À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de contexte…

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PBranche
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par PBranche »

Encore une fois merci Gagl pour ce magnifique compte rendu, qui me permet de découvrir effectivement une trés belle guitare et une mine de titre a trouver.
<:) pascal.
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Gnus
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gnus »

À la lecture de ce post passionnant et de tes interventions sur la rubrique Jazz, n'y aurait il pas un journaliste ou un documentaliste caché derrière Gagl ????
<:)

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Gagl
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gagl »

Gnus a écrit :À la lecture de ce post passionnant et de tes interventions sur la rubrique Jazz, n'y aurait il pas un journaliste ou un documentaliste caché derrière Gagl ????
<:)
<:) Gnus !
Je reconnais bien là ta pertinence et ton acuité coutumières... Mais non, point de journaliste ou de documentaliste caché. Encore que, il fut un temps où j'ai eu à mener quelques recherches... :)
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Emmanuel
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Emmanuel »

Quel plaisir de vous lire! <:)

Si je peux me permettre j'ajouterai que ses performances en concerts sont aussi légendaires comme le témoigne ce morceau archiconnu "sookie sookie" sur l'album "Alive!" qui illustre aussi trés bien ce côté Funk et qui ouvre la voie sur d'autres horizons Jazz-Funk comme l'Acid Jazz :coeur:

Emmanuel
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Gagl
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gagl »

Merci Emmanuel, pour ces précisions et cette vidéo ! Car les performances live de Grant Green sont rares sur le plan discographique : deux seulement, il me semble, et dans la seconde partie de sa carrière exclusivement. La première, c'est Alive!, que tu cites, capté en août 1970 et la seconde, c'est Live at the Lighthouse enregistré en 1972. Elles sont précieuses aussi (je suis passé outre un peu vite, certainement). Elles montrent à merveille l'évolution du style funky depuis le début des années 1960 pour en arriver, comme tu le dis, au jazz funk, puis au funk pur et simple...

:)
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Bouarb
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Bouarb »

Gagl, iĺ me faut d'abord vous féliciter pour la qualité de vos posts, bien écrits, documentés et du genre à qu'on a envie de lire jusqu'au bout :)

Mais surtout, je tiens à vous remercier car grâce à vous, je redécouvre tous ces disques qui avaient fait mon bonheur adolescent, et que vous me permettez de redécouvrir avec une joie juvénile renouvelée !

Donc, MERCI !

Ah, Max Roach... Souvenirs émus...
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Gagl
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gagl »

:gene3: :gene2:
C'est à moi de vous... de te remercier (j'espère que tu ne m'en voudras pas de te tutoyer : après tout, c'est bien dans l'esprit de notre fofo !) pour tes chaleureux compliments !
Et je suis très heureux que ces quelques posts t'aient donné envie de réécouter des disques oubliés, et peut-être, d'en découvrir d'autres ! Finalement, écouter de la musque, c'est une bonne raison d'accumuler nos chères boîtes de toutes les couleurs...

:)
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Gagl
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gagl »

Ça faisait longtemps, hein ! :happy1:

Mais là, j’ai une excuse : la redécouverte d’un album de Miles Davis que je n’avais pas particulièrement apprécié lorsque je l’avais écouté une première fois, il a longtemps… Ce disque, c’est...

Miles Smiles (Columbia, CS 9401, stéréo « two-eye », 1967) :

Image

Image

Un exemplaire du vinyle original m’est presque tombé dans les mains pour un prix franchement abordable pour un LP âgé de presque 47 ans (35 $, en excellent état)… Il n’a alors pas été difficile de se laisser tenter, malgré un a priori plutôt défavorable : après tout, c’est de Miles Davis dont il est question, et il est secondé par Wayne Shorter (saxophone ténor), Herbie Hancock (piano), Ron Carter (basse) et Tony Williams (batterie). Ça valait bien que je lui accorde une seconde chance.


Hors du sillon : pressage et pochette

En y regardant de plus près, les sessions ont été mises en boîte dans les studios Columbia à l’acoustique si réputée et si caractéristique de la 30e rue, à New York City, là où tant de merveilles ont vu le jour, dont Kind of Blue, pour ne citer que celui-là.
Derrière la console, Frank Laico, l’un des bons ingénieurs de la firme new-yorkaise, et Teo Macero, le producteur dont le nom reste indissolublement lié à Columbia durant une trentaine d’années ainsi qu’à ses artistes majeurs : Miles, évidemment, pour de longues années de collaboration, mais aussi à Charles Mingus, Dave Brubeck, Thelonious Monk, Duke Ellington ou Count Basie…
La prise de son de Frank Laico est superbe et la stéréo made in Columbia est de toute beauté : la séparation des deux voies n’est pas aussi tranchée que sur d’autres enregistrements contemporains et, a fortiori, sur ceux plus anciens. Les cinq instruments sont magnifiquement rendus, chacun dans leur spécificité (de ce point de vue, la batterie de Tony Williams, instrument à part entière, est exemplaire).
Bref, de bonnes fées se sont penchées sur le berceau de ce Miles Smiles.
Tiens, tiens… Voilà qui promet du bon son. ::d

Du très beau son même. Car le pressage est bon, à l’image de ce que Columbia a produit tout au long des années 1950 et 1960 avec ses « 6-eye » puis ses « two-eye », notamment dans leur déclinaison en stéréo que Columbia maitrisait avec un réel talent dès les années 1955-1956 : les premiers LP de Duke Ellington gravés pour le prestigieux label sont là pour en témoigner.
(Pour les maniaques : les numéros de matrices gravés sur la « deadwax » de mon LP, 1C [face A] et 1D [face B], indiquent un pressage précoce fait à partir de la première génération de bandes, avec les troisième et quatrième « cuttings ».)
Si vous possédez une platine vinyle, il y a là de quoi faire un grand plaisir à vos enceintes pour pas trop cher (la côte du disque est plutôt basse)… :)

La pochette mérite aussi un petit mot. La photo du recto de la pochette, signée Vernon Smith, montre un Miles Davis souriant ! Et oui, tout arrive ! Pourtant, chacun connaît la réputation de l’homme : sombre, taciturne et torturé, acerbe et à l’ironie mordante, bref, il est doté d’un caractère impossible… Cependant, c’est toujours Miles et la musique est bien la sienne. Sourit-il du résultat ? Qui sait ? Mais moi, ce disque m’a collé un sourire (béat) sur les lèvres… Cela valait bien de faire de ce sourire le titre du disque.


Dans le sillon : second quintet, musique renouvelée

À sa sortie, en janvier 1967, le disque a reçu accueil enthousiaste de la critique américaine. Nombre d’observateurs et de spécialistes éminents (parmi eux, John Norris, Nat Hentoff ou Martin Williams) ont noté la qualité de l’interaction, voire l’empathie remarquable entre les membres du quintet, et singulièrement entre Herbie Hancock, Ron Carter et Tony Williams, sa maîtrise et l’alchimie qui en découle, sans oublier le phrasé et le jeu de Miles comme la qualité de la composition.
En conclusion, les critiques firent de ce disque le meilleur album de Miles Davis depuis longtemps, dont l’un des traits dominants est sa filiation avec Kind of Blue dans ce qu’il a de novateur et d’expérimental (rappelons que ce disque intemporel met en lumière, invente peut-être même, ce qu’il est convenu d’appeler le « jazz modal » dont Bill Evans – mon pianiste vénéré – présent sur ce monument, représente l’autre versant).
En deux mots, les louanges ont plu sur ce disque comme sur ce quintet qui est désormais en passe de devenir le plus grand groupe de jazz de cette seconde moitié des années 1960.

Après avoir joué le LP, j’avoue que mon sentiment a largement rejoint ces appréciations. Outre les qualités du vinyle évoquées plus haut, j’ai d’abord été subjugué (pas moins !), par le sonorité splendide de la trompette du Blackbird : point de recours ici à la trompette bouchée qui, pourtant, a forgé son identité sonore une dizaine d’années auparavant. Son timbre est tendu, net mais ouvert, cuivré mais précis et sec aussi parfois. Et il est à nul autre comparable, c’est-à-dire reconnaissable entre tous. Un vrai tour de force. Et quel phrasé ! Économe, varié, tour à tour plein de swing puis plus introverti… Les quatre autres musiciens ne sont pas en reste. Wayne Shorter devient parfois incandescent lorsqu’il est propulsé par la rythmique de Herbie Hancock, de Ron Carter et de Tony Williams dont le jeu de cymbales, à lui seul vaut d’être écouté.

Je n’oublie pas les six thèmes de ce LP, équilibrés, novateurs et complexes. Comme dans bien des bons disques, l’alternance entre tempos rapides et ballades, entre vigueur et douceur est là. Tous ces thèmes sont des compositions originales qui émancipent le quintet de la vénérable, mais encombrante, tutelle des standards : trois sont écrits par Wayne Shorter, lequel s’impose comme la pierre angulaire du quintet ; un est dû à la plume de Miles ; les deux autres sont empruntés aux saxophonistes Eddie Harris et Jimmy Heath.
Cependant, plus de quarante ans après, l’étoile de ces sessions de l’automne 1966 semble avoir quelque peu pâlie… Quand on évoque aujourd’hui sans trop y réfléchir les chefs-d’œuvre de Miles le Taciturne, ce n’est pas à Miles Smiles que l’on songe de prime abord, mais plutôt à ‘Round About Midnight (1955), Ascenseur pour l’échafaud (1957), cher au cœur de certains amateurs français, Somethin’ Else (Cannonball Adderley, 1958) et, bien entendu, Kind of Blue (1959), ce disque, le plus vendu de l’histoire du jazz, dit-on, que même les réfractaires au genre parviennent parfois à écouter sans fuir… :mrgreen:

Il faut dire que la critique ultérieure a fréquemment qualifié les disques précédents de Miles d’albums « de transition ». D’une certaine manière, on ne saurait le nier. Mais cela me semble réducteur et ne rend guère justice à la capacité essentielle de Miles Davis : se renouveler. Durant la période comprise entre 1961 et 1965, les 13 albums principaux qui précédent l’enregistrement de Miles Smiles ne sont guère des albums de transition : ils révèlent, au contraire, une évolution constante autant qu’une recherche musicale effrénée.
Avec le départ de John Coltrane à l’automne 1960, la question de son remplacement s’impose à Miles Davis, de même que le devenir de son quintet. En effet, remplacer un musicien de la stature de Coltrane n’était pas chose aisée, bien que son départ du quintet soit devenu inévitable au fil des mois : l’affrontement de ses deux personnalités musicalement exceptionnelles au caractère fort, de ces deux créateurs que leur génie personnel poussait de plus en plus dans des directions quasi opposées, ne pouvait qu’aboutir au départ du Trane.
Mais alors, quid de Hank Mobley, le ténor qui était arrivé en 1961 (pour Someday My Prince Will Come) afin de combler le trou béant laissé par le départ de Coltrane ? Que faire, désormais, avec le reste de l’effectif ? Wynton Kelly qui remplace Bill Evans à partir de 1961, Paul Chambers, l’imposant bassiste présent depuis les débuts du premier grand quintet, dès 1955, et Jimmy Cobb, le batteur qui rejoignit Miles en remplacement de l’immense Philly Joe Jones à l’automne 1958 ?
Le mieux, certainement : tout changer, repartir sur un effectif entièrement renouvelé et bâtir un quintet tout neuf correspondant totalement au désir perpétuel de mouvement, de changement et d’évolution musicale (et humaine) de Miles Davis. Un long périple que celui-ci. Ainsi, entre 1961 et 1965, son quintet a connu de nombreux avatars depuis 1961 : il a vu trois ténors se succéder depuis le départ de Coltrane : Hank Mobley, George Coleman (1962-1964) et Sam Rivers (1964) avant, enfin, l’arrivée définitive de celui qui incarne la formule ultimee de ce qu’il est coutume d’appeler le « second grand quintet » de Miles, je veux dire Wayne Shorter. Il trouve sa place chez Miles après son départ des Jazz Messengers d’Art Blakey à la fin de l’année 1964. Quant aux pianistes, Miles emploie Wynton Kelly et Victor Feldman avant de finalement retenir Herbie Hancock. Sa section rythmique, constituée de la paire formée par Ron Carter et Tony Williams, forme le fondement de ce somptueux quintet dès mai 1963.
Ainsi, en cette année 1966, tout n’est pas gagné. La formation est désormais stable, mais elle n’a encore à son actif que deux faces en studio : E.S.P. (1965), enregistrement remarquable, auquel ont ajoutera quelques enregistrements live dont Miles in Berlin (septembre 1964).
Tout cela contribue à faire de la période 1961-1967 un ensemble que l’on pourra aujourd’hui juger flou et moins stimulant, moins marquant peut-être que ce qui précède et que ce qui suivra : le quintet électrique qui naît à la toute fin de l’année 1968… Miles Smiles semble ainsi victime de cette perception en se perdant dans ce brouillard musical…

Or, je suis convaincu que ce disque vaut vraiment d’être remarqué au sein l’immense discographie de Miles Davis, par ailleurs si riche en titres considérés comme autant de jalons de l’évolution du jazz.

Oui, j’aurais déc**né en n’accordant pas à ce formidable disque toute l’attention qu’il mérite.
Et je vous invite à en faire autant, quel que soit votre medium de prédilection. En LP, en CD, en fichiers numériques basse ou haute définition, peu importe : écoutez Miles Smiles !

Pour se faire une idée, sur youtube :



Sur Qobuz :
http://www.qobuz.com/album/miles-smiles ... qref=dac_2

Et sur Grooveshark :
http://grooveshark.com/#!/album/Miles+Smiles/290837

Un point sur les éditions existantes :
http://www.discogs.com/Miles-Davis-Quin ... ster/65601

Si on le souhaite, on complétera l’écoute de ce disque studio par cette très bonne série d’enregistrements live captés entre le 28 octobre et le 6 novembre 1967, d’ailleurs citée quelque part dans la section musique : Live in Europe 1967. The Bootleg Series Vol. 1 (3 CD + 1 DVD, Sony / Columbia / Legacy, 2011)

Image

Le coffret sur la Zone

Par exemple « Footprints » (31 octobre 1967, Stockholm) :


:cool:
Modifié en dernier par Gagl le 10 déc. 2013, 18:48, modifié 3 fois.
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blancdepoulet
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par blancdepoulet »

Joli CR! Intéressant, comme d'habitude!
<:)
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GVTahiti
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par GVTahiti »

Et qui, parce qu'intéressant et bien écrit, comme d'habitude, ne donne pas envie de troller ...
Gérald

Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire ...
La parole est d'argent, le silence est d'or mais c'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule, si ??
La vie est trop courte pour écouter triste ... ou en silence !!! :mdr3:
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Gagl
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gagl »

:merci: :merci: Gérald et blancdepoulet !

Comment ça, Gérald ? Alors moi, je n'aurai pas le droit à un bon-petit-troll-qui-fait-marrer ? Hein pourquoi, alors que je ris souvent de tes trolls pleins d'esprit ! C'est vraiment trop injuste ! :calimero:
Mais je comprends pourquoi tu le dis : je ne lis que maintenant le fil sur le sujet... :rouge:
Modifié en dernier par Gagl le 10 déc. 2013, 12:25, modifié 1 fois.
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par philhifi »

:super: pour ce petit moment d'histoire du "Jazz" ... :merci:
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Gagl
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gagl »

:merci: phil ! :)
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legrand
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par legrand »

c'est beau de vieillir
1- preampl ATC sca2-dac ps audiomk2-lp12 armagedon-enceintes atc 50a
2- simple mais superbe: dac eastern electric minimax plus, nait1,enceinte Epos ES14, et tuner Rotel 870L ( merci a Gaston )
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Gagl
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Re: À propos de jazz : musiciens, disques, éléments de conte

Message par Gagl »

Pour les vinyles, je suis volontiers de ton avis, mais en ce qui me concerne, je dirais plutôt que c'est moche... de vieillir... :happy1:
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