Et puis tant qu'à faire tourner des vinyles, un petit retour en 1968 puis 1969 avec le Grateful Dead ( en édition originale us, on ne se refuse rien ).
Les pochettes sont magnifiques ! Vive le 33t !
En ce moment,Tiziana Ghiglioni,une chanteuse de jazz italienne qui a joué avec Enrico Rava,Paolo Fresu,Roberto Ottaviano...
Et sur ma platine TD,James Blood Ulmer.
Rega P25,Heed Quasar,CD2,32.5cb,Supercap Olive,250 cb,,Naca5,enceintes Atlantis acoustique Séolane.
S2: cd 3D Lab Master,pré SAE 2100,ampli Mcintosh 2125,Intro 1.
Un enregistrement de 96. Dimitry Sitkovetsky n'est pas un baroqueux, mais en compagnie de Robert Hill il nous offre toute la délicatesse que Bach à mise dans ces compositions trop souvent alourdies par l'air du temps. Rare et émouvant !
L'évidence !
Je viens d'entendre la deuxième de Schumann en blu-spec CD.
Schumann c'est pas évident. En blu-spec avec Georges Szell et l'orchestre de Cleveland ça le devient à coup sûr.
C'est mon deuxième disque de ce format. Excusez-moi, je n'ai pas l'habitude de me laisser aller à des enthousiasmes faciles, mais là je perçois comme une révolution. Le CD au niveau du vinyle on en rêvait. Peut-être bien que cette fois on y est ....
désolé de venir avec un disque de chanson française, j'en vois tellement peu sur le fofo ...
Jacques Haurogné : superbe voix. Des belles attaques dans le grave, des prouesses dans les aigues (voix de haute-contre).
Je l'ai vu en concert (à Thionville, ville d'où il est originaire), tout ce qu'on peut entendre sur ses disques (j'en connais 3) il le fait sur scène. Bluffant.
La chanson 1 est en duo avec Enzo Enzo : c'est très joli, sans tenir compte de critères intellectuello-artistiques. Quoique la chanson n'est pas niaise et se laisse écouter facilement.
Et c'est bien enregistré, peut-être un poil trop propre sur les voix, on aurait aimé entendre tous les petits trucs qui donnent plus de vie.
Sources : LP12 Ittok LV II Lingo Trampoline Grado Platinium, NAS, UnitiQute, CDI intégré : Nait 50 enceintes : Linn Kan 1 la photo de l'avatar est prise de l'île aux moines, petit paradis breton
Le Grinderman 2 tourne en boucle.....
Suite logique du précèdent album ou Nick Cave et ses complices enfoncent encore plus le clou....
Ce disque peut être un peu déroutant au premier abord, sons électronique et bidouillage en tout genre accompagné d'une rythmique et d'une voix envoutante, le mélange est très intéressant et vous transporte littéralement.
Le titre ' Worm Tamer' en est l'exemple même, ou ce brave Nick vous serre entre ses griffes et vous déchiquette morceau par morceau jusqu'au 'Bellringer Blues'.
Attention à l'addiction.....
