Si je pense que c’est ça je viens de le lire, c’est vers la fin
L’article passe en revue un certain nombre de "problèmes" liés aux NFT mais plus précisément dans le monde de l’art et la falsification.
Ici il est dit que la falsification peut devenir preuve d’authenticité une fois inscrite sur la Blockchain du fait justement qu’elle est considérée comme inviolable. Mais même cela n’est pas propre aux NFT et existe dans l’art traditionnel. Il est notoire qu’il y a dans les musées des faux qui ont été identifiés à tort comme authentiques. Ils sont considérés comme "vrais"
De toute façon la notion de faux est indissociable de celle d’authenticité, cette dernière n’aurait pas de sens si il n’y avait pas de tentatives de falsification. Et ça ne date pas d’aujourd’hui.
J’ai retrouvé dans cet article le terme de la pratique douteuse qui a cours lors des ventes aux enchères : "wash-trading", mais il y en a d’autres.
En fait j’avais lu un compte rendu de cet article dans un mailing de Artmarket.
Ces faits que recensent l’article sont un peu une compilation de ce qu’on peut lire régulièrement, mais ça ne concerne qu’un petit aspect des NFT.
Néanmoins l’article aborde le point des smart contracts qui est peut-être le plus sensible dans la généralisation des NFT et donc dans ce rapport au streaming. Pour l’heure, de ce que j’ai compris, les transactions demeurent gourmandes en énergie et argent (ce qui doit aller de paire). De ce que j’ai lu plusieurs solutions sont en route pour y remédier mais toujours d’après ce que j’ai compris ces remèdes amènent un affaiblissement de la décentralisation