Petit CR Modsquad Signature/CDS/CD2/CDI
Posté : 02 mars 2011, 11:50
Bonjour à tous,
Cela fait maintenant plusieurs mois que je possède maintenant un CDS sur mon S1. Il est temps de faire un petit compte rendu et de le comparer directement au MODSQUAD, CD2 et CDI.
Je précise que les essais ont été effectués avec mon 250 CB de 1982 entièrement révisé. Il s’avère être à mes oreilles le plus musical des 250 que j’ai pu tester. Le 250 Olive que j’ai actuellement à la maison est également magnifique, mais l’écoute est vraiment différente de mon 250 de 1982.
CDS : Déjà, il est n’est vraiment pas évident d’optimiser le placement du lecteur. Modifier le placement, c’est également modifier le son, sans dire si c’est meilleur ou moins bien qu’avant, juste différent.
Pour ma part le placement optimal du CDS, c’est le double découplage. Le CDS est placé sur un plaque de médite de 16mm. Cette plaque est posée sur quatre pointes Audiophonics, elles même posée sur un meuble Soundstyle découplé.
L’écoute est simplement sublime et du souvenir que j’ai du CDS2, l’écoute est bien plus présente, vive et dynamique. Le touché du piano est un réel bonheur, à la fois tendu et doux sans agressivité aucune, avec un poids dans les notes remarquable. C’est le point fort du CDS. Il insuffle à la musique une vie, une émotion extraordinaire. Il est d’une extrême cohérence, mais attention à l’opposé du CD2. Une extrême cohérence par ses qualités (et non par ses défauts, voir CD2). Tous les registres sont superbes, le grave est extrêmement tendu, moins profond que celui du MODSQUAD, mais très présent, dynamique et articulé, le medium lui sans avoir la magnifique fluidité du MODSQUAD est également extraordinaire, les voix sont particulièrement sublimée, l’absence de voile (contrairement au CD2) contribue au réalisme impressionnant du CDs. L’aigu lui file très haut, il est très fin avec un filé unique, un soyeux supérieur au MODSQUAD. Je n’aime pas détailler les registres, on à l’impression qu’en procédant de cette manière, On décrit artificiellement la musique. Au contraire le CDS est justement fabuleux par la vie qu’il procure et son exceptionnelle cohérence.
Au delà de ses extraordinaires qualités, il peut paraitre légérement plus froid et analytique que le MODSQUAD.
MODSQUAD SIGNATURE : Bon la, je crois qu’il n’y a que des superlatifs pour décrire sa musicalité. Il délivre une sonorité onctueuse et suave à la fois. La plus belle de ses qualité réside dans la medium. Unique en son genre, extrêmement présent et articulé, la présence des interprètes est quasi physique. La Scène sonore est très large et profonde (oui c’est possible sur les SBLs) avec une précision inouïe. La il creuse très nettement la différence avec les lecteurs NAIM. Dans ce domaine, il surpasse très nettement le CDS. La voix de BREL est tellement extraordinaire que l’on à l’impression qu’il est devant nous. C’est moins le cas avec le CDS, la voix étant plus mat, la rendant peut-être moins présente.
Le MODSQUAD, à une grande capacité à transmettre l’émotion. Sa fluidité dans le médium y contribue grandement. La ou le CDS est très droit et tendu, impressionnant. Le MODSQUAD, lui, joue la carte de la finesse avec tous pleins de petits rebonds et de légèreté. Beaucoup d’air entre les instruments.
Le grave quoique, un peu rond comparé au CDS, ne s’affale jamais et ressemble beaucoup au meilleur de l’analogique.
Il sait combiner à merveille un médium très dense, une scène sonore large et une justesse de timbre unique. Il rend justice aux voix en les rendant très humaines.
Suite plus tard…..
Cela fait maintenant plusieurs mois que je possède maintenant un CDS sur mon S1. Il est temps de faire un petit compte rendu et de le comparer directement au MODSQUAD, CD2 et CDI.
Je précise que les essais ont été effectués avec mon 250 CB de 1982 entièrement révisé. Il s’avère être à mes oreilles le plus musical des 250 que j’ai pu tester. Le 250 Olive que j’ai actuellement à la maison est également magnifique, mais l’écoute est vraiment différente de mon 250 de 1982.
CDS : Déjà, il est n’est vraiment pas évident d’optimiser le placement du lecteur. Modifier le placement, c’est également modifier le son, sans dire si c’est meilleur ou moins bien qu’avant, juste différent.
Pour ma part le placement optimal du CDS, c’est le double découplage. Le CDS est placé sur un plaque de médite de 16mm. Cette plaque est posée sur quatre pointes Audiophonics, elles même posée sur un meuble Soundstyle découplé.
L’écoute est simplement sublime et du souvenir que j’ai du CDS2, l’écoute est bien plus présente, vive et dynamique. Le touché du piano est un réel bonheur, à la fois tendu et doux sans agressivité aucune, avec un poids dans les notes remarquable. C’est le point fort du CDS. Il insuffle à la musique une vie, une émotion extraordinaire. Il est d’une extrême cohérence, mais attention à l’opposé du CD2. Une extrême cohérence par ses qualités (et non par ses défauts, voir CD2). Tous les registres sont superbes, le grave est extrêmement tendu, moins profond que celui du MODSQUAD, mais très présent, dynamique et articulé, le medium lui sans avoir la magnifique fluidité du MODSQUAD est également extraordinaire, les voix sont particulièrement sublimée, l’absence de voile (contrairement au CD2) contribue au réalisme impressionnant du CDs. L’aigu lui file très haut, il est très fin avec un filé unique, un soyeux supérieur au MODSQUAD. Je n’aime pas détailler les registres, on à l’impression qu’en procédant de cette manière, On décrit artificiellement la musique. Au contraire le CDS est justement fabuleux par la vie qu’il procure et son exceptionnelle cohérence.
Au delà de ses extraordinaires qualités, il peut paraitre légérement plus froid et analytique que le MODSQUAD.
MODSQUAD SIGNATURE : Bon la, je crois qu’il n’y a que des superlatifs pour décrire sa musicalité. Il délivre une sonorité onctueuse et suave à la fois. La plus belle de ses qualité réside dans la medium. Unique en son genre, extrêmement présent et articulé, la présence des interprètes est quasi physique. La Scène sonore est très large et profonde (oui c’est possible sur les SBLs) avec une précision inouïe. La il creuse très nettement la différence avec les lecteurs NAIM. Dans ce domaine, il surpasse très nettement le CDS. La voix de BREL est tellement extraordinaire que l’on à l’impression qu’il est devant nous. C’est moins le cas avec le CDS, la voix étant plus mat, la rendant peut-être moins présente.
Le MODSQUAD, à une grande capacité à transmettre l’émotion. Sa fluidité dans le médium y contribue grandement. La ou le CDS est très droit et tendu, impressionnant. Le MODSQUAD, lui, joue la carte de la finesse avec tous pleins de petits rebonds et de légèreté. Beaucoup d’air entre les instruments.
Le grave quoique, un peu rond comparé au CDS, ne s’affale jamais et ressemble beaucoup au meilleur de l’analogique.
Il sait combiner à merveille un médium très dense, une scène sonore large et une justesse de timbre unique. Il rend justice aux voix en les rendant très humaines.
Suite plus tard…..