alien78 a écrit :J'aimais bien Hélène Grimaud au début.
Elle reste toujours jolie mais sa musique, elle, se perd un peu...
+ 1
J'aime beaucoup Hélène Grimaud, j'aime beaucoup Bach mais là je reste sur ma faim
Déjà j'ai du mal avec les interprétations de Bach sur instruments modernes, ensuite, je trouve que sur ce disque, elle n'a rien à nous dire
J'aurais presque eu tendance à dire qu'elle est plus à l'aise dans des répertoires plus modernes pourtant, les concerts qui ont précédé et suivi l'enregistrement de ce disque ont tous été bien critiqués...
Quand le sage montre la lune, l’abruti regarde le doigt.
J'aime ses interprétations en general.
Pour ce qui est de Bach, il m'est difficile de sortir de Gould... Et je partage comme vous une certaine lassitude à l'écoute de H. Grimaud.
Que du piano de Prokoviev, avec notamment les fameuses sonates n° 6 et 7. Dans la 7 Kempf rivalise sans problème avec Pollini. Le dernier mouvement de la 7, sorte de cauchemar éveillé, dont la ligne de basse est obsédante, est un grand moment. A écouter aussi sur deezer!
CHP a écrit : Pour ce qui est de Bach, il m'est difficile de sortir de Gould...
Bonsoir,
alors pour essayer de s'en sortir et sur instrument moderne il faut écouter un live de Feltsman dans les variations Goldberg, Richter dans le clavier bien tempéré (malgré une prise de son d'une médiocrité crasse) et surtout Anderszewski dans les partitas. Et lorsque l'on retourne à Gould, on a l'impression d'écouter une machine à tricoter
CHP a écrit : Pour ce qui est de Bach, il m'est difficile de sortir de Gould...
Bonsoir,
alors pour essayer de s'en sortir et sur instrument moderne il faut écouter un live de Feltsman dans les variations Goldberg, Richter dans le clavier bien tempéré (malgré une prise de son d'une médiocrité crasse) et surtout Anderszewski dans les partitas. Et lorsque l'on retourne à Gould, on a l'impression d'écouter une machine à tricoter
Merci pour l'info.
Je vais écouter et vous tiens au courant.
Je ne sais pas si ce titre doit être en classique ou musique du monde?
(comme finalement presque tous les Jordi Saval... )
Mais je viens d'offrir ceci à mon cd3.5 :
El Cant de la sibil-la
J'y ai retrouvé des sonorités qui m'ont fait aimer Dead Can Dance...(il y a un lien de parenté très fort...) C'est étonnant...
Mais j'aime beaucoup ces musiques...(quasi mystiques... )
CD 3.5 + hicap, Project debut III (cellule Denon DL 103), Nac 72 , Nap 140, Nac a 5 , Credo.
Suis passé à la feunaque ce soir, j'avais une urgence avant le concert de mercredi prochain.
Ce disque est plein de sensibilité, un vrai bonheur, qui plus est enregistré avec soin dans une optique minimaliste par Joël Perrot dans un temple¨de dimensions modeste sur piano Fazzioli : couple de micros schoeps (à lampes ? je ne me rappelle plus), câbles et préampli lavardin attaquant directement un ordinateur Mac (avé le logiciel Pro-Tools ? ne m'en demandez pas plus j'y connais rien en informatique musicale), monitoring direct sur place après chaque prise avec des LS3-5a drivées par du Lavardin.
Et comment je sais ça, et bien c'est simple j'y étais. Mon ami (de 30 ans) Joël Perrot m'avait invité lors d'une séance d'enregistrement en 2009 avec quelques personnes histoire de faire un peu de viande dans la salle et accessoirement pour soutenir Corinne qui est son épouse dans la vraie vie mais sutout pour partager le plaisir (quoique eux y bossaient). J'ai quand même aidé à ranger la salle et poussé le piano après la prise de son.
JD12 a écrit :Joël Perrot m'avait invité lors d'une séance d'enregistrement en 2009 avec quelques personnes histoire de faire un peu de viande dans la salle ...J'ai quand même aidé à ranger la salle et poussé le piano après la prise de son.
Jacques
te voilà trouvé un nouvel emploi : panneau acoustique mobile de ménage !
bon concert en tout cas !
"♫ sometimes...♫ music ♫ can transport you to unknown places of wonder lift the spirit, and just make you feel so good. ♫" CDS3 / XPS / 250 / 252 / SC / Allaeeaea / Naca 5 /PLx2 Technics 1200 MKII / Creek OBH18 / Ortofon 2M Red
Arcam AirDAC
Les brandebourgeois et les suites de bach par Suzuki. Cet enregistrement se distingue notamment par l'utilisation de violoncello alla spalla, des violoncelles plus petits, joués à l'épaule (Kuijken en joue souvent lors de ses concerts). Dans le troisième brandebourgeois, l'utilisation de ces instruments apporte une plus grande cohérence, le dialogue entre les trois voix (violons, altos et violoncelles) semble plus homogène.
Dans ce même concerto, Suzuki innove en proposant un deuxième mouvement inédit (?). Ce deuxième mouvement ne comporte que deux accords sur la partition, transition avec le troisième mouvement. On suppose que du temps de Bach les musiciens improvisaient. Suzuki utilise le deuxième mouvement du concerto BWV 1064 pour trois clavecins, en le transposant et l'arrangant. Le résultat est franchement pas mal, et puis il comble enfin le vide laissé par ce mouvement dans sa version originale.
Les brandebourgeois et les suites de bach par Suzuki. Cet enregistrement se distingue notamment par l'utilisation de violoncello alla spalla, des violoncelles plus petits, joués à l'épaule (Kuijken en joue souvent lors de ses concerts). Dans le troisième brandebourgeois, l'utilisation de ces instruments apporte une plus grande cohérence, le dialogue entre les trois voix (violons, altos et violoncelles) semble plus homogène.
Dans ce même concerto, Suzuki innove en proposant un deuxième mouvement inédit (?). Ce deuxième mouvement ne comporte que deux accords sur la partition, transition avec le troisième mouvement. On suppose que du temps de Bach les musiciens improvisaient. Suzuki utilise le deuxième mouvement du concerto BWV 1064 pour trois clavecins, en le transposant et l'arrangant. Le résultat est franchement pas mal, et puis il comble enfin le vide laissé par ce mouvement dans sa version originale.
C'est un nouveau packaging ou un nouvel enregistrement ?
Quand le sage montre la lune, l’abruti regarde le doigt.
Pour PasacalB : je crois que c'est une réedition : coffret avec des affreuses pochettes en plastique en gros le niveau zéro de l'édtion musicale, mais à bas prix