Bon, les gones se sont donc réunis en ce Samedi matin pluvieux.
J'ai découpé le somptueux Pdf que Francis a élaboré, avec les notes prises pendant la session.
Donc le CR, c'est surtout Francis.
Pascal s'attelle à la mise en place, et pour commencer mise en phase des éléments.
Seuls hic, les blocs mono n'étant pas reliés à la terre, on ne peut pas vérifier, si j'ai bien compris.
(pour les blocs, je l'avais fait à l'oreille...).
J'entends quelques discussions à propos de 0 et de 1, comme quoi il ne pouvait pas y avoir de différence de rendu sonore...
On commence donc sur du classique :
En ce qui me concerne :
La phase, oui, petit mieux, aussi constaté ultérieurement sur un CD que je connais bien.
La deuxième Hicap, même chose, mais il me faudra tester tranquillement, sans me presser sur plusieurs jours pour savoir si le jeu en vaut la chandelle, en gros si l'amélioration mérite le budget conséquent que représente une Hicap. Là, j'ai perçu un petit mieux; si une écoute prolongée me montre que c'est un gros mieux, je franchirai sûrement le pas.
Sinon, j'ai commis une erreur sur le choix du 1er CD (Mozart, Emerson quartet), amha; j'ai écouté ce CD deux jours avant, en trouvant le son pas terrible. J'ai alors pensé l'utiliser pour l'écoute.
Ca a parlé quand même, mais le prochain coup je choisirai un disque que j'apprécie, d'autant que ça ne manque pas.
Le test des câbles numériques fut le sommet de cette matinée.
Premier extrait avec câble A, passage au câble B, et blaaaaam !!!!
Là, Francis mange son chapeau, je ne sais pas s'il l'a digéré à l'heure qu'il est, 'fin je pense que oui.
C'était serré, les deux RCA, pourtant assez différents ont chacun leur qualités, et leurs défenseurs.
Le MPC envoie du lourd avec une grande profondeur d'image je trouve sur le Cd Art Pepper (fourni par Serge, excellent !), très fin et musical sur Norah Jones.
A noter que mon précédent câble, Vovox Vocalis, adulé par nombre d'adeptes par ailleurs, n'a pas eu grand succès ici.
Le Naim est bon aussi; idem pour départager, il me faudrait plus de temps.
Bon moment aussi, quand Michel s'est posé une question existentielle, verre de Luberon à la main; on s'est dit qu'il ne valait mieux pas y répondre !

(très bon le blanc de Patrick d'ailleurs!)
Etonnant aussi, sur des musiques assez calme, le câble bon marché de Francis s'est bien débrouillé.
Voilà, ça a passé vite, sympa.
Merci à tous, mention spéciale à Pascal, organisateur et technicien hors pair; on sent de longues années de pratique !
