Vos "coup de coeur" : Jazz, blues

[la feuille]

L'un de mes pianistes préférés...Enrico Pieranunzi (avec André Ceccarelli et Diego Imbert)
Il invite David El Malek au saxophone et Simona Severini qui chante sur quelques titres pour cet album qui sort à l'occasion du centenaire de la disparition de Claude Debussy. C'est comme d'habitude hip-hop.. .

Monsieur Claude

[el med]

Frank, je viens d'écouter l'album il est EXCELLENT, merci de la très belle découverte encore une fois

[syloic]

Frank, je viens d'écouter l'album il est EXCELLENT, merci de la très belle découverte encore une fois

À vous deux, je confirme que cet album qui n’est pas là première partie de plaisir de ce trio est ....

[kalisaudio]

Effectivement, album dynamique et positif, je ne connaissais pas cet album de Enrico Pieranunzi

J'ai été (agréablement) scotché au fauteuil par le second titre : Passepied nouveau

Merci pour la découverte

[blancdepoulet]

New York Trio - Always

[naim21]

Après m'être reposé les oreilles (cf. mon message dans la rubrique disques pop à propos du mastering du disque de Anohni) avec Paul Tortelier et son violoncelle enregistré salle Wagram en 1960, je reviens dans la rubrique Jazz avec un enregistrement de 2007, que je découvre.
Encore un "objet sonore" venant de chez nos amis transalpins.
Un "simple" trio, piano, contrebasse, batterie.
Un de plus pourriez-vous me dire.

Jetez vite fait une oreille à la première piste "Another being", Piano et Archet. Classique, jazz, contemporain?
La frontière est ténue. Puis, la batterie pointe le bout de son nez... et là, tout s'éclaire.

Quant à la prise de son et au mastering proposés, c'est du (très) grand art.
L'école italienne nous offre ici un exemple de ce que la technique, au service de la musique, permet, simplement et en toute splendeur.
Essayez "Intermezzo sinfonico" (son final!), vous pourriez être surpris, tant par la musique que son orchestration. Et là, rien ne serait possible sans le travail de Mr Stefano Amerio qui était aux manettes, de A à Z (de l'enregistrement au mastering en passant par le mixage).
Et ça, c'est rare, vraiment très rare.
Ce n'est certainement pas étranger à la beauté qui émane de cet enregistrement.
Chaque pièce du disque propose un bien beau parcours musical.
Techniquement, "Francesca da Ischia", au-delà de son offre musicale, pourrait mettre mal en point certains systèmes peu enclins à traiter correctement les transitoires de tous bords.
Quant aux musiciens et leurs instruments, faites vous une idée avec "Prejera par Tualis".
Pour ma part, faire "STOP" m'est difficile, vraiment.
Chaque piste est un enchantement.
Si le système suit, "Untold Apology" vous offre un sacré voyage. D'ailleurs, Venise n'est pas loin.

Un très très beau disque, à tous points de vue.

[naim21]

Dans ce disque, bien que la piste éponyme ne soit pas en "Front of the house", écouter ce morceau ne laisse pas indifférent.
Quant aux toutes premières (et dernières) notes de "Found the One", elles devraient vous interpeler, si le système répond présent.
Les deux complices reviennent ici avec leurs racines et leurs tripes.
Servi par un enregistrement de très haut vol, ils sont là.
Et le studio avec.
Pour vous convaincre, vous êtes invités (privilégiés) lorsqu'ils vous (pro)posent "When Love is not enough".
Un mastering moderne, généreux mais dans l'esprit, si vous voyez ce que je veux dire.
Attention, basse et kick sont très très présents.
Dire que ça pousse est un doux euphémisme...

Mais le mixage est réalisé de main de maitre, tout comme le mastering, vous savez, l'emballage dans lequel on nous propose ce qui s'est passé pendant l'enregistrement. Il faut dire qu'il y a du très beau monde.

Prise de son et mixage ont été fait par Ethan Allen qui officie à The Village Studios.

Quant au mastering, Gavin Lurssen était aux commandes.
Et lui, il a fait ses armes au "The Mastering Lab", fondé en 1967 par Doug Sax...
Souvenez vous, pour ceux de ma génération, les gravures directes sur machines SCULLY, c'était lui.

La technique est au rendez-vous et au service de cette plongée dans cette œuvre "charnelle".
A écouter sans modération.
Dans mon antre, il y a "DMS"... Je profite du M, si vous me suivez bien.
Attention, c'est addictif... mais pas dangereux.
Le final avec "Nothing at all", tout en nuances, est à tomber.

[RV]

J’ai normalement le vinyl qui devrait m’attendre à la maison, commandé en pre-order il y a quelques semaines

[naim21]

N'ayant pas vu de disques de Paul Horn, voici une compilation qui pourrait ne pas vous déplaire.
Connu aux USA, sans doute moins chez nous, ce flutiste, saxophoniste et compositeur propose un Jazz (assez) abordable.
Comme tous les enregistrements de cette époque des débuts de la stéréophonie, la prise de son est très latéralisée. Mais, que de précisions, détails et aussi stabilité.
La dynamique a été préservée, pour le plus grand bien de la musique et des oreilles.
N'attendez pas un "gros son" comme on en fait maintenant.
Vous trouverez ici des enregistrements de bientôt 60 ans d'une fraicheur déconcertante, très, mais vraiment très bien restaurés et numérisés.
Pour les aficionados qui connaissent les enregistrements des débuts 60, ils reconnaitront la patte de l'époque (latéralisation donc, mais aussi espace, finesse, échos..).
Pour ceux qui voudraient découvrir cet "age d'or" des disques vinyles stéréophoniques Import USA, cette version numérique leur offrira ce que peu de chaines de l'époque pouvaient proposer.

"My Funny Valentine", "Without a song"...
Une belle écoute vous attend.

PS: pour un prix dérisoire, vous pourrez trouver "China". Enregistré entre 1978 et 86, vous disposerez d'un très bel enregistrement et pourrez vérifier ce que les PRO disaient à son propos (en complément de ses enregistrements de Jazz, Horn est considéré comme un pionnier de la "new age music"). Ceux qui connaissent Stephan Micus seront comblés par l'invitation au voyage de Paul Horn, de 23 ans son ainé. Faites un saut par "Under the Pines". La musique est portée jusqu'à vous par une prise de son fabuleuse quasiment holographique. Enjoy!

[Naitssance]

TOM WAITS
Closing Time


Je pense que de nombreux forumeurs connaissent.
Il s'agit de son premier album sorti en 1973. Je ne connais pas la version originale mais je trouve que la réédition vinyle de 2018 est assez remarquable.

A écouter confortablement installé en canapé dans une état d'esprit très calme (l'option petit verre de digestif à portée de main ne peut être qu'un plus, avec modération évidemment).

[Horace22]

S' Wonderful Jazz, Eddie Graham Trio

[el med]

Alors grosse très grosse découverte pour moi hier soir ( on se moque pas ) Chet BAKER
Je n'avais jamais mais jamais écouter cette artiste, je ne sais pas pourquoi.
Depuis hier soir je l'écoute en boucle pour découvrir cette BELLE artiste sur Spotify et je suis hyper amoureux
Si vous avez des recommandations je suis preneur car il y a un énormément d'albums dur la plateforme Spo

L'album découverte

[la feuille]

Si vous avez des recommandations je suis preneur car il y a un énormément d'albums dur la plateforme Spo

Bien sûr qu'on en a des reco.....regarde donc le biopic sorti il y a deux ou trois étés sur sa vie...tu auras une idée du bonhomme...de ses différentes facettes. J'ai vu son dernier concert, c'était au new Morning 6 jours avant qu'il nous quitte...le gars était la musique. Il ne la jouait pas...il l'exsudait...
Bref, jette sur une oreille sur les albums chantés, sur 'let's get lost", sur "Chet"....il distille sa vois comme son souffle dans son cornet...c'est exquis

[philhifi]

jette sur une oreille sur les albums chantés, sur 'let's get lost", sur "Chet"....il distille sa vois comme son souffle dans son cornet...c'est exquis

Même reco , ces deux albums sont superbes !!!

[la feuille]

Mais bon...il y en a d'autres...




Ne surtout pas oublier le mythique "Cher Baker meets Bill Evans"