doctor diamond a écrit :Je vais ce soir à l'Arsenal, je tâcherai d'en faire un également
Je te souhaite une excellente soirée à l'Arsenal et attend ton cr avec impatience.
Dommage que je manque ce concert. Mais je viens d'en entendre trois dans la foulée ....
doctor diamond a écrit :Je vais ce soir à l'Arsenal, je tâcherai d'en faire un également
Je te souhaite une excellente soirée à l'Arsenal et attend ton cr avec impatience.
Dommage que je manque ce concert. Mais je viens d'en entendre trois dans la foulée ....
Merci Voisin,
je révise mon Quatuor Américain...j'ai vraiment hâte...et ne manquerai pas de vous faire un retour de cette soirée
Doc.D. Dans la rue la Musique!
Music? in the street!
La musica? nelle strade!
BEETHOVEN STRASSE!
MUSS ES SEIN? ES MUSS SEIN! -Ferré76-
Ce soir au TCE Paavo Järvi et la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême.
Programme : Concerto pour violon de Beethoven avec Janine Janssen et la première symphonie de Brahms.
SI le concerto était d'un très haut niveau, le Brahms était carrément exceptionnel. Pris dans des tempo vifs, presque sans transition entre les mouvements, on ne savait quoi admirer : les vents somptueux, les contrebasses littéralement déchaînées, la qualité technique générale assez hallucinante, la direction rageuse de Järvi (très théâtrale d'ailleurs, mais dans le bon sens du terme, les bras surtout ont une amplitude assez rare) et sutout une osmose générale qui donne une impression de naturel et d'évidence.
Beaucoup d'applaudissements, deux bis, un chef visiblement content et des musiciens qui s'embrassent... On espère qu'ils vont graver cela au disque un jour.
Alors que l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers a été éditée de 1751 à 1772 sous la direction de Diderot et D’Alembert, alors que l'école a été rendue obligatoire dans de nombreux pays, alors que depuis quelques décennies l'Internet est accessible à des millions et des millions de gens...on pourrait se laisser à penser que l’obscurantisme, la manipulation des foules et autres endoctrinements dangereux auraient tendance à reculer...et bien non...
Les merveilleux outils pré-cités ont même tendance à développer des trésors d'ignorance, de haine et de tout autre cocktail que je n'oserai même pas qualifier ici...
Cela faisait déjà quelques années que plus rien ne m'étonnait...et bien, force est de constater, au regard de l'actualité, et de ce que l'on peut lire dans la presse ou sur le Net que je ne suis pas au bout de mes surprises...
Je me demande vraiment jusqu’où est capable d'aller la connerie humaine...
En voilà un merveilleux exemple
Doc.D. Dans la rue la Musique!
Music? in the street!
La musica? nelle strade!
BEETHOVEN STRASSE!
MUSS ES SEIN? ES MUSS SEIN! -Ferré76-
La colère étant un peu retombée, je vais m'attacher à vous livrer un petit compte rendu de la prestation du Jérusalem Quartet, hier soir à l'Arsenal de Metz...
Au regard, de l'actualité de notre pays, j'avoue m'être rendu à l'arsenal avec une certaine appréhension, un je ne sais quoi, une petite voix intérieure me disant que j'allais passer un moment exceptionnel, mais aussi une certaine angoisse me signifiant que le pire pourrait aussi se produire...
A mon arrivée, je m'attendais à voir un cortège de forces de l'ordre et autres vigiles...etc
Et bien non, juste un monsieur seul, demandant timidement aux gens d'ouvrir leur manteau, et aux dames d'ouvrir leur sac...
Il régnait m'a t'il semblé, un climat tendu et suspicieux...
Passé ce cap, je m'installe dans mon fauteuil dans la Salle de l'Esplanade, vraiment magnifique, chaleureuse. Ce qui m'a toujours surpris, dans cette salle, c'est que lorsque les gens arrivent, font du bruit, discutent etc... et bien même ce brouhaha n'est pas agressif pour l'oreille...
La traitement acoustique de cette salle est vraiment du grand ART...
Alors au programme de cette soirée:
HAYDN Quatuor op.77 n°1 "Lobkovitz" en Sol mjeur
BARTOK Quatuor n°6 SZ 114
DVORAK Quatuor n°12 "Américain" op.96
De prime abord, je me suis dit qu'il n'allait vraiment pas être évident pour les musiciens et le public d’enchaîner trois quatuors aussi différents les uns des autres.
Les musiciens arrivent sous un tonnerre d'applaudissements...dans une salle comble...
Le premier quatuor commence très fort, un mélange de sautillements, de joie mâtiné d'une certaine nostalgie...les musiciens, qui semblaient soucieux en arrivant se déchaînent et nous livre un feu d'artifice de virtuosité et d'émotion...
Le Jerusalem Quartet n'est dès lors plus à Metz, il est au confluent des cieux, en apesanteur...
Dès les premières notes, instinctivement je me suis mis à comparer inconsciemment leur prestation
scénique avec celle que j'ai l'habitude d'écouter sur leur disque sorti en 2004 chez HM...
Hallucinant d'entendre à quel point ils ont progressé...tout est joué avec force, la dynamique m'a d'emblée semblé beaucoup mieux maîtrisée, les attaques sur les cordes plus marquées, idem pour les passages plus nuancés, leur retenue semble également mieux maîtrisée...
Ce qui pousse aussi à l'admiration et au respect, c'est la capacité de ces quatre musiciens à jouer ENSEMBLE...nous avons quatre virtuoses chevronnés, quatre individualités, et chacun sait se mettre en avant, sans pour autant faire de l'ombre aux autres...tout est limpide, tout est clair, tout est audible...même lorsque l'un d'entre eux attaque son solo, tout semble minutieusement pensé afin que la moindre petite note des autres nous parvienne...
Ici tout est pureté, un tout, ou chaque instrument a sa place et ou la moindre petite note(qui chez certains semble insignifiante) prend part intégrale dans l'oeuvre...
Avec le 6ème de Bartok, nous passons des cieux à un climat beaucoup plus sombre et tendu...
on a l'impression que les musiciens sont détachés, qu'ils jouent à la vie à la mort.
Il est très impressionnant de constater avec quelle facilité et quelle aisance ils passent à une oeuvre réalisée 140 ans plus tard...
Pas évident pour l'auditeur de faire ce grand saut, le climat n'est vraiment pas à la fête, ce quatuor est empreint de tristesse et de tensions malsaines...et là encore le Jerusalem fait des merveilles...
Des cordes qui pleurent, des cordes sauvagement agressées, des musiciens en transe dotés d'une implacable rigueur, d'une aisance et d'une maîtrise exceptionnelle...dur de décrire ce que l'on peut ressentir en pareil moment...un mélange de malaise et d'extase, un moment duquel on ne sort pas indemne et changé à jamais...
Une petite pause, et les musiciens reviennent...
Ils attaquent Dvorak, et d'entrée de jeux, je ne peux que constater à quel point ils ont évolué depuis leur enregistrement du quatuor en 2006...
On atteint ici des sommets, le premier violon et le violoncelle me paraissent beaucoup plus affirmés, mais pas trop, laissant bien à leurs compagnons l'espace qui leur est propre...
Le rythme me semble plus marqué, mais aussi plus fluide, c'est étrange et jouissif en même temps...
Ici, comme dans les deux précédents quatuors, c'est le violoncelle qui m'a le plus impressionné...
Celui-ci, même lorsqu'il accompagne les autres, fait preuve d'une redoutable présence, la moindre corde tirée, frappée, caressée prend une dimension fantastique et transcende l'oeuvre...
La moindre de ses interventions sonne très proprement dans la salle et semble ne jamais vouloir s'arrêter...ce musicien en plus de son exceptionnelle maîtrise de l'instrument, a une façon de se comporter, son faciès de s'illuminer ou s’assombrir au grès des émotions qu'il veut faire passer...
Tout cela est remarquable, ahurissant, émouvant...et je pourrais encore agrandir la liste chercher des mots qui n'existent pas, afin de décrire tout ce dont il est capable...
En un mot, merveilleux, de plus à l'instar de Dvorak lorsqu'il a écrit cette merveille en Amérique, loin de sa Bohème natale, ces musiciens semblent savoir ce qu'est la nostalgie du pays, le rêve d'une nouvelle patrie mâtiné de mélancolie...cette oeuvre semble leur coller à la peau et l'âme...
Tonnerre d'applaudissements...
Les musiciens reviennent et nous offre L’alouette d'Haydn...belle prestation, un peu à l'image du 77...
Ils semblent vouloir partir rapidement, malgré l'enthousiasme du public...et peut être se demandent-ils s'ils reviendront un jour en France???
Une bien belle soirée, même si l'actualité de ses dernières semaines a peut être atténué ce qui aurait pu être une extase totale...
Modifié en dernier par doctor diamond le 11 déc. 2015, 21:03, modifié 1 fois.
Doc.D. Dans la rue la Musique!
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BEETHOVEN STRASSE!
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SDG a écrit :Ce soir au TCE Paavo Järvi et la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême.
Programme : Concerto pour violon de Beethoven avec Janine Janssen et la première symphonie de Brahms.
SI le concerto était d'un très haut niveau, le Brahms était carrément exceptionnel. Pris dans des tempo vifs, presque sans transition entre les mouvements, on ne savait quoi admirer : les vents somptueux, les contrebasses littéralement déchaînées, la qualité technique générale assez hallucinante, la direction rageuse de Järvi (très théâtrale d'ailleurs, mais dans le bon sens du terme, les bras surtout ont une amplitude assez rare) et sutout une osmose générale qui donne une impression de naturel et d'évidence.
Beaucoup d'applaudissements, deux bis, un chef visiblement content et des musiciens qui s'embrassent... On espère qu'ils vont graver cela au disque un jour.
Oui ça donne envie, sur disque ce devrait être superbe
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MUSS ES SEIN? ES MUSS SEIN! -Ferré76-
doctor diamond a écrit :La colère étant un peu retombée, je vais m'attacher à vous livrer un petit compte rendu de la prestation du Jérusalem Quartet, hier soir à l'Arsenal de Metz...
Au regard, de l'actualité de notre pays, j'avoue m'être rendu à l'arsenal avec une certaine appréhension, un je ne sais quoi, une petite voix intérieure me disant que j'allais passer un moment exceptionnel, mais aussi une certaine angoisse me signifiant que le pire pourrait aussi se produire...
A mon arrivée, je m'attendais à voir un cortège de forces de l'ordre et autres vigiles...etc
Et bien non, juste un monsieur seul, demandant timidement aux gens d'ouvrir leur manteau, et aux dames d'ouvrir leur sac...
Il régnait m'a t'il semblé, un climat tendu et suspicieux...
Passé ce cap, je m'installe dans mon fauteuil dans la Salle de l'Esplanade, vraiment magnifique, chaleureuse. Ce qui m'a toujours surpris, dans cette salle, c'est que lorsque les gens arrivent, font du bruit, discutent etc... et bien même ce brouhaha n'est pas agressif pour l'oreille...
La traitement acoustique de cette salle est vraiment du grand ART...
Alors au programme de cette soirée:
HAYDN Quatuor op.77 n°1 "Lobkovitz" en Sol mjeur
BARTOK Quatuor n°6 SZ 114
DVORAK Quatuor n°12 "Américain" op.96
De prime abord, je me suis dit qu'il n'allait vraiment pas être évident pour les musiciens et le public d’enchaîner trois quatuors aussi différents les uns des autres.
Les musiciens arrivent sous un tonnerre d'applaudissements...dans une salle comble...
Le premier quatuor commence très fort, un mélange de sautillements, de joie mâtiné d'une certaine nostalgie...les musiciens, qui semblaient soucieux en arrivant se déchaînent et nous livre un feu d'artifice de virtuosité et d'émotion...
Le Jerusalem Quartet n'est dès lors plus à Metz, il est au confluent des cieux, en apesanteur...
Dès les premières notes, instinctivement je me suis mis à comparer inconsciemment leur prestation
scénique avec celle que j'ai l'habitude d'écouter sur leur disque sorti en 2004 chez HM...
Hallucinant d'entendre à quel point ils ont progressé...tout est joué avec force, la dynamique m'a d'emblée semblé beaucoup mieux maîtrisée, les attaques sur les cordes plus marquées, idem pour les passages plus nuancés, leur retenue semble également mieux maîtrisée...
Ce qui pousse aussi à l'admiration et au respect, c'est la capacité de ces quatre musiciens à jouer ENSEMBLE...nous avons quatre virtuoses chevronnés, quatre individualités, et chacun sait se mettre en avant, sans pour autant faire de l'ombre aux autres...tout est limpide, tout est clair, tout est audible...même lorsque l'un d'entre eux attaque son solo, tout semble minutieusement pensé afin que la moindre petite note des autres nous parvienne...
Ici tout est pureté, un tout, ou chaque instrument a sa place et ou la moindre petite note(qui chez certains semble insignifiante) prend part intégrale dans l'oeuvre...
Avec le 6ème de Bartok, nous passons des cieux à un climat beaucoup plus sombre et tendu...
on a l'impression que les musiciens sont détachés, qu'ils jouent à la vie à la mort.
Il est très impressionnant de constater avec quelle facilité et quelle aisance ils passent à une oeuvre réalisée 140 ans plus tard...
Pas évident pour l'auditeur de faire ce grand saut, le climat n'est vraiment pas à la fête, ce quatuor est empreint de tristesse et de tensions malsaines...et là encore le Jerusalem fait des merveilles...
Des cordes qui pleurent, des cordes sauvagement agressées, des musiciens en transe dotés d'une implacable rigueur, d'une aisance et d'une maîtrise exceptionnelle...dur de décrire ce que l'on peut ressentir en pareil moment...un mélange de malaise et d'extase, un moment duquel on ne sort pas indemne et changé à jamais...
Une petite pause, et les musiciens reviennent...
Ils attaquent Dvorak, et d'entrée de jeux, je ne peux que constater à quel point ils ont évolué depuis leur enregistrement du quatuor en 2006...
On atteint ici des sommets, le premier violon et le violoncelle me paraissent beaucoup plus affirmés, mais pas trop, laissant bien à leurs compagnons l'espace qui leur est propre...
Le rythme me semble plus marqué, mais aussi plus fluide, c'est étrange et jouissif en même temps...
Ici, comme dans les deux précédents quatuors, c'est le violoncelle qui m'a le plus impressionné...
Celui-ci, même lorsqu'il accompagne les autres, fait preuve d'une redoutable présence, la moindre corde tirée, frappée, caressée prend une dimension fantastique et transcende l'oeuvre...
La moindre de ses interventions sonne très proprement dans la salle et semble ne jamais vouloir s'arrêter...ce musicien en plus de son exceptionnelle maîtrise de l'instrument, a une façon de se comporter, son faciès de s'illuminer ou s’assombrir au grès des émotions qu'il veut faire passer...
Tout cela est remarquable, ahurissant, émouvant...et je pourrais encore agrandir la liste chercher des mots qui n'existent pas, afin de décrire tout ce dont il est capable...
En un mot, merveilleux, de plus à l'instar de Dvorak lorsqu'il a écrit cette merveille en Amérique, loin de sa Bohème natale, ces musiciens semblent savoir ce qu'est la nostalgie du pays, le rêve d'une nouvelle patrie mâtiné de mélancolie...cette oeuvre semble leur coller à la peau et l'âme...
Tonnerre d'applaudissements...
Les musiciens reviennent et nous offre L’alouette d'Haydn...belle prestation, un peu à l'image du 77...
Ils semblent vouloir partir rapidement, malgré l'enthousiasme du public...et peut être se demandent-ils s'ils reviendront un jour en France???
Une bien belle soirée, même si l'actualité de ses dernières semaines ont peut être atténué ce qui aurait pu être une extase totale...
C'est officiel, je HAIS ce type
(merci du CR!!!!! un bonheur)
"Un roi sans divertissement est un homme plein de misères". B. Pascal.
S1: NAC202 / NAP200 - NAPSC - CD5XS - nDAC - Hiline - DAC Audiomat Tempo 2 évo - Hiline DIN RCA- TEAC HA 501 - JMR Bliss Jubilé câblées NACA5 S2: Yamaha R-N803D - Yamaha CD-S300 - Cabasse Jersey MT32 - câbles Viard Audio Premium HD - Sennheiser HD 650
SDG a écrit :Ce soir au TCE Paavo Järvi et la Deutsche Kammerphilharmonie de Brême.
Programme : Concerto pour violon de Beethoven avec Janine Janssen et la première symphonie de Brahms.
SI le concerto était d'un très haut niveau, le Brahms était carrément exceptionnel. Pris dans des tempo vifs, presque sans transition entre les mouvements, on ne savait quoi admirer : les vents somptueux, les contrebasses littéralement déchaînées, la qualité technique générale assez hallucinante, la direction rageuse de Järvi (très théâtrale d'ailleurs, mais dans le bon sens du terme, les bras surtout ont une amplitude assez rare) et sutout une osmose générale qui donne une impression de naturel et d'évidence.
Beaucoup d'applaudissements, deux bis, un chef visiblement content et des musiciens qui s'embrassent... On espère qu'ils vont graver cela au disque un jour.
Oui ça donne envie, sur disque ce devrait être superbe
Je viens de lire sur un site allemand que l'intégrale était en préparation chez Sony
Dans le même temps je viens de voir que Järvi sort une intégrale des symphonies de Nielsen avec l'orchestre de la radio de Frankfort.
doctor diamond a écrit :Une bien belle soirée, même si l'actualité de ses dernières semaines a peut être atténué ce qui aurait pu être une extase totale...
Bravo Doctor et merci de nous avoir fait partager ces beaux instants et ton émotion.
Je regrette un peu, j'aurais bien échangé le concert de la Saint Nicolas contre celui-ci.
Il est vrai que j'attendais beaucoup du Saint Nicolas, un nom qui nous est cher et qui a déjà été fêté par de très belles prestations.
Et dommage que ton plaisir ait été assombri par des considérations qui n'ont rien à voir avec la musique et le talent des artistes.
Il en aurait été de même pour moi.
@ Fred et Henry;
heureux que ce petit compte rendu vous ai plu...dans de telles circonstances, c'est la musique qui parle à travers moi...
zorglub007 a écrit :Et dommage que ton plaisir ait été assombri par des considérations qui n'ont rien à voir avec la musique et le talent des artistes.
Je te rassure,la magie de la musique, ce langage universel et sans frontière a bien pris le dessus sur toutes ces considérations négatives...
FredM a écrit :C'est officiel, je HAIS ce type
Et dire que tu étais cordialement invité
Bon week end à tous
Doc.D. Dans la rue la Musique!
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philou35 a écrit :En plus , je croie que ce quatuor utilise un violoncelle de Jacqueline DuPré
Oui tu as raison
Le dit violoncelle est le "Sergio Perresson", généreusement prêté par Mr Barenboim...
En revanche je serai bien incapable de dire s'il s'agissait de celui-ci sur scène
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doctor diamond a écrit :Le dit violoncelle est le "Sergio Perresson", généreusement prêté par Mr Barenboim...
Instrument avec lequel elle a enregistré la version définitive du concerto pour violoncelle de Dvorak avec S. Celibidache Plus tard, quand la sclérose en plaque eut progressé, Barenboïm lui fit construire spécialement un violoncelle facile à jouer, produisant un son assez fort sans qu'elle ait besoin de trop forcer... Belle preuve d'amour
"Un roi sans divertissement est un homme plein de misères". B. Pascal.
S1: NAC202 / NAP200 - NAPSC - CD5XS - nDAC - Hiline - DAC Audiomat Tempo 2 évo - Hiline DIN RCA- TEAC HA 501 - JMR Bliss Jubilé câblées NACA5 S2: Yamaha R-N803D - Yamaha CD-S300 - Cabasse Jersey MT32 - câbles Viard Audio Premium HD - Sennheiser HD 650