Comparatif NAC282 / SC vs NAC52 / SC
Posté : 29 avr. 2019, 18:45
Bonjour à tous,
Petit CR de mes essais comparatif de ces dernières semaines sur la section pré-ampli de mon système :
D’un côté, mon système actuel composé d’un NAC 282 recappé et boosté par Daniel fin 2018 et alimenté par sa SC black, de l’autre le 52 et sa SC olive acquis auprès de DOUM.
Dans les deux cas, l’alimentation est confiée à un NAP200 et les sources sont :
• MOON 180 / NDAC / XPS2 pour la partie démat
• Planar6 / ortofon 2M black pour la partie vinyle
Les deux pré-amplis et leurs alims sont restés sous tension, et une chauffe du NAC52/SC de 3-4 jours a été respectée avant toute comparaison. Le passage d’une config à une autre se limitant donc au switch entre les câbles d’interconnexion et le câble de liaison au NAP.
Et bien cela a été relativement compliqué de nous (ma compagne et moi) positionner sur quelle config parmi les deux allait notre préférence.
Nous avons dans un premier temps fait des allers/retours entre les deux configs en utilisant une playlist d’une petite dizaine de titres alternant différents types de style (jazz, vocal, rock) .
Première constations : avec ce type d’essai A/B, on se concentre plus à chercher et à écouter tous les détails plutôt que d’écouter la musique. Quand on a peu de temps, il est évident que ce type d’essai est le seul possible, par contre pour ma part et ayant le temps, j’ai fini par laisser un système fonctionner durant une semaine avant de commuter sur l’autre.
Deuxième constatation : la restitution est effectivement différente entre les deux gammes (c’était la première fois que j’écoutais de l’olive), mais de mon point de vue on reste tout de même sur la même identité avec toutefois une présentation plus douce sur le 52, et plus engageante avec le 282.
Si je devais lister les plus et moins de chacun (dans ma config, dans ma pièce et avec ma sensibilité, ce n’est absolument pas une vérité absolue) :
Le NAC 282 est très détaillé, a une scène relativement large. Il est très rythmé et implique l’auditeur dans l’écoute, peut être un peu trop car une certaine fatigue peu se manifester après une longue période d’écoute à volume soutenu.
Le NAC 52 peut paraitre plus « gentil » de premier abord, il en met moins plein la vue dans le sens ou il apporte une certaine rondeur au message musical, rien n’est perdu en termes de détails par rapport au 282, mais tout est plus en harmonie. D’ailleurs, on pousse le volume plus haut qu’avec le 282 sans s’en rendre compte, durant de longues séances d’écoute et sans qu’aucune fatigue ne se fasse sentir. Au final, c’est sur ce dernier critère que mon choix s’est fait, le 52 sort vainqueur, mais le 282 n’a pas démérité !
J’en ai également profité pour comparer les étages phono sur le 52 (il est équipé de cartes MM) :
L’écart entre les cartes et le stageline alimenté par le 52 est très faible, difficile pour moi de départager l’un ou l’autre. Par contre, le stageline alimenté par la SC black (donc indépendamment du 52) passe nettement devant en termes d’ouverture et de spatialisation.
Donc voilà, mes équipements blacks se retrouvent dans les PA. La prochaine étape sera de remplacer le NAP 200 par un ampli de la gamme olive, là par contre je me tâte un peu sur le modèle à retenir pour alimenter les MD1. Mais j’ai un peu de temps étant donné que se changement se fera après au moins une des ventes.
Olivier
Petit CR de mes essais comparatif de ces dernières semaines sur la section pré-ampli de mon système :
D’un côté, mon système actuel composé d’un NAC 282 recappé et boosté par Daniel fin 2018 et alimenté par sa SC black, de l’autre le 52 et sa SC olive acquis auprès de DOUM.
Dans les deux cas, l’alimentation est confiée à un NAP200 et les sources sont :
• MOON 180 / NDAC / XPS2 pour la partie démat
• Planar6 / ortofon 2M black pour la partie vinyle
Les deux pré-amplis et leurs alims sont restés sous tension, et une chauffe du NAC52/SC de 3-4 jours a été respectée avant toute comparaison. Le passage d’une config à une autre se limitant donc au switch entre les câbles d’interconnexion et le câble de liaison au NAP.
Et bien cela a été relativement compliqué de nous (ma compagne et moi) positionner sur quelle config parmi les deux allait notre préférence.
Nous avons dans un premier temps fait des allers/retours entre les deux configs en utilisant une playlist d’une petite dizaine de titres alternant différents types de style (jazz, vocal, rock) .
Première constations : avec ce type d’essai A/B, on se concentre plus à chercher et à écouter tous les détails plutôt que d’écouter la musique. Quand on a peu de temps, il est évident que ce type d’essai est le seul possible, par contre pour ma part et ayant le temps, j’ai fini par laisser un système fonctionner durant une semaine avant de commuter sur l’autre.
Deuxième constatation : la restitution est effectivement différente entre les deux gammes (c’était la première fois que j’écoutais de l’olive), mais de mon point de vue on reste tout de même sur la même identité avec toutefois une présentation plus douce sur le 52, et plus engageante avec le 282.
Si je devais lister les plus et moins de chacun (dans ma config, dans ma pièce et avec ma sensibilité, ce n’est absolument pas une vérité absolue) :
Le NAC 282 est très détaillé, a une scène relativement large. Il est très rythmé et implique l’auditeur dans l’écoute, peut être un peu trop car une certaine fatigue peu se manifester après une longue période d’écoute à volume soutenu.
Le NAC 52 peut paraitre plus « gentil » de premier abord, il en met moins plein la vue dans le sens ou il apporte une certaine rondeur au message musical, rien n’est perdu en termes de détails par rapport au 282, mais tout est plus en harmonie. D’ailleurs, on pousse le volume plus haut qu’avec le 282 sans s’en rendre compte, durant de longues séances d’écoute et sans qu’aucune fatigue ne se fasse sentir. Au final, c’est sur ce dernier critère que mon choix s’est fait, le 52 sort vainqueur, mais le 282 n’a pas démérité !
J’en ai également profité pour comparer les étages phono sur le 52 (il est équipé de cartes MM) :
L’écart entre les cartes et le stageline alimenté par le 52 est très faible, difficile pour moi de départager l’un ou l’autre. Par contre, le stageline alimenté par la SC black (donc indépendamment du 52) passe nettement devant en termes d’ouverture et de spatialisation.
Donc voilà, mes équipements blacks se retrouvent dans les PA. La prochaine étape sera de remplacer le NAP 200 par un ampli de la gamme olive, là par contre je me tâte un peu sur le modèle à retenir pour alimenter les MD1. Mais j’ai un peu de temps étant donné que se changement se fera après au moins une des ventes.
Olivier