y a pas à dire : les grands ensembles jazz c'est magnifique (et ça sonne "grave" sur nos sytèmes)
S1 : Qnap HS251+/UptoneAudio JS2->Audioquest Diamond-> Switch->Audioquest Diamond ND555+555-DR->SL->552-DR->SL->300DR/Fraim->SL->Proac D30R sur NORDOST Frey-> QB8 S2 : Moon180/Meiyan/Hegel HD12->32.5/HC/160 -> Linn Sara/ Pieds Sara S3 : Qute -> Linn Kan S4 et plus : des Nac12, 22 des Nap110, 120 et 160
Un petit peu de quietude...Magnifique moment avec ce .......trio! c'est aussi le titre de l'album de
marcin wasilewski :trio
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alors, soit vous n'aimez pas.......soit......il y a trop de quiétude
mais ça n'a pa l'air de déchainer les foules. Pourtant il doit bien y avoir des fans du style ECM dont ce disque est un brillant représentant.
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mais ce disque est tellement beau qu'il peut nous transporter où l'on veut
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troubadour a écrit :J'ai cru que c'était un disque de Tryo, l'hymne de nos campagnes, tout ça...
'spèce de hippie !
"♫ sometimes...♫ music ♫ can transport you to unknown places of wonder lift the spirit, and just make you feel so good. ♫" CDS3 / XPS / 250 / 252 / SC / Allaeeaea / Naca 5 /PLx2 Technics 1200 MKII / Creek OBH18 / Ortofon 2M Red
Arcam AirDAC
J'aime pas tryo, c'est vraiment le groupe de con...ds finis à mon avis.
J'ai regardé/écouté par contre quelques videos de live de l'autre trio, ça me plaît bien!
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J'ai quelques LP pour lesquels je me dis qu'ils justifient à eux seuls de m'être équipé d'un tourne-galettes (bon, d'accord, cet argument est un peu foireux...) Way out West du grand Sonny Rollins (Contemporary Records, C3530, mono ; S7530 stéréo ; pressage US stéréo de la fin des années 1960, label jaune), est l'un de ceux-là :
Cet album reste célèbre à plus d'un titre.
Pour sa pochette, d'abord, dont l'idée revient au sens de l'humour de Rollins lui-même, et la géniale photo de William Claxton.
Ensuite, car il s'agit du premier disque enregistré en trio sans piano. C'est une idée qui trottait dans la tête de Sonny Rollins depuis quelque temps et que Lester Koenig, le producteur de Contemporary, le label en vogue de la West Coast, lui donne finalement l'occasion de réaliser en mars 1957. Et il n'y a guère qu'un saxophoniste à la présence musicale hors du commun, à la sonorité si affirmée et à la personnalité aussi forte que Sonny Rollins pour oser se lancer dans un tel pari : assurer ses solos sans les accords de soutien d'un pianiste, et laisser un espace inédit à son bassiste et à son batteur. Un beau tour de force...
Et enfin, ce disque est l'un des premier LP de jaaaazz enregistré en stéréo et en mono. L'édition stéréo sort, d'après les spécialistes, en 1959, moins de deux ans après l'édition en mono (qui sort fin 1957 ou début 1958). Mais ce n'est pas tout : la prise de son de ce disque est réellement somptueuse, d'une intensité rare, pour tout dire !
Mais, plus important à mes yeux, c'est la qualité, la puissance de la musique distillée par les trois compères qui confère toute sa magie à ce disque magnifique. Une part de cette magie tient peut-être aux conditions dans lesquelles le disque fut enregistré.
À l'occasion d'une tournée en Californie du quintet de Max Roach, Sonny Rollins profite de son premier séjour dans l'Ouest et de la présence de Ray Brown, alors à Los Angeles avec Oscar Peterson dont il est l'inestimable bassiste, et du batteur Shelly Manne, l'un des meilleurs de la Côte Ouest, qui joue avec son propre groupe, pour répondre à la sollicitation de Lester Koenig qui souhaite lui faire enregistrer un LP. Les engagements des trois musiciens font que la session sera finalement calée dans le studio de Contemporary, à Los Angeles, le 7 mars 1957... à 3 h du matin !
On comprend alors fort bien le choix de Ray Brown et de Shelly Manne pour seconder Rollins : il fallait des musiciens d'exception pour soutenir et propulser Rollins, et en même temps jouer des chorus de toute beauté au beau milieu de la nuit, après une journée déjà bien remplie !
À 7 h, après quatre heures de boulot, la moitié de l'album est mise en boîte par le maître des lieux, Roy DuNann, et Rollins dit : « I'm hot now » ! Le reste de la séance est bouclé dans la journée et donne un LP d'anthologie, l'un des enregistrements de Rollins à ne pas rater.
Je ne suis pas certain qu'on perçoive aussi bien l'étendue de la palette du jeu de Sonny Rollins mieux que dans ce disque. Outre la qualité de l'enregistrement et le format inédit du trio pianoless, l'interprétation de standards tels que « I'm an Old Cowhand » ou « Wagon Wheels » dans laquelle Rollins instille son amour des westerns de sa jeunesse new-yorkaise, ou des deux thèmes de son cru (« Come Gone » et « Way out West ») font partie de ses plus belles réussites discographiques...
Même sans aimer le jaaaaaaaaazzz, je pense qu'on peut trouver plein de bonnes choses dans ce disque indispensable et que l'on trouve, bien entendu, sous tous les formats possibles...
Pour se faire une idée, le premier titre de la face 1, « I'm an Old Cowhand », avec l'intro de Shelly Manne évoquant la sensation d'être paisiblement en selle :
Modifié en dernier par Gagl le 27 janv. 2013, 11:33, modifié 1 fois.
CD5 XS ; Pro-Ject 2 Xperience + DV 20X2H, Pro-Ject SB DS, Ear 834P + Telefunken 1963 ; HS251 + Meyian, ultraRendu + LPS-1.2, USB Totaldac, Chord Hugo TT SuperNait 2 Sbis : 32.5 led rouge, hicap olive, 110 led rouge Nac a5 ; Vienna Acoustics BBG ; HD 650 Plein de ficelles
Gagl, ça suffit, mon budget disques n'est pas illimité, je vais finir par me faire engueuler par ma femme !
- c'est pas moi, c'est Gagl, y m'a obligé, l'était trop bonne sa critique !
- il a bon dos, Gagl...
- j'te jire, chérie, une tuerie, une fois que tu as lu sa chronique, si t'écoutes pas le disque, t'as l'impression d'avoir raté ta semaine
- oh pitin, il est où ce Gagl, ce briseur de ménage, y va m'entendre !
- naan, mais j't'explique, Sonny Rollins SANS piano, t'imagine, c'est dingue, non ? Imle faut ce disque, ilme faut tout de suite
Au hasard du rangement, je redécouvre des disques. Celui-ci a de quoi nourrir votre platine vinyle.
Shelly Manne_EWLF-98009: gravure directe sans compromis. Tout le monde dans un studio et on joue.
Le meilleur des matériels de l'époque (80'). Micros, NEVE, amplificateurs/gravure!!! Dynamique non galvaudée. Une batterie chez vous, sans oublier le reste. L'image est d'une stabilité parfaite sur une prise de son assez mat mais d'une précision assez étonnante. Attention les systèmes (de A à Z) anémiques. Il fera partie à coup sur de mes sauvegardes.
Si jamais ça vous passe dans les mains, vous ne serez pas déçus... tout comme votre système.
un de mes préférés.
Mais attention, vous pouvez rester scotchés avec ça......
un bien beau live, intimiste et prennant. un enregistrement de qualité.
Kenny Barron, Charlie Haden : Night And The City
S1 : Qnap HS251+/UptoneAudio JS2->Audioquest Diamond-> Switch->Audioquest Diamond ND555+555-DR->SL->552-DR->SL->300DR/Fraim->SL->Proac D30R sur NORDOST Frey-> QB8 S2 : Moon180/Meiyan/Hegel HD12->32.5/HC/160 -> Linn Sara/ Pieds Sara S3 : Qute -> Linn Kan S4 et plus : des Nac12, 22 des Nap110, 120 et 160