seules lueurs sont celles des coups de feu et des phares éclairant les scènes de crime.

[filip63]

Intéressant mais superficiel (et très bref, 144 p)

[trez]

En ce moment j'arrête pas de lire des bouquins qui virent au pénible/n'importe quoi/quelconque/neuneu au bout de quelques dizaines de pages. C'est gonflant: l'impression d'avoir perdu des heures à trouver des impasses.
Ah si y en a un qui était pas mal, "Les saisons de la nuit" de Colum Mac Cann. Histoires croisées de marginaux survivant dans des mondes hostiles et à contre-nature; vieil ouvrier noir à bout de souffle avec une femme blanche, marginal qui a raté sa vie et qui reste dans les souterrains abandonnés du métro new-yorkais.
Des êtres humains qui tentent désespéremment de racheter leur(s) vie(s) successive(s) en bout de parcours. Sombre et beau dans la chute des corps et des âmes.

Sinon j'ai fini par me rabattre sur une valeur sûre de vieille connaissance, "la ferme des animaux" de George Orwell. Humour très grinçant dans la dérive totalitaire et impitoyable d'une communauté d'animaux. Toutes ressemblances avec Joseph/Leon/Adolf/Franklin et Winston étant absolument volontaires. Un classique qui a malheureusement tendance à ne pas vieillir, comme "Le prince" de Machiavel.

[totoche]

J'avais snobé pendant des années les polars de James Ellroy, je me suis plongé dans un de ses derniers: "Ma part d'ombre".

Pavé truffé de crimes, de dérives policières, de portraits pathétiques et d'âpretés dans les relations hommes/femmes. On comprend assez vite que c'est un ouvrage très autobiographique et qu'Ellroy a été profondément marqué par le meurtre de sa mère dans un de ces bas-fonds de Los Angeles, ce qui explique sa fascination pour le crime, de préférence sadique et/ou sexuel, et ses jugements sans complaisance sur le genre humain.
C'est aussi la limite de ce livre: on y est ivre de couples sanglants et d'homicides jusqu'à la nausée, bien que le récit soit vivant (si j'ose dire) et interroge sur le monde à nos portes (enfin moi j'ai l'impression de vivre à Disneyland par comparaison).
Cela donne envie de lire d'autres oeuvres de l'auteur, et d'en savoir plus sur le fantôme récurrent de ses livres, le Dahlia Noir, qui constitue aussi l'un d'entre eux et dont on a tiré un film (plus ou moins loupé d'après ce qu'il en dit).
Roman noir donc, où les seules lueurs sont celles des coups de feu et des phares éclairant les scènes de crime.

Il te faut lire l'enquête sur le meurtre du Dahlia noir .
Livre écrit par un ancien de la police de LA , fils du meurtrier et qui s'est heurté encore de nos jours à la non-réouverture du dossier .
En fait , la mère de Ellroy a été tuée par l'ancien complice du meurtrier du Dahlia . C'est pour ça qu'il y a des similitudes et qu'Ellroy est obsédé par le Dahlia .

[Emmanuel]

J'avais snobé pendant des années les polars de James Ellroy, je me suis plongé dans un de ses derniers: "Ma part d'ombre".

Pavé truffé de crimes, de dérives policières, de portraits pathétiques et d'âpretés dans les relations hommes/femmes. On comprend assez vite que c'est un ouvrage très autobiographique et qu'Ellroy a été profondément marqué par le meurtre de sa mère dans un de ces bas-fonds de Los Angeles, ce qui explique sa fascination pour le crime, de préférence sadique et/ou sexuel, et ses jugements sans complaisance sur le genre humain.
C'est aussi la limite de ce livre: on y est ivre de couples sanglants et d'homicides jusqu'à la nausée, bien que le récit soit vivant (si j'ose dire) et interroge sur le monde à nos portes (enfin moi j'ai l'impression de vivre à Disneyland par comparaison).
Cela donne envie de lire d'autres oeuvres de l'auteur, et d'en savoir plus sur le fantôme récurrent de ses livres, le Dahlia Noir, qui constitue aussi l'un d'entre eux et dont on a tiré un film (plus ou moins loupé d'après ce qu'il en dit).
Roman noir donc, où les seules lueurs sont celles des coups de feu et des phares éclairant les scènes de crime.

Il te faut lire l'enquête sur le meurtre du Dahlia noir .
Livre écrit par un ancien de la police de LA , fils du meurtrier et qui s'est heurté encore de nos jours à la non-réouverture du dossier .
En fait , la mère de Ellroy a été tuée par l'ancien complice du meurtrier du Dahlia . C'est pour ça qu'il y a des similitudes et qu'Ellroy est obsédé par le Dahlia .

En fait, tu peux tout lire de ellroy

[trez]

En fait, tu peux tout lire de ellroy

En fait c'est ce que j'espère : j'attends juste que ma médiathèque ait enfin reçu les bouquins demandés (en commençant par les premiers qu'il a écrits).

[melomane]

"Pour une agiographie comparée entre protestantisme moyenageux et christianisme du siècles de lumière" (tome 2)

[trez]

"Pour une agiographie comparée entre protestantisme moyenageux et christianisme du siècles de lumière" (tome 2)

Ah bon, c'est possible?!... Cela parait un poil anachronique écrit comme ça.

[filip63]

"Pour une hagiographie comparée entre protestantisme moyenageux et christianisme du siècles de lumière" (tome 2)

Ah bon, c'est possible?!... Cela parait un poil anachronique écrit comme ça.

Oui, mais l'explication est dans le tome 1

[melomane]

"Pour une hagiographie comparée entre protestantisme moyenageux et christianisme du siècles de lumière" (tome 2)

Ah bon, c'est possible?!... Cela parait un poil anachronique écrit comme ça.

Oui, mais l'explication est dans le tome 1

voiiiiiilà, 'reusement que y'en à qui suivent ! :toutjuste

Et il parait qu'ils sortent une relecture pour le roman dont j'avais également parlé sur cette antenne :
"Les chêvres russes ont du poils au pattes : la vie et l'oeuvre de Tristant Ivanov Ivanovitch, pauvre pêcheur méthodiste de Biolorussie orientale du 19° siècle"