Quelqu'un a écouté? J'ai acheté le CD car je n'ai pas des masses d’interprétations de ce sublime quintette. Je l'ai pris car j'adore le label la dolce volta et que la pochette m’attirait. Une fois le CD en main, wahou, je suis fou des pochettes de CD magnifiques mais là c'est clairement le plus beau disque que j'ai, et puis avec le gros livret ca pèse son poids, ca fait sérieux, on ne se rend pas compte en le voyant comme ça, bref, ce n'est pas le propos. J'ai écouté le quintette hier soir, surement trop tard vers 23h minuit, je n'ai pas du tout adhéré. Je ne sais même plus en quoi d'ailleurs, trop fatigué, on va dire que ça m'a semblé haché, sauf le dernier mouvement. Quelqu'un a écouté?
"Un roi sans divertissement est un homme plein de misères". B. Pascal.
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Fred
Ce n'est pas parce que je n'ai rien à dire que je dois fermer ma g...le n'est-ce pas ?
Donc non je ne connais pas cette version du quintette op.34 de Brahms. Je ne peux donc rien en dire
Je ne connais que la version Rubinstein + Quatuor Guarneri qui est sublimissime
J'ai écouté : j'ai beaucoup aimé. Pas une version spectaculaire, mais je n'aime pas trop l'emphase dans cette oeuvre. qui doit rester chambriste. 2eme mouvement très beau. Le piano n'a semblé au début un tout petit peu mise en avant par la prise de son mais cette impression s'est vite estompée. Je préfère globalement cette version à celle que j'écoute habituellement (Pollini + italianno).
A+
FredM a écrit :
Il y a comme ça des œuvres dont on écoute en priorité une interprétation plutôt qu'une autre, même si celle qu'on aime n'est vraiment pas la meilleure, soit qu'on l'ait lu, soit qu'on nous l'ait dit, et même qu'on s'en soit rendu compte en comparant les interprétations. On se rend bien compte qu'objectivement il y a mieux comme interprétations, plus maîtrisées, mieux enregistrées, plus emplies d'émotions, enfin mille raisons quasi objectives qui placent nos petits favoris parfois loin du podium. Mais voilà, c'est par ces interprétations pas top dans l'absolu qu'on a connu et aimé une oeuvre, qu'on l'a écoutée maintes fois, si bien que l'émotion est au rendez-vous à chaque écoute. Je serais heureux de lire quelles sont pour vous les œuvres / interprétations qui rentrent dans cette catégorie. Curieux je suis.
SDG a écrit :
Pour répondre à ta question : toutes interprétations qui marquent la première fois a toutes les chances de rester longtemps sur le podium personnel. Avec un peu de chance on tombe bien dès le début. Au piano j'ai commencé par les disques de Kempff, Argerich, Richter, Gould. Peu de chance de se gourrer.
Mais c'est un piège. Depuis pas mal de temps je raye de ma mémoire ces disques de référence. je m’astreint à un régime sévère : jamais la même interprétation d'une oeuvre, ecoute de nouveautés uniquement. Et puis rayer de la carte la notion de version de référence : c'est sclérosant, ça éloigne des artistes contemporains, c'est chiant à la longue.
Difficile Fred de mieux analyser les phases de découverte de la musique classique, avec leurs inévitables prolongements sur nos habitudes d’écoute
Ns devons être nombreux à ns reconnaître ds tes propos.
SDG, tu exprimes simplement mais clairement les travers de nombreux mélomanes (tout particulièrement les mélomanes-audiophiles, dont je fais partie!) et ce qu’il convient de faire pour retrouver le détachement indispensable ds nos choix d’écoutes.
Quel dommage de se priver de tant d’oeuvres et d’interprétations fabuleuses uniquement parce que nous sommes esclave de nos habitudes ou pensons posséder « La Référence « !
Je vais essayer d’appliquer tes recommandations
MERCI !
Lorsque tu fais quelque chose, sache que tu auras contre toi, ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui voulaient le contraire, et l’immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire. [Confucius]
Merci de ne pas vous mélanger les pinceaux quand vous manipulez les "quote" pour faire des citations. Parfois le message devient incompréhensible. C'est peut-être le cas pour le post qui précède ?
filip-63 a écrit : ↑30 oct. 2019, 18:44Merci de ne pas vous mélanger les pinceaux quand vous manipulez les "quote" pour faire des citations. Parfois le message devient incompréhensible. C'est peut-être le cas pour le post qui précède ?
OK, sorry!
C’est pas tjs évident! Surtout lorsque l’on revient en arrière sur le fil et qu’il y a déjà eu plusieurs réponses!
Mais, cela ne doit pas arriver ==> ==> ==>.
Lorsque tu fais quelque chose, sache que tu auras contre toi, ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui voulaient le contraire, et l’immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire. [Confucius]
En écoutant le quatuor n°13 "Rosamunde" de Schubert je me suis encore fait la remarque que dans un de ses mouvement il y avait une très courte phrase (de 3 à 4 secondes), souvent répétée, et que j'ai entendue chez un autre compositeur qui l'aurait reprise dans sa musique de chambre... j'en suis certain mais je ne parviens pas à mettre le doigt dessus. A priori je penche pour Brahms ou une auto citation de Schubert lui même. Si quelqu'un a une idée je suis carrément preneur, ça m'agace un poil.
Heu, dis donc Fred ... Tu écoutes toujours de la musique avec l'oeil rivé au chronomètre ... ou seulement lorsque tu es un poil agacé ?
Gérald
Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire ...
La parole est d'argent, le silence est d'or mais c'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule, si ?? La vie est trop courte pour écouter triste ... ou en silence !!!
FredM a écrit : ↑21 nov. 2019, 15:13
Merci d'avoir essayé! . Moi j'ai trouvé hier à minuit! Brahms quintette op 111:
Salut Fred,
C'est donc Brahms qui a copié ! Oh le vilain. De nos jours on lui ferait un procès.
De mon côté j'avais joué, mais je n'ai pas trouvé.
D'ailleurs peu on tes compétences, tu restes indétrônable.