C'est celle-là ?Ratafia a écrit :Elle est dans mon intégrale du Wiener Philharmoniker, j'y cours.

Tu sais où je pourrais trouver la liste des CD qui sont dedans ?
C'est celle-là ?Ratafia a écrit :Elle est dans mon intégrale du Wiener Philharmoniker, j'y cours.
Merciphilhifi a écrit :Oui , dans ta boîte !!!
Un morceau de choix effectivement. Le rock-n-roll de la fin du scherzo convaincra les plus réticents à KarajanRatafia a écrit :Elle est dans mon intégrale du Wiener Philharmoniker, j'y cours.PascalB a écrit :Et on termine encore par une version "alternative" :
Tchaikovsky : Symphonie n°6
Herbert von Karajan / DG
Cet enregistrement de 85 est un des 4 ou 5 meilleurs enregistrements de Karajan avec sa 9ème de Mahler de 82, sa 7ème et sa 8ème de Bruckner en 88 et 89 ou encore sa 1ère de Brahms en 88. Karajan y est époustouflant de maîtrise, le Wiener est d'une puissance incroyable, bref, c'est beau. La 5ème de la même époque est aussi bonne.
Je suis un des réticents à Karajan mais ça ne m'empêche pas de posséder et d'apprécier une bonne vingtaine de ses enregistrements dans lesquels il atteint des sommets. Son intégrale des Symphonies de Beethoven des années 60, son Requiem de Brahms de 64, sa 7ème de 89 et sa 8ème de 88 de Bruckner, sa 9ème de Mahler de 82 pour le centenaire du Berliner, sa 1ère de Brahms de 88 à Tokyo, sa 10ème de Shostakovitch de 69 à Moscou devant Shostakovitch sont de vrais trésors !Ratafia a écrit :Un morceau de choix effectivement. Le rock-n-roll de la fin du scherzo convaincra les plus réticents à Karajan
Très musical, après deux bières à 13° je chanteGVTahiti a écrit :Tiens, Pascal a changé d'avatar ...
Tu as bien fait, le nouveau est beaucoup plus ... musical
On peut dire ce qu'on veut de lui (et comme toi, je serais le premier à me joindre à la critique), li nous laisse à chacun au moins deux ou trois références. Pour ma part, je n'ai jamais entendu un troisième de Saint-Saens au niveau de celle qu'il a enregistré avec le Berliner, et puis il y a Liszt, et cette Butterfly de 1955 avec Callas...PascalB a écrit :Je suis un des réticents à Karajan mais ça ne m'empêche pas de posséder et d'apprécier une bonne vingtaine de ses enregistrements dans lesquels il atteint des sommets. Son intégrale des Symphonies de Beethoven des années 60, son Requiem de Brahms de 64, sa 7ème de 89 et sa 8ème de 88 de Bruckner, sa 9ème de Mahler de 82 pour le centenaire du Berliner, sa 1ère de Brahms de 88 à Tokyo, sa 10ème de Shostakovitch de 69 à Moscou devant Shostakovitch sont de vrais trésors !
A ça on peut ajouter ses symphonies de Brahms, de Dvorak, ses Strauss, ses Tchaikovsky parmi lesquels figurent beaucoup d'enregistrements de référence
Ah oui ses Saint-Saens et les oeuvres orchestrales de Liszt ! Et aussi ses Strauss : Zarathoustra, Une Symphonie Alpestre, Une vie de Héros... tiens finalement j'ai peut-être plus de Karajan que ce que je pensaisRatafia a écrit :On peut dire ce qu'on veut de lui (et comme toi, je serais le premier à me joindre à la critique), li nous laisse à chacun au moins deux ou trois références. Pour ma part, je n'ai jamais entendu un troisième de Saint-Saens au niveau de celle qu'il a enregistré avec le Berliner, et puis il y a Liszt, et cette Butterfly de 1955 avec Callas...PascalB a écrit :Je suis un des réticents à Karajan mais ça ne m'empêche pas de posséder et d'apprécier une bonne vingtaine de ses enregistrements dans lesquels il atteint des sommets. Son intégrale des Symphonies de Beethoven des années 60, son Requiem de Brahms de 64, sa 7ème de 89 et sa 8ème de 88 de Bruckner, sa 9ème de Mahler de 82 pour le centenaire du Berliner, sa 1ère de Brahms de 88 à Tokyo, sa 10ème de Shostakovitch de 69 à Moscou devant Shostakovitch sont de vrais trésors !
A ça on peut ajouter ses symphonies de Brahms, de Dvorak, ses Strauss, ses Tchaikovsky parmi lesquels figurent beaucoup d'enregistrements de référence
J'ai réécouté dernièrement celle qu'il avait enregistrée à Vienne en 88 je crois et qui fut longtemps une référence pour le magazine Diapason. Ces retrouvailles me confirment que le seul chef ayant réussi à capter mon attention tout au long d'une symphonie de Mahler est bien Abbado.PascalB a écrit :Mahler : Symphonie n°9
Abbado - Berliner Philharmoniker / DG
Une magnifique interprétation live de la plus complexe et certainement la plus belle des symphonies de Mahler. Abbado est au top dans une symphonie qu'il aime et qu'il a déjà enregistré 2 fois et le Berliner n'a jamais sonné aussi beau
Puisqu'on parlait de lui hier, une autre magnifique version d'une tension et d'une beauté incroyable, c'est celle de Karajan en 82 donné à Berlin à l'occasion des 100 ans de l'orchestre. Un des ses plus beaux enregistrements et une des plus belles 9ème de Mahler aussiRatafia a écrit :J'ai réécouté dernièrement celle qu'il avait enregistrée à Vienne en 88 je crois et qui fut longtemps une référence pour le magazine Diapason. Ces retrouvailles me confirment que le seul chef ayant réussi à capter mon attention tout au long d'une symphonie de Mahler est bien Abbado.
Puisqu'on parlait de lui hier, une autre magnifique version d'une tension et d'une beauté incroyable, c'est celle de Karajan en 82 donné à Berlin à l'occasion des 100 ans de l'orchestre. Un des ses plus beaux enregistrements et une des plus belles 9ème de Mahler aussiPascalB a écrit :
Bernstein venait de perdre sa femme, il se retrouvait plus ou moins dans le même état d'esprit que Mahler au moment de la composition de cette symphonie d'où l'ambiance lourde et pesante. J'aime bien cette version, elle n'est pas de tout repos, il faut la réserver pour les jours de grande formeRatafia a écrit :Même orchestre, à trois ans de différence, sous la direction de deux géants qu'on a souvent opposés.
Bernstein en impose à la première écoute, c'est certain. Mais par la suite, le caractère menaçant et sans doute opportun de sa vision (Mahler venait de découvrir la maladie qui allait l'emporter), maintient tout de même à distance, sauf bien sûr si l'on souhaite le suivre sur cette voie plutôt morbide.
Je ne te le fais pas dire.PascalB a écrit : il faut la réserver pour les jours de grande forme