J'ai fait quelques écoutes hier soir avec le CDS et 24 heures de chauffe.
Je suis vraiment très étonné du niveau de restitution, et j'ai besoin de comparer mes habitudes d'écoute sur des disques que je connais bien. J'ai donc cherché des enregistrements, instruments ou morceaux spécifique dans mes disques afin de voir ou son vraiment les différences.
Le tout avec mon système flambant neuf de 1981 (
Daniel), composé de 32.5 / hicap / 250 / SBL, et aussi avec l'aide d'un fantastique casque Stax.
D'une manière générale, c'est comme avec la LP12 : avant il y avait bien distinctement une droite et une gauche, maintenant le message musicale n'est pas toujours localisable dans l'espace. Le CDS donne la même impression, le même ressentis que quand je suis passé de la Rega RP40 avec une Elys à la LP12 avec une Dynavector 2020.
Dans le concerto pour deux pianos de Poulenc que je connais très bien et écoute souvent, le CDS permet de dissocier les deux instruments concertistes l'un de l'autre dans les attaques alors qu'avant ce n'était pas toujours possible ou tout au moins pas aussi distinctement. L'orchestre est plus présent, les cuivres sont plus précis et détachés les uns des autres qu'avec le CDI. La localisation de la scène et l'emplacement des pianos et de l'orchestre sont claires et précis.
Le disque :
Dans l'Imprudence et un best-off de Bashung des détails ressortent mieux voir apparaissent dans certaines parties de guitare ou harmonica.La voix est plus en avant, la scène c'est ouverte.
Les disques :
Attention au disque "remasterisés", ce n'est pas toujours de bonne qualité...
Et autant le CDS est extra avec les disques et enregistrements de qualité, il est impitoyable avec les mauvais !
Dans le 'Wish you where Here" d'un célèbre groupe Anglais des années 70, la version remaster est bonne à jeter. Et si j'osais pas, avec le CDS pas de doutes ! Et c'est un disque que j'adore vraiment. Je l'écouterai plus qu'en 33... En même temps, je m'en remettrais sans problèmes !
Dans le disque imprononçable de Sigur Ross ou figure la superbe chanson Ara Batur, tout est bon. Les instruments du groupe, les instruments du philarmonique, les voix et les choeurs sont très beau. Les voix bien détachées les unes des autres, la montée en puissance et l'image de la scène sont extra.
Le dique en question :
PS : Est-ce que quelqu’un sait comment prononcer le titre de l'album ???
Dans ce disque nommé Requiem, qui est un mélange entre deux époques, l'une ancestral et l'autre contemporaine via Bert Sorensen, l'acoustique de la salle et la présence des voix est tellement naturel que s'en est perturbant.
Le disque :
Je vais continuer a fouiller dans mes disques, et j'ai l'impression que j'ai encore beaucoup de choses à découvrir !