Linn Lingo 2 vs Naim Armageddon
Posté : 17 févr. 2017, 10:49
Bonjour,
Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait un petit CR sur le forum, et là, il y a de la matière …
En effet, Ivan35 (qui devrait changer son pseudo en Ivan86) a la fâcheuse manie de collectionner les platines en ce moment. Il a des LP12 et des Arsiton un peu partout chez lui…
Donc, à la dernière réunion entre Bretons à Erquy, il lui restait une « modeste » LP12 équipée d’un bras Ekos et d’une alimentation Naim Armageddon dans un coin. Il l’a laissée chez Almo en passant afin qu’on s’amuse un peu avec.
Alain ne pouvant pas « mixer » les éléments de sa propre LP12 (équipée du nouveau moteur à courant continu) avec ceux de cette dernière, je me suis modestement dévoué, l’occasion était trop belle de se livrer à un petit comparatif façon belle époque de la HIFI (qui nous sort des sempiternels CR modernes sur les streamer et je ne sais quelles autres étranges boîtes à musique dématérialisée …).
Ni une, ni deux, Alain se pointe à la maison vers 10h30 avec l’écossaise. Bon, et quand Alain arrive pour bricoler sur la danseuse, ça ne rigole pas !
Comment dire, Alain c’est une sorte de « Cymbiosis » breton, un « Peter Swain » du beurre salé et de la crêpe dentelle… Il est outillé comme un pro, les connaisseurs apprécieront :
set-up « jig » (sorte de support métallique permettant d’accéder en toute sécurité sous la platine), clé « Tbar » équipée d’un niveau à bulle afin de positionner correctement les grandes vis traversantes qui partent de la plaque inox, gabarit de réglage de cellule Linn complet + lumière stroboscopique afin de régler finement la vitesse de rotation du moteur, et … sa dernière trouvaille, le « Kinky » un gabarit métallique qui s’enfile dans le socle du bras afin d’ajuster finement la distance entre le pivot du bras et l’axe de rotation… J’en oublie sûrement, Almo complètera …
On se met rapidement au boulot : première étape, démonter l’Ittok de ma propre platine afin de retirer la cellule (cf signature) et de la placer sur l’Ekos d’Ivan (la platine arrive sans cellule), mais aussi récupérer le cable de bras (un mogami terminaisons BNC - la Linn d’Ivan était livrée avec un T cable terminaisons RCA-).
A noter que le bras est un Ekos 1 upgradé chez Linn en Ekos 2 (je ne me rappelle plus trop la différence entre les deux…).
… ça nous prend une petite demie-heure pour enlever le bras, le câble et retirer la cellule, et près d’une bonne heure pour ajuster la Dynavector sur la coquille plus petite de l’Ekos. Il a fallu tordre gentiment les cosses afin que la DVXX2 mk2 puisse avoir le débattement nécessaire à un bon alignement (le phénomène a été souvent débattu sur le forum Linn). ... il a fallu tordre légèrement la cosse blanche mais également celles au niveau du bras, invisibles sur la photo pour installer correctement la cellule ...
Ensuite on sort la Linn d’Ivan de son carton, et on la présente sur le support « set-up jig ».
Joli petit « minoi », un plinth merisier plein, sans rainures, une platine de 2011, achetée au vue de l’étiquette sur le carton chez Choukroun. Elle est impeccable si ce n’est une drôle de marque frontale sur le bois, on dirait un petit trou (un noeud ?) rempli de cire foncée… Pas très grave … La Linn d'Ivan en situation ... notez le petit point rempli de cire sur la façade...
On retire le T cable et on présente le mogami de façon à ce que ce dernier ne vienne pas contraindre la suspension. On s’y reprend plusieurs fois afin de positionner correctement le « P clip » (pièce plastique légèrement suspendue qui permet de fixer et d’orienter le câble de bras à l’intérieur de la platine…).
Petite inspection de l’ »expert » qui remarque un fil de masse curieusement câblé sur une des vis de la planchette. Cela semble rajouter un peu inutilement une surépaisseur à ce niveau assez critique de la Linn (les vis de planchette sont très courtes). Alain décide de déporter ce fil de masse sur une partie libre du sous-châssis. Mine de rien ça nous prend un peu de temps car on se fabrique une petite vis très courte pour fixer ce cable en ajoutant le moins de masse possible. Revérification du serrage des vis de planchette (pas trop peu, mais pas trop serrées non plus)…
A ce stade, je crois qu’on se décide à utiliser le « Kinky » . L’idée est de desserrer légèrement les 3 vis du support de bras sur la planchette, d’enfiler le gabarit dans le support de bras de faire en sorte que l’axe du plateau tombe pile poil à l’autre bout du Kinky et de resserrer quand tout est en ordre. On peut aussi théoriquement jouer sur les vis de planchette, mais nous avons préféré éviter, du reste nous n’en avons pas eu besoin… La LP12 d’Ivan accusait un léger décalage il a fallu repositionner le support de bras… ...utilisation du Kinky, la Linn est positionnée sur le "set-up jig"...
Une autre vue : Autre coup d’oeil de l’expert, la vis de la plaque inox côté moteur est selon lui beaucoup trop serrée… Il la desserre et la réajuste « façon Peter Swain » : il appuie sur le dessus de la plaque inox avec le pouce et visse par dessous l’écrou simplement à la main (je crois)… Alain n’est pas totalement satisfait du positionnement de la plaque qui sonne un peu fêlée sur le devant. On n’a clairement pas le temps de tout redémonter, ce sera pour une prochaine fois…
Là il on réinstalle le bras, le câble et on fait une petite vérification de la suspension…. On n’insiste pas plus que ça 10 minutes environ afin d’obtenir un bon débattement en piston, car le mouvement de bas en haut était un peu « coincé ».
Le gros du boulot est fait. La platine embarque la carte d’alimentation de l’Armageddon, c’est cette config que nous écouterons en premier, l’étape suivante consistant à remettre la platine sur la table d’opération pour enlever la carte Armageddon et y placer celle du Lingo 2.
Et l’écoute me direz-vous ?
On pourra distinguer 2 choses :
1 - la comparaison précirkus/Ittok vs cirkus/Ekos 2
2 - Armageddon vs Lingo 2.
Pour le point 1, pas facile de distinguer ce qui relève de l’Ekos et ce qui relève du cirkus. Ce qu’on peut dire c’est que la Linn « old school » sonne plus chaleureux, plus rond mais aussi plus colorée. Le bras Ittok est excellent, mais il en rajoute un peu dans les graves et est un peu moins fin dans l’aigu. Mais la famille sonore est la même !
L’Ekos donne l’impression d’être plus près des instruments, les timbres sont plus réalistes. Il attaque aussi plus fort, le sentiment de dynamique générale est supérieur, on s’en rend compte sur les coups de grosse caisse. Autre point remarquable la finesse et le sentiment de matière dans l’aigu, les cymbales ou les triangles sonnent de façon très réaliste, le soyeux des violons est plus affirmé. C’est un des points faibles de l’Ittok, ce côté un peu plus brouillon et légèrement plus agressif dans l’aigu. Mais tout est une question de mesure, ça reste un excellent bras qui ne démérite absolument pas face à l’Ekos, probablement un des meilleurs RQP dans les bras Linn actuellement, capable de rendre justice à de nombreuses prestigieuses cellules MC.
De façon générale, l’Ekos étage mieux les différents plans sonores, sur des musiques complexes, comme des choeurs ou un grand orchestre c’est plus propre, plus exhaustif. Ce qui m’a plu c’est que ce surcroit de définition n’est pas entaché de froideur ou de dureté, la Linn ne se transforme pas en « machine de guerre analytique », les registres restent tous bien intégrés.
Pour le point 2, la platine et la cellule étant la même, c’est très facile de se prononcer sur ce que nous avons entendu.
Avec l’Armageddon, on a un sentiment de naturel très plaisant, c’est fluide, la musique coule toute seule. Les différents registres sont bien tenus … sans plus. On reste un peu sur notre faim avec Alain, ça manque de quelque chose, l’image sonore est confinée entre les enceintes, l’étagement en profondeur est moyen. « Gentillet » dira Alain …
Le passage au Lingo 2 est un choc, l’apport en énergie est assez incroyable, les coups de grosses caisses vous prennent au plexus. L’image sonore s’ouvre énormément en largeur et en profondeur. Nous ne nous attendions pas à une telle différence. Le suivi rythmique me parait bien meilleur, ça reste très fluide aussi mais c’est beaucoup plus enlevé.
Il est clair que dans la configuration du bras Ekos le Lingo 2 est l’alimentation qui fonctionne le mieux.
Mais, pour être honnête, il faudrait pouvoir réessayer l’Armageddon avec le bras Aro, car cette alimentation a été conçue et pensée avec ce bras. En fait, je crois que les deux alimentations ne cherchent pas à mettre en valeur la même chose, elles n’ont sans doute pas été pensées avec la même philosophie : plus de naturel avec l’Armageddon (mais au détriment d’un certain ennui, d’un manque d’énergie ?), plus de force d’assurance et d’ouverture avec le Lingo (mais je n’ai pas trouvé cela moins naturel pour autant, d’aucun pourront lui reprocher un léger « stress » totalement absent avec l’Armageddon ?…moi, ça ne m’a pas gêné…). ...un aperçu de la pièce et de l'installation ...
... la cellule Dynavector, très prisée chez nos amis britanniques ...
Voilà, du coup, je crois bien que la Linn d’Ivan va rester à la maison pour faire bon ménage avec le Lingo. Ce qui veut dire qu’une LP12 / Ittok (alim basique avec le gros bouton rouge) sera bientôt dans les PA non Naim du forum. Mais avant il faut que je l’emmène chez le « docteur Almo », pour qu’il la vérifie et la règle…
La musique « matérialisée » a encore de beaux jours devant elle et c’est tant mieux ! Au plaisir de vous lire au détour d’un bon vieux CR à « l’ancienne »…
A+
Dug
Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait un petit CR sur le forum, et là, il y a de la matière …
En effet, Ivan35 (qui devrait changer son pseudo en Ivan86) a la fâcheuse manie de collectionner les platines en ce moment. Il a des LP12 et des Arsiton un peu partout chez lui…
Donc, à la dernière réunion entre Bretons à Erquy, il lui restait une « modeste » LP12 équipée d’un bras Ekos et d’une alimentation Naim Armageddon dans un coin. Il l’a laissée chez Almo en passant afin qu’on s’amuse un peu avec.
Alain ne pouvant pas « mixer » les éléments de sa propre LP12 (équipée du nouveau moteur à courant continu) avec ceux de cette dernière, je me suis modestement dévoué, l’occasion était trop belle de se livrer à un petit comparatif façon belle époque de la HIFI (qui nous sort des sempiternels CR modernes sur les streamer et je ne sais quelles autres étranges boîtes à musique dématérialisée …).
Ni une, ni deux, Alain se pointe à la maison vers 10h30 avec l’écossaise. Bon, et quand Alain arrive pour bricoler sur la danseuse, ça ne rigole pas !
Comment dire, Alain c’est une sorte de « Cymbiosis » breton, un « Peter Swain » du beurre salé et de la crêpe dentelle… Il est outillé comme un pro, les connaisseurs apprécieront :
set-up « jig » (sorte de support métallique permettant d’accéder en toute sécurité sous la platine), clé « Tbar » équipée d’un niveau à bulle afin de positionner correctement les grandes vis traversantes qui partent de la plaque inox, gabarit de réglage de cellule Linn complet + lumière stroboscopique afin de régler finement la vitesse de rotation du moteur, et … sa dernière trouvaille, le « Kinky » un gabarit métallique qui s’enfile dans le socle du bras afin d’ajuster finement la distance entre le pivot du bras et l’axe de rotation… J’en oublie sûrement, Almo complètera …
On se met rapidement au boulot : première étape, démonter l’Ittok de ma propre platine afin de retirer la cellule (cf signature) et de la placer sur l’Ekos d’Ivan (la platine arrive sans cellule), mais aussi récupérer le cable de bras (un mogami terminaisons BNC - la Linn d’Ivan était livrée avec un T cable terminaisons RCA-).
A noter que le bras est un Ekos 1 upgradé chez Linn en Ekos 2 (je ne me rappelle plus trop la différence entre les deux…).
… ça nous prend une petite demie-heure pour enlever le bras, le câble et retirer la cellule, et près d’une bonne heure pour ajuster la Dynavector sur la coquille plus petite de l’Ekos. Il a fallu tordre gentiment les cosses afin que la DVXX2 mk2 puisse avoir le débattement nécessaire à un bon alignement (le phénomène a été souvent débattu sur le forum Linn). ... il a fallu tordre légèrement la cosse blanche mais également celles au niveau du bras, invisibles sur la photo pour installer correctement la cellule ...
Ensuite on sort la Linn d’Ivan de son carton, et on la présente sur le support « set-up jig ».
Joli petit « minoi », un plinth merisier plein, sans rainures, une platine de 2011, achetée au vue de l’étiquette sur le carton chez Choukroun. Elle est impeccable si ce n’est une drôle de marque frontale sur le bois, on dirait un petit trou (un noeud ?) rempli de cire foncée… Pas très grave … La Linn d'Ivan en situation ... notez le petit point rempli de cire sur la façade...
On retire le T cable et on présente le mogami de façon à ce que ce dernier ne vienne pas contraindre la suspension. On s’y reprend plusieurs fois afin de positionner correctement le « P clip » (pièce plastique légèrement suspendue qui permet de fixer et d’orienter le câble de bras à l’intérieur de la platine…).
Petite inspection de l’ »expert » qui remarque un fil de masse curieusement câblé sur une des vis de la planchette. Cela semble rajouter un peu inutilement une surépaisseur à ce niveau assez critique de la Linn (les vis de planchette sont très courtes). Alain décide de déporter ce fil de masse sur une partie libre du sous-châssis. Mine de rien ça nous prend un peu de temps car on se fabrique une petite vis très courte pour fixer ce cable en ajoutant le moins de masse possible. Revérification du serrage des vis de planchette (pas trop peu, mais pas trop serrées non plus)…
A ce stade, je crois qu’on se décide à utiliser le « Kinky » . L’idée est de desserrer légèrement les 3 vis du support de bras sur la planchette, d’enfiler le gabarit dans le support de bras de faire en sorte que l’axe du plateau tombe pile poil à l’autre bout du Kinky et de resserrer quand tout est en ordre. On peut aussi théoriquement jouer sur les vis de planchette, mais nous avons préféré éviter, du reste nous n’en avons pas eu besoin… La LP12 d’Ivan accusait un léger décalage il a fallu repositionner le support de bras… ...utilisation du Kinky, la Linn est positionnée sur le "set-up jig"...
Une autre vue : Autre coup d’oeil de l’expert, la vis de la plaque inox côté moteur est selon lui beaucoup trop serrée… Il la desserre et la réajuste « façon Peter Swain » : il appuie sur le dessus de la plaque inox avec le pouce et visse par dessous l’écrou simplement à la main (je crois)… Alain n’est pas totalement satisfait du positionnement de la plaque qui sonne un peu fêlée sur le devant. On n’a clairement pas le temps de tout redémonter, ce sera pour une prochaine fois…
Là il on réinstalle le bras, le câble et on fait une petite vérification de la suspension…. On n’insiste pas plus que ça 10 minutes environ afin d’obtenir un bon débattement en piston, car le mouvement de bas en haut était un peu « coincé ».
Le gros du boulot est fait. La platine embarque la carte d’alimentation de l’Armageddon, c’est cette config que nous écouterons en premier, l’étape suivante consistant à remettre la platine sur la table d’opération pour enlever la carte Armageddon et y placer celle du Lingo 2.
Et l’écoute me direz-vous ?
On pourra distinguer 2 choses :
1 - la comparaison précirkus/Ittok vs cirkus/Ekos 2
2 - Armageddon vs Lingo 2.
Pour le point 1, pas facile de distinguer ce qui relève de l’Ekos et ce qui relève du cirkus. Ce qu’on peut dire c’est que la Linn « old school » sonne plus chaleureux, plus rond mais aussi plus colorée. Le bras Ittok est excellent, mais il en rajoute un peu dans les graves et est un peu moins fin dans l’aigu. Mais la famille sonore est la même !
L’Ekos donne l’impression d’être plus près des instruments, les timbres sont plus réalistes. Il attaque aussi plus fort, le sentiment de dynamique générale est supérieur, on s’en rend compte sur les coups de grosse caisse. Autre point remarquable la finesse et le sentiment de matière dans l’aigu, les cymbales ou les triangles sonnent de façon très réaliste, le soyeux des violons est plus affirmé. C’est un des points faibles de l’Ittok, ce côté un peu plus brouillon et légèrement plus agressif dans l’aigu. Mais tout est une question de mesure, ça reste un excellent bras qui ne démérite absolument pas face à l’Ekos, probablement un des meilleurs RQP dans les bras Linn actuellement, capable de rendre justice à de nombreuses prestigieuses cellules MC.
De façon générale, l’Ekos étage mieux les différents plans sonores, sur des musiques complexes, comme des choeurs ou un grand orchestre c’est plus propre, plus exhaustif. Ce qui m’a plu c’est que ce surcroit de définition n’est pas entaché de froideur ou de dureté, la Linn ne se transforme pas en « machine de guerre analytique », les registres restent tous bien intégrés.
Pour le point 2, la platine et la cellule étant la même, c’est très facile de se prononcer sur ce que nous avons entendu.
Avec l’Armageddon, on a un sentiment de naturel très plaisant, c’est fluide, la musique coule toute seule. Les différents registres sont bien tenus … sans plus. On reste un peu sur notre faim avec Alain, ça manque de quelque chose, l’image sonore est confinée entre les enceintes, l’étagement en profondeur est moyen. « Gentillet » dira Alain …
Le passage au Lingo 2 est un choc, l’apport en énergie est assez incroyable, les coups de grosses caisses vous prennent au plexus. L’image sonore s’ouvre énormément en largeur et en profondeur. Nous ne nous attendions pas à une telle différence. Le suivi rythmique me parait bien meilleur, ça reste très fluide aussi mais c’est beaucoup plus enlevé.
Il est clair que dans la configuration du bras Ekos le Lingo 2 est l’alimentation qui fonctionne le mieux.
Mais, pour être honnête, il faudrait pouvoir réessayer l’Armageddon avec le bras Aro, car cette alimentation a été conçue et pensée avec ce bras. En fait, je crois que les deux alimentations ne cherchent pas à mettre en valeur la même chose, elles n’ont sans doute pas été pensées avec la même philosophie : plus de naturel avec l’Armageddon (mais au détriment d’un certain ennui, d’un manque d’énergie ?), plus de force d’assurance et d’ouverture avec le Lingo (mais je n’ai pas trouvé cela moins naturel pour autant, d’aucun pourront lui reprocher un léger « stress » totalement absent avec l’Armageddon ?…moi, ça ne m’a pas gêné…). ...un aperçu de la pièce et de l'installation ...
... la cellule Dynavector, très prisée chez nos amis britanniques ...
Voilà, du coup, je crois bien que la Linn d’Ivan va rester à la maison pour faire bon ménage avec le Lingo. Ce qui veut dire qu’une LP12 / Ittok (alim basique avec le gros bouton rouge) sera bientôt dans les PA non Naim du forum. Mais avant il faut que je l’emmène chez le « docteur Almo », pour qu’il la vérifie et la règle…
La musique « matérialisée » a encore de beaux jours devant elle et c’est tant mieux ! Au plaisir de vous lire au détour d’un bon vieux CR à « l’ancienne »…
A+
Dug