lolopod a écrit :Je retourne à Sete cet été , il y a un festival de musique organisé au théâtre de la mer ? Ou certains artistes s’y produisent toute l’année ?
Vu en 2022 avec THE FEARLESS FLYERS à la Philharmonie de Paris.
The Fearless Flyers
Cory Wong, Mark Lettieri, guitare
Joe Dart, basse
Nate Smith, batterie
"La richesse de la vie d'un homme se mesure à l'intensité des émotions qu'il a pu éprouver". (Soichiro Honda)
--- Proceed PCD3, Nait, Sony SS-A5.
Server/Player : Innuos zen mini mk2, Dac : Audio Note Dac 2 Signature, Interface USB/Spdif : Topping D10, MIT Terminator.
Encore un tres beau spectacle hier soir à l’Opéra Comique, salle Favart avec la représentation de Médée de Luigi Cherubini.
Un réussite que l’on doit à la cheffe Laurence Equilbey et sa direction très enlevée de la partition. Chaque introduction d’acte est une petite merveille sans oublier le final.
Que l’on doit également à la metteuse en scène Marie-Ève Signeyrole qui a choisi, pour cette histoire d’infanticide, de privilégier le point de vue de Médée en tant que femme. Un choix exprimé par divers dispositifs scéniques qui donne un fil conducteur cohérent et interprétatif de l’argument un peu complexe de cet opéra-comique.
Je n’ai, toutefois, pas été complètement conquis par cette mise en scène. J’ai trouvé certains effets un peu trop appuyés ou répétitifs, et une vidéo qui ne m’a pas vraiment convaincu. Hasard des circonstances, il y a quelques jours j’assistais à la représentation de Castor et Pollux, un spectacle dans lequel la vidéo était un élément majeur de la mise en scène et apportait, selon moi, un grand nombre d’éléments signicatifs qui enrichissaient le jeu des acteurs. Ici je n’ai pas eu cette perception. J’ai souvent eu la sensation qu’elle était là pour palier l’absence due décors de fond de scène, soit en les illustrant, soit en reproduisant à une échelle différente ce qui était en train de se passer sur la scène. J’ai quand même apprécié, au moment du mariage de Dircé et de Jason, un décor projeté évoquant l’Église de la lumière d'Ibaraki de Tadao Ando.
Néanmoins sur l’ensemble, cette mise en scène est très intéressante.
Une réussite également portée par les interprètes et notamment les chanteuses : superbe Joyce El-Khoury dans le rôle titre, et dans le celui, moins prédominant de Neiris, Marie-Andrée Bouchard-Lesieur était parfaite.
Malheureusement, la grippe n’avait pas épargné Julien Behr qui interprétait Jason. S’il avait tenu à jouer son rôle, ses possibilités vocales n’étaient, de fait, pas à leur maximum. Edwin Crossley-Merceren Créon avait une voix puissante et une diction des plus claires, toutefois je l’ai trouvé un peu empesé. Mais peut-être est-ce le rôle qui veut cela.
Très bon concert hier soir à l'Opéra/Théâtre de Clermont avec l'orchestre National d'Auvergne et Renaud Capuçon, qui a joué et dirigé Bach, Mozart et Brahms ...
Très belle soirée, hier à la Seine Musicale lors de la représentation de The Redemption of Thomas Shelby, un spectacle de danse dans l’univers de la série Peaky Blinders interprété par la Compagnie Rambert.
Les danseuses et danseurs évoluent aux sons de musiques de la série jouées live, dont bien entendu : Red Right Hand de Nick Cave and the Bad Seeds interprété à deux reprises. La deuxième fois lors du dernier tableau avec une chorégraphie époustouflante tant elle fait corps, au propre comme au figuré, avec la musique.
À voir si on aime la série tout en sachant qu’il s’agit d’un spectacle de danse dont l’histoire n’est qu’un prétexte aux tableaux. Le succès de ce spectacle et les prix récoltés sont mérités.
À la Seine Musicale jusqu’au 30 mars. La salle est grande aussi je recommande les premiers rangs du parterre. Assis au 2nd rang j’ai par moment regretté d’avoir oublié mes petites jumelles.
RV a écrit : ↑21 mars 2025, 07:48
Très belle soirée, hier à la Seine Musicale lors de la représentation de The Redemption of Thomas Shelby, un spectacle de danse dans l’univers de la série Peaky Blinders interprété par la Compagnie Rambert.
Les danseuses et danseurs évoluent aux sons de musiques de la série jouées live, dont bien entendu : Red Right Hand de Nick Cave and the Bad Seeds interprété à deux reprises. La deuxième fois lors du dernier tableau avec une chorégraphie époustouflante tant elle fait corps, au propre comme au figuré, avec la musique.
À voir si on aime la série tout en sachant qu’il s’agit d’un spectacle de danse dont l’histoire n’est qu’un prétexte aux tableaux. Le succès de ce spectacle et les prix récoltés sont mérités.
Ca devait être top, veinard
LINN LP12 - ITTOCK - Trampoline - Carousel - Lingo 2 - Krystal - Moon 310 LP V2
JADIS JD2 - Sonic Frontiers SDF1
NAIM NDX 2 - CD555SP DR
NAIM NAC 552 - 552 PS DR- NAP 300 DR- NAP 300PS
SPENDOR SP9/1
JUBO Via Appia - NACA5 - KIMBER
Chouette concert hier soir, avec le pianiste Ferenc Vizi, récital Listz, dont la sonate en si m, morceau de bravoure que j'apprécie toujours autant (particulièrement en live à 3 mètres au coté de l'interprète).