Une petite sélection rapide et sans ordre particulier ?  
 
Il y a des disques dont on peut aisément extraire un morceau, selon son humeur du moment. Par exemple :
John Coltrane, 
Lush Life (1957), notamment « Lush Life » ;
Count Basie, 
The Atomic Mr. Basie (1957), pour « Lil’ Darlin’ » ;
Cannonball Adderley (avec Bill Evans), 
Know What I Mean?, notamment la version de « Waltz for Debby » ;
Ernestine Anderson, 
My Kinda Swing (1960), pour « It’s a Lazy Afternoon »...
Et puis, il est des disques dont l'atmosphère 
blue, 
after midnight est en soi une invitation à l'écoute tardive et tranquille, des disques que l'on l'on peut laisser s'écouler le temps d'un bon verre...
Miles Davis, 
'Round About Midnight (1956) ;
Chet Baker, 
Diane (1985) ;
Archie Shepp, 
Blue Ballad (1995) ;
Barney Wilen, 
La Note Bleue (1987) ; 
New York Romance (1994) ;
Bill Evans, 
Sunday at the Village Vanguard (1961) ; 
Conversation with Myself (1963) ;
Ben Webster, 
The Warm Moods (1961) ;
Charlie Haden - Hank Jones, 
Come Sunday (2011) ;
Stanley Turrentine & the Three Sounds, 
Blue Hour (1960).
On peut aussi avoir envie de se laisser emporter par des voix féminines... 
Annie Ross, 
Sings a Song with Mulligan (1957) ;
Billie Holiday, 
Solitude (1953) ;
Peggy Lee, 
Black Coffee (1956) ;
Sarah Vaughan with Clifford Brown (1954) ;
Sheila Jordan, 
Portrait of Sheila (1962)...
 
