Voilà qui me donne envie de glisser une petite sélection toute personnelle d'albums du grand Chet...
Enregistré à Paris au début de sa carrière (1955-1956) et avec des musiciens peu connus mais redoutables, dont le pianiste Dick Twardzik :
Celui-ci, enregistré en 1958 avec la grosse artillerie, le ténor Johnny Griffin, le pianiste Al Haig, Paul Chambers à la basse et Philly Joe Jones à la batterie :
Superbe aussi, ce disque enregistré en 1959 lors de séjour de Chet en Italie après quelques déboires avec la poudre aux États-Unis :
Et celui-là, pour ce faire une idée du timbre et du phrasé inimitables du chant de Chet, par ailleurs si proche de l'intimité poétique et si pudique qu'il sait distiller avec sa trompette :
