D’abord le Neiro V2 (un modèle ancien de chez Kondo, un peu un BU ou un de CB chez eux) tout seul branché en sortie du GE-1

Très beaux timbres, une grande finesse, écouté sur une masse orchestrale (symphonie de Dvorak), toutefois le Neiro avec ses 6 watts (SET en parallèle de 2A3) et son réglage de volume à fond réclame un préampli pour exprimer davantage.
branchement du G-70

On écoute, même froid, c’est assez magique. On ne ressent aucun manque, la musique est libre, elle est juste, elle est à la fois aérienne et avec énormément de matière. Le piano à un rendu fabuleux.
Je pensais avoir atteint les limites des JMR Nano, et non ! elles ont suivi à la surprise générale. Ces enceintes plates sont vraiment étonnantes
Je pense qu’on a écouté assez fort, aucune agressivité, la pièce n’a semblé à aucun moment être limitante, l’OpalWhisper fait des merveilles
Très peu de disques ont été écouté. Une fois lancés aucune envie de les arrêter pour mettre autre chose : et par 2 fois la face entière est passée....
Et juste une IQ3 en source.
Et le GE-1

Tous les modulations étaient Kondo, hormis celui de la TD qui est captif, un Audio-Note (mais UK) AN-Vx, et celui HP, le NACA5 est resté dans les murs, trop compliqué de remplacer par un câble HP Kondo
Très beau moment

Kondo fait partie des noms les plus mythiques de la HiFi. Il est aisé d’en comprendre la raison. Dommage qu’on ne puisse pas faire ce type d’écoute plus souvent

