Pochettes Vinyles Mythiques
- Gagl
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Et bien voilà, encore trois albums à découvrir, à écouter sans tarder, puis à trouver en vinyles...
Jean-Luc.
CD5 XS ; Pro-Ject 2 Xperience + DV 20X2H, Pro-Ject SB DS, Ear 834P + Telefunken 1963 ; HS251 + Meyian, ultraRendu + LPS-1.2, USB Totaldac, Chord Hugo TT
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Sbis : 32.5 led rouge, hicap olive, 110 led rouge
Nac a5 ; Vienna Acoustics BBG ; HD 650
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- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Oh let the sun beat down upon my face, stars to fill my dreams...
- nicolas
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Pochettes Vinyles Mythiques
.
Modifié en dernier par nicolas le 24 nov. 2013, 16:31, modifié 1 fois.
- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
LOU REED – CONEY ISLAND BABY – 1976 - L'album de la Rédemption
CONEY ISLAND BABY est un disque à part dans la discographie de Lou REED.
Tout d’abord, il fut très bien accueilli par la critique, et c’est déjà un succès en soi quand on connaît la dureté de la presse à son encontre à cette époque.
Il faut dire que Lou REED s’est mis dans une situation très inconfortable depuis quelques années vis-à-vis de la presse et de son public.
Il traverse une grave crise personnelle : il a divorcé de sa femme Bettye, et vit avec un transexuel d’origine Mexicaine, nommé Rachel. C’est elle qui est au verso de la pochette de SALLY CAN’T DANCE.
Il n’a pas supporté que son disque fétiche, BERLIN sorti en 73, a fortement déplu à la critique américaine (en Europe, il fut N°6 des ventes), en qualifiant l’album de « musique déprimante ». Il est vrai que BERLIN était tout sauf la suite que tout le monde attendait après le succès phénoménal de TRANSFORMER.
Pendant les 2 années qui ont suivi, Lou REED a passé son temps à se venger de la critique et de son public, en sortant 3 disques dont un en public, ROCK AND ROLL ANIMAL, sur lequel il s’essaie au Hard Rock, musique très en vogue à l’époque, SALLY CAN’T DANCE et surtout METAL MACHINE MUSIC, double album regroupant 4 morceaux instrumentaux de 16 mn chacun, où on n’entend que des bruits de guitare distordus.
A propos de ce dernier disque, Lou REED, alors en plein conflit contractuel avec son label RCA, disait lui-même :
« Je vous conseille de ne pas acheter ce disque. Ces connards se sont plantés, ils ont gravé quatre fois la même face. »
Toujours est-il que Lou REED multipliait les agressions verbales envers Denis KATZ son manager et avocat, et envers sa maison de disque RCA.
Mais ce qui a mis le feu aux poudres, s’est passé pendant la tournée mondiale courant 75. En Nouvelle Zélande, Lou REED est incapable de monter sur scène suite à sa consommation démentielle de « speed ». Le public attend, et le groupe ne le voyant pas revenir, joue sans lui, et c’est Doug YULE, son ancien compère du VELVET revenu dans son groupe à cette époque, qui chante à sa place.
Lou REED est dans une colère noire ; il annule la tournée, vire sur le champ Doug YULE et repart à New York.
Hélas pour lui, RCA lui réclame alors 600000 dollars, qu’il n’a pas, et refuse de continuer à le produire.
Obligé de vendre son appartement, Lou ruiné, est contraint de négocier avec RCA, qui l’oblige à sortir rapidement un album « commerciable ». En échange, il reçoit 15 dollars par jour et une chambre dans un petit hôtel à Manhattan.
C’est ainsi que commence l’enregistrement de ce qui allait devenir CONEY ISLAND BABY, considéré par ceux qui apprécient sa musique, comme son meilleur album.
Lou REED, comme au bon vieux temps du Velvet, s’occupe de tout et personne ne lui dicte quoique ce soit.
L’album est écrit en un temps record et sort au tout début de 76.
A mon sens, c’est un album MAGISTRAL.
Le son et l’ambiance du disque sont à l’apaisement. On sent Lou REED, sûr de lui, accompagné par un très bon groupe, et les compositions sont toutes d’un très haut niveau.
Les textes sont très personnels, comme sur la sublime chanson titre, sur laquelle sa voix est naturelle et détendue.
On trouve également l’irrésistible CHARLEY’S GIRL que l’on peut écouter et réécouter sans jamais se lasser. Le rythme de cette chanson est à tomber.
Figure également le très noir KICKS, inspiré des grands textes morbides du VELVET. Autre très grand moment de l'album.
Le reste est tout aussi accrocheur, avec des titres comme NOBODY’S BUSINESS, le très entrainant OOOH HH BABY, ou le mélancolique SHE’S MY BEST FRIEND, sans oublier A GIFT, une très jolie chanson.
La pochette de l’album est à l’avenant de la musique proposée : Calme, apaisée et superbe.
La presse du monde entier applaudit l’album, qui reste à ce jour son seul chef d’œuvre reconnu.
J-Luc


CONEY ISLAND BABY est un disque à part dans la discographie de Lou REED.
Tout d’abord, il fut très bien accueilli par la critique, et c’est déjà un succès en soi quand on connaît la dureté de la presse à son encontre à cette époque.
Il faut dire que Lou REED s’est mis dans une situation très inconfortable depuis quelques années vis-à-vis de la presse et de son public.
Il traverse une grave crise personnelle : il a divorcé de sa femme Bettye, et vit avec un transexuel d’origine Mexicaine, nommé Rachel. C’est elle qui est au verso de la pochette de SALLY CAN’T DANCE.
Il n’a pas supporté que son disque fétiche, BERLIN sorti en 73, a fortement déplu à la critique américaine (en Europe, il fut N°6 des ventes), en qualifiant l’album de « musique déprimante ». Il est vrai que BERLIN était tout sauf la suite que tout le monde attendait après le succès phénoménal de TRANSFORMER.
Pendant les 2 années qui ont suivi, Lou REED a passé son temps à se venger de la critique et de son public, en sortant 3 disques dont un en public, ROCK AND ROLL ANIMAL, sur lequel il s’essaie au Hard Rock, musique très en vogue à l’époque, SALLY CAN’T DANCE et surtout METAL MACHINE MUSIC, double album regroupant 4 morceaux instrumentaux de 16 mn chacun, où on n’entend que des bruits de guitare distordus.
A propos de ce dernier disque, Lou REED, alors en plein conflit contractuel avec son label RCA, disait lui-même :
« Je vous conseille de ne pas acheter ce disque. Ces connards se sont plantés, ils ont gravé quatre fois la même face. »
Toujours est-il que Lou REED multipliait les agressions verbales envers Denis KATZ son manager et avocat, et envers sa maison de disque RCA.
Mais ce qui a mis le feu aux poudres, s’est passé pendant la tournée mondiale courant 75. En Nouvelle Zélande, Lou REED est incapable de monter sur scène suite à sa consommation démentielle de « speed ». Le public attend, et le groupe ne le voyant pas revenir, joue sans lui, et c’est Doug YULE, son ancien compère du VELVET revenu dans son groupe à cette époque, qui chante à sa place.
Lou REED est dans une colère noire ; il annule la tournée, vire sur le champ Doug YULE et repart à New York.
Hélas pour lui, RCA lui réclame alors 600000 dollars, qu’il n’a pas, et refuse de continuer à le produire.
Obligé de vendre son appartement, Lou ruiné, est contraint de négocier avec RCA, qui l’oblige à sortir rapidement un album « commerciable ». En échange, il reçoit 15 dollars par jour et une chambre dans un petit hôtel à Manhattan.
C’est ainsi que commence l’enregistrement de ce qui allait devenir CONEY ISLAND BABY, considéré par ceux qui apprécient sa musique, comme son meilleur album.
Lou REED, comme au bon vieux temps du Velvet, s’occupe de tout et personne ne lui dicte quoique ce soit.
L’album est écrit en un temps record et sort au tout début de 76.
A mon sens, c’est un album MAGISTRAL.
Le son et l’ambiance du disque sont à l’apaisement. On sent Lou REED, sûr de lui, accompagné par un très bon groupe, et les compositions sont toutes d’un très haut niveau.
Les textes sont très personnels, comme sur la sublime chanson titre, sur laquelle sa voix est naturelle et détendue.
On trouve également l’irrésistible CHARLEY’S GIRL que l’on peut écouter et réécouter sans jamais se lasser. Le rythme de cette chanson est à tomber.
Figure également le très noir KICKS, inspiré des grands textes morbides du VELVET. Autre très grand moment de l'album.
Le reste est tout aussi accrocheur, avec des titres comme NOBODY’S BUSINESS, le très entrainant OOOH HH BABY, ou le mélancolique SHE’S MY BEST FRIEND, sans oublier A GIFT, une très jolie chanson.
La pochette de l’album est à l’avenant de la musique proposée : Calme, apaisée et superbe.
La presse du monde entier applaudit l’album, qui reste à ce jour son seul chef d’œuvre reconnu.
J-Luc


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- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
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- JLH
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Un index par ordre alphabétique a été ajouté en page 1 :
C'est pratique quand on cherche un groupe ou un chanteur précis.
INDEX PAR ORDRE ALPHABETIQUE
J-Luc
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J-Luc
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- Gagl
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Là, Jean-Luc, ça commence à faire une sacrée somme de chroniques de disques !
Le classement alphabétique lui donne une dimension quasi encyclopédique qui ne m'avait pas frappé et dans laquelle il devient plus simple de plonger... 
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Effectivement et cela marche en plus ... génial merci Jean-Luc !!!Gagl a écrit :Là, Jean-Luc, ça commence à faire une sacrée somme de chroniques de disques !Le classement alphabétique lui donne une dimension quasi encyclopédique qui ne m'avait pas frappé et dans laquelle il devient plus simple de plonger...
Tiens Zappa est en couverture de Prog Rock ce mois-ci !
http://www.progrockmag.com/
Linn LP12 - Heed Orbit1 + Ittok-AO + MP30 / DIY-Phonostage
DIY-NAC - NAP160 modifié - SBLs-NPXO
CDI (CDM9 pro)
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
10CC – HOW DARE YOU – 1975 - Attention Chef d'Oeuvre
On ne parle jamais de ce groupe génial, 10 CC, qui a pondu quelques albums remarquables dans les seventies, dont ce HOW DARE YOU, paru en 75.
La musique est d'une richesse incroyable.
On se situe entre Sparks, les Bee Gees ou Queen, voire Roxy Music, mais ce groupe a sa vraie identité et cet album en est la preuve irréfutable.
C'est une merveille de trouvailles et d'originalité. En plus, le son du vinyle est fantastique.
Le morceau I WANNA RULE THE WORLD est carrément dément. Ca part dans tous les sens, un peu comme le BOHEMIAN RHAPSODY des QUEEN, ou le TRIAL de PINK FLOYD.
Je vous reparlerai de ce groupe, qui a également sorti un autre extraordinaire album en 77, à la somptueuse pochette qui aurait sa place dans cette rubrique : DECEPTIVE BENDS.
Bien-sûr, leur album le plus commercial et le plus connu reste ORIGINAL SOUNDTRACK avec le fameux hit I'M NOT IN LOVE.
Pour ceux qui ne connaissent pas, et qui aiment un peu la musique "barrée", ce disque est pour vous.
J-Luc



On ne parle jamais de ce groupe génial, 10 CC, qui a pondu quelques albums remarquables dans les seventies, dont ce HOW DARE YOU, paru en 75.
La musique est d'une richesse incroyable.
On se situe entre Sparks, les Bee Gees ou Queen, voire Roxy Music, mais ce groupe a sa vraie identité et cet album en est la preuve irréfutable.
C'est une merveille de trouvailles et d'originalité. En plus, le son du vinyle est fantastique.
Le morceau I WANNA RULE THE WORLD est carrément dément. Ca part dans tous les sens, un peu comme le BOHEMIAN RHAPSODY des QUEEN, ou le TRIAL de PINK FLOYD.
Je vous reparlerai de ce groupe, qui a également sorti un autre extraordinaire album en 77, à la somptueuse pochette qui aurait sa place dans cette rubrique : DECEPTIVE BENDS.
Bien-sûr, leur album le plus commercial et le plus connu reste ORIGINAL SOUNDTRACK avec le fameux hit I'M NOT IN LOVE.
Pour ceux qui ne connaissent pas, et qui aiment un peu la musique "barrée", ce disque est pour vous.
J-Luc



Modifié en dernier par JLH le 29 déc. 2013, 19:10, modifié 3 fois.
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- Alcide Nikopol
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
J'adore cet album que je conseille vivement à ceux qui ne le connaissent pas. C'est avec lui que j'avais découvert 10CC à la fi des années 70. Malheureusement je n'ai pas le vinyle
, j'avais une copie sur k7. Entretemps je me suis acheté le CD en duo-pack avec le "Original Soundtrack" que j'aime moins, même si il y a le mythique "I'm Not In Love".
Marco
Marco
CDSII - XPS / Rega P9 - P9PSU - Rega Ania Pro
QNAP TS-264 (Audirvāna Core) - Wattson Audio Emerson DIGITAL - N-DAC
NAC52 - SuperCap / NAXO "242" - HiCap / 2 x NAP250 / DNM Resolution / SBL MkI/II - nSUB
FRAIM / MusicLine Powerigel 8
HeadLine - HiCap / Audeze LCD-2, / Grado RS-1, / Sennheiser HD660S, / ERGO 2, / AKG 712 Pro
Mu-so / Mus-so Qb
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FRAIM / MusicLine Powerigel 8
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- Gagl
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
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- alien78
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Pareil, bonne idée !
vincent
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Rega RP10, cellule Apheta 2, pré Rega Aria + Chord Epic,NDX2/xps2 DR/cds3/xps2/252/SC2/250 DR/Apertura ONIRA/câble HL (modulation), Apertura Référence (hp), barette secteur Isotek Sirius, PL sur 250, XPS2 et SC2. Fraim.
Je suis le numéro 2, vous êtes le numéro 6.
Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre !
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troubadour
Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Ils avaient un morceau reggae complètement dément aussi ! ?
-
gipath
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Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Artec Reference Arpege - Artec Reference SE50 I - Atohm GT1 HD - Atohm GT SW 500 HD
-
troubadour
Re: Pochettes Vinyles Mythiques
Ha oui voilà merci!


