Vos "Coup de coeur" Pop et Rock

[love_leeloo]

Bon, ça me rassure.
J’hésite par contre entre cd et vinyl... cruel dilemme...

apparemment l'édition vinyl est mieux, cf mon post plus haut sur le DR

[FPM]

Bon ben , je te relancerais pour le dernier Archive , Arnaud !!!

je découvre leur Live au zenith de 2007.
Waouh!!! ya du très bon.

[philhifi]

je découvre leur Live au zenith de 2007. Waouh!!! ya du très bon.

Essaie d'écouter "Londinium" , pour l'instant c'est celui que je préfère , mais je ne les connais pas tous !!!

[FPM]

j'ai pas trop accroché, cela manque de riffs par rapport au live et à noise.

[FPM]

Je viens de le recevoir. j'ai acheter la version limité avec le concert à Vienne.
J'adore
FPM


ce que dit la critique
Calexico est un groupe à part dans le paysage musical, capable de puiser, de brasser puis de remettre au gout du jour tous les courants d'origines de l’Americana et d’y apporter une touche Tex–Mex suffisante pour, savamment, faire le lien entre ses deux cultures aux caractères si distincts. Avec les années, la force de ce combo est, jusqu’à maintenant, de ne jamais avoir vécu en territoire conquis et de toujours avoir su faire évoluer leur musique quand il le fallait. Le point culminant de ceci étant le prédécesseur d'ALGIERS qui semblait avoir consacré la quintessence de l’ensemble des influences auxquelles ils avaient fait appels jusque là.

Alors dire que l'on attendait cet opus est un bien faible mot. La curiosité de savoir dans quelle direction Joey Burns et John Convertino avaient décidé d'explorer. Quelle que soit la voie qu’ils allaient choisir, il était difficile d’imaginer que l’album se fasse sans trompettes en mode mariachis, ni de pedal steel guitar ou que l’ambiance aride de leur musique serait absente.Toujours en quête de trouver une accroche mélodique sur chaque morceau, cet album ne déroge pas à la règle et tous les titres ont cette propriété tant recherchée. Un disque dans la plus pure tradition Calexico, contenant tous les ingrédients qui on fait le succès du groupe et que l’on attendait. Une suite logique à CARRIED TO DUST de très bonne facture. Une philanthropique cuvée sur laquelle nous nous permettrons toutefois de mettre un bémol, car pour la première fois et donc contrairement aux autres de leurs sorties, ALGIERS ne nous surprend pas et repose uniquement sur des acquis. Malgré le départ tonitruant et les indéniables qualités de cet album, cette fois-ci on regrette l’absence de prise de risque. Suivant le groupe depuis un moment maintenant, nous constatons simplement qu’il s’agissait là du moment idéal pour se lâcher et se laisser aller à une ouverture vers d’autres horizons créatifs. Le groupe étant bien installé, un septième album au compteur, une base de fan solide, tout était réuni pour que le risque paye. On nous reprochera certainement cette vaine aspiration, car l’album est excellent, certainement le plus accessible à tous ceux qui ne les connaissent pas. Comme à l’accoutumée on y retrouve de subtiles évolutions contre révolutionnaire et dans la logique du temps qui font de notre attente d’une mutation significative, une utopie relevant de la pure folie.

[jejelaluize]

j'adore ce groupe, ca fait un moment que je les suis....j adore l album tool box.
pas encore eu le temps d ecouter leur dernier album mais je viens de le commander!
tres bon choix mister FPM

[love_leeloo]

Je viens de le recevoir. j'ai acheter la version limité avec le concert à Vienne.
J'adore
FPM

en écoute via Quobuz, merci

[FPM]

j'adore ce groupe, ca fait un moment que je les suis....j adore l album tool box.
pas encore eu le temps d ecouter leur dernier album mais je viens de le commander!
tres bon choix mister FPM

Achtung!!!!
je crois qu'il y en a deux version.
il ne faut pas rater celle avec le CD live en bonus(celle que j'ai).
enregistréeà Vienne avec des classicos, il vaut vraiment le détour.

[FPM]

Un dernier pour ce soir. DEADBEAT DARLING
je trouve le nom assez meddle.
j'ai trouvé ce groupe en farfouillant sur le site http://nyc.thedelimagazine.com/
sitôt écouté, sitôt acheté. et je ne regrette pas.
la voix du chanteur est rocailleuse/enrouée mais très mélodique et entêtante comme j'aime. pour le reste de leur bio j'ai collé un extrait de leur site en bas (en V.O. dans le texte)
on peut les découvrir sur leur site et sur myspace




New York four-piece Deadbeat Darling is spending time on both sides of the pond. After selling out some of NYC's most prestigious venues over the course of the last 3 years, the band was signed by UK label Spearhavoc Records in March 2011, and promptly whisked away from Brooklyn to record in Wales with Grammy award winning producer Ken Nelson (Coldplay, Badly Drawn Boy). The album, titled "THE ANGEL'S SHARE", was mixed by another Grammy award winner, Adrian Bushby (Muse, Foo Fighters), and is due out in early 2012. With a bit of downtown swagger and post-indie charm, their sound weaves together rock with hints of surf and dub. A native of neither extreme, their lifestyle toggles between Brooklyn dive bars and the mise en scene of the West Side's fashion district; their live show is a sweaty barrage of unrestrained energy and mischievous sway that leaves little doubt as to why Deadbeat Darling has garnered such a rabid and eclectic following...

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Deadbeat Darling Named one of the 28 Best Bands of CMJ 2010 by BlackBook

[FPM]

Oyez bonnes gens!!!
il y a 25 ans, REM sortait un de ses albums majeurs.



après Life's Rich Pageant il y a quelques mois voici un album/un groupe à à découvrir ou re découvrir de toute urgence

[FPM]

ma dernière galette:



Voila ce qui se dit sur la toile
Grizzly Bear ne fait qu’enchainer les bonnes notes chez Pitchfork, the blog de référence en matière de musique indé. Il faudrait même dire que ses notes n’ont fait qu’augmenter depuis leur Yellow House de 2006 pour arriver jusqu’au fameux 9,1/10 de Shields. Si c’est sans conteste un grand album on aurait peut être revu la note à la baisse, en arguant qu’il ressemble par certains côtés à Veckatimest, leur troisième et merveilleux album. Voilà pour les pointilleux qui auraient quelque chose à redire. Ce sera d’ailleurs là notre premier et dernier reproche, qu’on se le dise.

On l’attendait au détour quand même cet album. Veckatimest nous avait accompagnés dans toutes les situations, des déceptions amoureuses aux danses chamaniques estivales autour du feu. En bref, il avait ouvert tant de perspectives, montré une telle maitrise des harmonies, nous avait dessiné tant de paysages et nous avait passé par tant d’émotions qu’on avait très peur d’être déçu par le suivant. D’autant plus que les quatre joyeux lurons ne se sont pas reposés sur leurs lauriers depuis la sortie de Veckatimest. Ils ont déjà dû faire face à leur succès grandissant (500 000 copies vendues dans le monde entier) et tourner dans des salles beaucoup plus grandes que ce à quoi ils étaient habitués. En sus, les infatigables ont également monté plein de projets parallèles (notamment CANT, projet de Chris Taylor, ou Horn of Plenty, l’album solo d’Ed Droste, le chanteur). Ça aurait pu les perdre, ils en ont au contraire tiré parti.
Après une première session d’enregistrement infructueuse au Texas, le quatuor brooklynois retente l’expérience au Cap Code. Et ça marche! Les quatre énergumènes affinent leur formule. Ils ne se réinventent pas, on l’a dit. Mais ils se précisent, font preuve d’une créativité incroyable à l’intérieur de leur propre formule, s’autorisant quelques escapades plus expérimentales sur la fin de l’album.

Résultat ? L’album s’ouvre sur “Sleeping Ute”, plus rock que folk, et l’on s’aperçoit d’emblée qu’Ed Droste ose enfin se lâcher, vocalement parlant. Premier sourire. Vient ensuite “Speak In Rounds”, qui renoue avec les guitares sèches, les rythmiques géniales, et toujours cette voix qui prend ses aises…Deuxième sourire. Dix sourires au total. Un par morceau. Plus l’on avance dans l’album et plus l’on se rend compte à quel point Chris Taylor a encore pris des gallons niveau production. Quant aux mélodies et aux compositions, on les retrouve toujours aussi riches et finement ciselées. Chaque instrument tombe à point nommé. Il va nous falloir un certain nombre d’écoutes avant d’épuiser la richesse des arrangements. Quelque chose frappe cependant : Grizzly Bear, loin de faire dans l’épure, a pourtant appris à faire respirer ses chansons, à les alléger un peu. Elles n’en sont que plus planantes.

Trop vite, la fin de l’album arrive. A ce moment les quatre génies s’offrent des libertés. Sur “Gun-Shy” notamment, qu’on sifflote en permanence depuis qu’on l’a entendu. Et surtout sur ce magnifique et long dernier morceau qu’est “Sun In Your Eyes”. Il nous fait monter, descendre des vallées et nous tient en haleine. Quand il s’arrête, une fois que l’on a repris nos esprits on a qu’une envie : remettre Shields au début. Prenez vos précautions donc, après la première écoute vous allez avoir du mal à en sortir.Ils joueront d’ailleurs au Pitchfork Festival début novembre (les pass 3 jours sont d’ailleurs à 100€ au lieu de 130 pour quelques jours).

[FPM]

Bon allez je réactive ce sujet:

j'ai du Pur, du lourd, de l’historique:

It's not a case of doing what's right
It's just the way I feel that matters
Tell me I'm wrong
I don't really care

It's not a case of share and share alike
I take what I require
I don't understand ...
You say it's not fair

Après avoir "enfin" digitalisé ma CDtèque, je me suis rendu compte que je n'avais pas leurs meilleurs albums
c'est réparé.
j'ai acheté:



P***** c'est bon. ça me rappelle quand j'avais de l’acné.
je vous laisse, je vais demander à wafette où elle a rangé son rimel, y a soirée gothique à la MJC, faut que j'y vais .

[jejelaluize]

tres sympa le coffret!!!!!
ça me donne aussi envie de me replonger dans leur univers...
le son est propre sur les enregistrements?

hors sujet : j’étais ado a l'époque et me rappelle avoir été chez le coiffeur en leur demandant qu il me coiffe comme robert S....oufffff il ne savait pas le faire.....

[PascalB]

Pour ma part, j'écoute encore très régulièrement Seventeen Seconds, Disintegration et le live Paris. Ils m'accompagnent depuis tellement d'années que j'aurais dû mal à vivre sans eux

Par contre, je ne réécoute plus vraiment les autres...

[love_leeloo]

Pour ma part Disintegration

ah ... tout s'explique
désintégré qu'il est le pascal