Dis donc DUG, t'as une bonne assurance vie?dug a écrit :Salut Franck
Qu'est-ce que ce serait si tu avais une bonne platine vinyle?
Dug




Dis donc DUG, t'as une bonne assurance vie?dug a écrit :Salut Franck
Qu'est-ce que ce serait si tu avais une bonne platine vinyle?
Dug
Je suis bien d'accord avec toi!tite931 a écrit :Franck,
Je ne sais pas sur quoi tu te bases pour faire les mises au point de ton système...
mais il est possible que tu fasses davantage les mises au point avec ton lecteur Cd et dans ce cas le vinyle est désavantagé et n'est pas totalement au bout de ces possibilités.
De toutes façons c'est mon cas parceque lorsque j'ai plusieurs lecteurs que je teste, à chaque lecteur la mise au point est différente (placement des enceintes,
acoustique......).
et c'est une sorte barrière pour faire une comparaison directe. N'empêche que lorqu'on a plusieurs sources on doit bien faire un choix pour en privilégier une, non ??!!
Personnellement je n'ai qu'une seule source alors ça va.
Ca n'a peut-être rien à voir avec ton système et le sujet mais j'avais envie de le dire![]()
thierry.
dug a écrit :Salut Franck,
C'est quand même très curieux ces conclusions...
Pour répondre point par point:
CDS1/CDS2:
Tu as raison l'écoute ne s'est pas faite sur le même système, encore que chez legrand il y avait mes(futures) SBL, mon (futur) combo 52/SC et mon 250... Ce qui change la donne dans le cas présent c'est surtout la pièce d'écoute qui diffère.
Néanmoins la comparaison CDS2/CDS1 me fait pensé à la comparaison 52/PS et 52/SC: un peu le même type d'évolution entre la première génération olive et la seconde, un son plus rond, plus chaleureux pour la première, plus de vélocité et de rapidité pour la seconde.
Support vinyle/CD/enregistrements analogiques
Effectivement, je pense que les enregistrements analogiques transférés sur CD (comme cela doit être le cas avec ton disque de Brel) sonnent de façon très décevante. Cela se comprend aisément car il faut casser la musique de la bande mère, la découper en plein de petits 0 et 1 pour qu'elle soit reconstruite après par le lecteur... il y a quand même pas mal de choses qui passent à la trappe dans l'opération.
Lorsqu'on grave la bande mère sur un vinyle via la machine ad hoc (Jacques pourra t'expliquer cela mieux que moi) en théorie tout ce qui est présent sur la bande peut-être gravé sur la cire puisque l'on procède par analogie. Les limites dans le cas présent sont la qualité de la machine qui grave et je dirais la ductilité de la matière qui reçoit cette gravure.
Je ne suis pas un grand spécialiste, mais dans les faits: tous les albums que je possède en vinyle et en CD passent mille fois moins bien en CD: le son paraît sans vie, fade débarrassé de tout ce qui fait sa chaleur et son entrain. Bien sûr il y a différentes qualités de transcriptions numériques, mais même avec les bonnes le constat est invariablement le même.![]()
Je suis vraiment surpris que tu n'entendes pas cela, c'est vraiment flagrant avec les enregistrements de voix, les chanteurs français des années 60/7O... Il doit y avoir qqe chose qui cloche avec ta P9... Quant aux grands classiques du Jazz (Davis, Webster, Adderley, Shepp...) est bien c'est systématiquement le vinyle jamais je n'achèterai un CD de Miles par exemple tant la différence me paraît énorme.
Pour ce qui est des enregistrements numériques sur support vinyle, je ne vois pas non plus l'intérêt: la musique a été déja déconstruite en petits carrés numériques c'est juste que le support de lecture au lieu d'être la galette irisée est un 33t. Aucun intérêt. Donc pour répondre à ta question ce qui importe pour moi c'est que le principe d'enregistrement et de reproduction analogique soit respecté pas le vinyle en soi.
Je suis attaché au vinyle sur le plan sentimental mais ça c'est une autre question
Je dirais quand même pour être honnête que, lorsque j'avais une P3 (je l'ai eu pendant plus de 10 ans) la supériorité du vinyle face au CD ne me semblait pas flagrante, mais mes systèmes de l'époque étaient alors plus modestes...Les distorsion en fin de disque par exemple me gênaient beaucoup.
Quand je suis passé à la LP12, la question ne se posait plus même avec des cellules MM. Avec une bonne cellule MC comme la Benz, c'est vraiment le bonheur.
Je précise enfin que ma LP12 reste "vintage" sans kit cirkus, ce qui fait qu'elle garde cette chaleur propre aux Linn de cette génération qui à mon sens a un peu disparue par la suite... ça c'est affaire de goût bien sûr...
Jacques, n'oublie pas d'emmener un bon vinyle de Brel ou de Miles quand tu rendras visite à Franck, histoire de lui faire comprendre ce que je veux dire...
A+
Dug
J'ai des enregistrements analogiques de jazz, transférés directement sur CD par mon ami Geoff, qui sonnent merveilleusement, et Geoff qui écoute ses vinyls sur sa Michell Orbe hyper équipée, et 552/500, est bien placé pour comparer les deux écoutes, la verson gravée étant lue sur un CDS3/555ps, le résultat est génial, mais il s'agit de gravures faites maison et non de remasterisation avec trifouillages complexes où excellent les grandes majorsEffectivement, je pense que les enregistrements analogiques transférés sur CD (comme cela doit être le cas avec ton disque de Brel) sonnent de façon très décevante.
+10 : complètement d'accord.dug a écrit :... comme toi je trouve que l'on prend aussi du plaisir à l'écoute de CD!
Quant à considérer que la supériorité du vinyle sur le CD est une hérésie ( je dirais plutôt de l'analogique sur le numérique) je ne partage pas ce point de vue et rejoins les constats qu'Alain (Almo) développe un peu plus haut...
A+
Dug
+1pasadena a écrit :Et c'est reparti: le vinyl contre le CD
RDV dans 5 ans pour le post du forum:" CD contre dématérialisation"
RDV dans 10 ans pour le post: " Disque dur contre streaming par internet"
RDV dans 40 ans pour le post: " fichiers audio master en direct du studio d'enregistrement contre musique holographique par nanotechnologie au carbone marqué"
Mais l'émotion n'est pas toujours en rapport avec la qualité d'enregistrement. La preuve? Je n'ai jamais autant ri de ma vie qu'en regardant les vieux Tex Avery sur une télé pourrie pendant mes années d'étudiant.
J'ai également eu cette expérience d'écoute bien que c'était avec des électroniques plus modestes. Le déroulement musical peut en effet être excellent selon son contenu, comme quoi avec une bonne source analogique bien enregistrée au plus près les résultats peuvent être surprenants avec ce mode de numérisation, notamment grâce à l'effet de relèvement du niveau de sensibilité obtenu par le lecteur qui procure une belle sensation de dynamique . Après plusieurs écoutes je suis revenu en pur analogique, malgré les bons résultats des enregistrements numérisés, avec le vinyle la souplesse et un plus en transparence se démarquent avec des timbres très réalistes et une image stéréo plus importante. En gardant cependant en considération, dans l'absolu, que c'est toujours en priorité la qualité d'enregistrement et fabrication du support d'origine, CD ou bien Vinyle, qui fait le plus de différence à l'écoute et ce malgré les avantages intrinsèques du vinyle.Frederic a écrit : J'ai des enregistrements analogiques de jazz, transférés directement sur CD par mon ami Geoff, qui sonnent merveilleusement, et Geoff qui écoute ses vinyls sur sa Michell Orbe hyper équipée, et 552/500, est bien placé pour comparer les deux écoutes, la verson gravée étant lue sur un CDS3/555ps, le résultat est génial, mais il s'agit de gravures faites maison et non de remasterisation avec trifouillages complexes où excellent les grandes majors![]()
F.
J'abonde totalement dans le sens de PasadenaMais l'émotion n'est pas toujours en rapport avec la qualité d'enregistrement. La preuve? Je n'ai jamais autant ri de ma vie qu'en regardant les vieux Tex Avery sur une télé pourrie pendant mes années d'étudiant.