Connais pas ! Je vais donc essayer pour ne pas mourir idiot ni bornéSDG a écrit :Pierre, je ne pense pas que tu puisses ne pas aimer cette intérprétation de S.Ross dans Rameau, déjà citée à plusieurs reprises sur ce forum :
La suite en mi de Rameau, je ne m'en suis toujours pas remis...
Merci 
Rosse ( pour toi Bask) n'était qu'une belle tête de cochon mais un grand poète. Il a plus ou moins toujours été entendu que ses propos ne concernaient que lui. On pourrait même dire qu'il y avait là dedans un forme d'insurrection contre la pharaonique vanité de certains, incommensurable orgueil illustré de façon tout à fait magistrale par non amis Gould et JarrettBaskerville a écrit :Certes, les artistes ne sont pas toujours accessibles. Mais de mes 2 ou 3 versions des Variations au clavecin, c'est celle de Ross que je préfère.groucho78 a écrit : Je trouve Scott Ross particulièrement outrecuidant et ses propos d'une sottise affligeante. Je comprends maintenant pourquoi je n'ai jamais aimé ses interprétations.
Il est parfois difficile de dissocier l'humain de l'artiste.
Par exemple K. Jarrett est un être, soit disant, imbuvable, mais un grand artiste.
C'est ce qui est le plus important pour nos oreilles, car pour ce qui est de rencontrer l'homme on a aucune chance. (et encore faudrait-il le vouloir!)
. OK (n'est-ce pas inhérent aux artistes ? ) mais je n'ai jamais entendu ces deux-là mépriser leurs "confrères" comme le fait RossRatafia a écrit : incommensurable orgueil illustré de façon tout à fait magistrale par non amis Gould et Jarrett
Sans doute Pierre. mais reconnaissons à Scott Ross, qui n'a certes jamais été "facile", des circonstances atténuantes. Ces images datent de la fin de sa vie. Le regard du claveciniste y est empreint d'une sorte d'irritation perpétuelle engendrée presque à coup sûr par un sentiment d'injustice face à la douleur et à l'imminence de la mort.groucho78 a écrit :OK (n'est-ce pas inhérent aux artistes ? ) mais je n'ai jamais entendu ces deux-là mépriser leurs "confrères" comme le fait RossRatafia a écrit : incommensurable orgueil illustré de façon tout à fait magistrale par non amis Gould et Jarrett
On pourrait s'attendre, au contraire, à un peu plus d'humilité et de sagesse ! La fin de la vie n'est pas une circonstance atténuante ; le début, oui.Ratafia a écrit :Sans doute Pierre. mais reconnaissons à Scott Ross, qui n'a certes jamais été "facile", des circonstances atténuantes. Ces images datent de la fin de sa vie. Le regard du claveciniste y est empreint d'une sorte d'irritation perpétuelle engendrée presque à coup sûr par un sentiment d'injustice face à la douleur et à l'imminence de la mort.groucho78 a écrit :OK (n'est-ce pas inhérent aux artistes ? ) mais je n'ai jamais entendu ces deux-là mépriser leurs "confrères" comme le fait RossRatafia a écrit : incommensurable orgueil illustré de façon tout à fait magistrale par non amis Gould et Jarrett
groucho78 a écrit :On pourrait s'attendre, au contraire, à un peu plus d'humilité et de sagesse ! La fin de la vie n'est pas une circonstance atténuante ; le début, oui.groucho78 a écrit :Sans doute Pierre. mais reconnaissons à Scott Ross, qui n'a certes jamais été "facile", des circonstances atténuantes. Ces images datent de la fin de sa vie. Le regard du claveciniste y est empreint d'une sorte d'irritation perpétuelle engendrée presque à coup sûr par un sentiment d'injustice face à la douleur et à l'imminence de la mort.Ratafia a écrit : :
Install: S1, S2, S3 
on dirait du gustave parking !filip-63 a écrit :je ne me rappelle plus qui a dit : "J'aime les deux Bach : Jean-Sébastien et Jacques-Offen"
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Oui une de mes versions favorites au clavecin...melomane a écrit :J'aime bien la version de Pierre HANTAï (1993)
Mes préférées :
