Bonjour à tous,
Il est bien naturel que les avis ce différencient( les gouts, les couleurs), la mise en œuvre d'un système et son obtention émotionnelle, dépendent de plusieurs paramètres dont la compatibilité dans la pièce d'écoute; sapristi de passion quand tu nous tient
Pour ma part l'un des systèmes qui à une époque m'avais le plus impressionné en terme de réalisme et de plaisir, était un système Linn actif, mis en œuvre chez Hifi 35 par Jean- Yves Bassaler importateur Linn. Ce week-end d'écoute avait fait l'unanimité, certains sont revenus le lendemain. Je conserve aussi un bon souvenir de l'écoute des panneaux Diptyqueaudio prodiguées par les concepteurs, chez ADHF avec électroniques Aesthetix.
Çà n'engage que moi en rapport avec ma perception, perso la Linn LP12 a évolué dans le bon sens. Ma première LP12 pré-nirvana(1980) sonnait bien pour son époque; j'ai failli la revendre pour acheter une Pink-Triangle ou HeyBrook TT2, ces deux platines étaient

, la mise en place d'une carte valhalla sur lp12 m'a encouragé à la garder, quand le Lingo l'alim du moteur est arrivé, cette upgrade a fait passer la LP12 dans une dimension tout autre, toutes les qualités de la LP12 d'origine ont été sublimées; sans aucunes mauvaises accentuations à moins que ne ce soit immiscé un facteur dégradant; ce que peut représenter le revers d'une définition supérieur. Franchement à ce niveau atteint, je n'arrive pas à comprendre qu'il puisse être préféré les LP12 d'avant

. J'ai bien aimé le bras Linn ITTOK, cependant là aussi les bras Ekos apportent clairement un plus: les basses sont moins rondes, tout aussi présente et mieux nuancées. Bien qu'elle faisait l'affaire, la sous-platine et la planchette support de bras restaient un assemblage fragile par trois mini visses; Linn à mis au point des systèmes de contre-platines encore plus rigide et homogène mécaniquement, sans altération de la fréquence de résonance originelle, la signature sonore respecte l'esprit Lp12 tout en s'affirmant.
Les circuits phono Naim restent des petites merveilles intégrées dans les boites; J'ai eu privilège d'avoir en essais tour à tour pendant plusieurs jours des préampli-phono de très bonnes factures surtout par rapport au prix des cartes Naim. Ces préamplis étaient excellents, ils apportaient un plus en volume sonore avec un peu plus d'énergie; cependant une fois les cartes phono naim remises en action, une sensation de transparence et d'homogénéité refaisait surface tout en ne ressentant pas de manque d'énergie. Je trouve que le Linn Urika tout en préservant l’homogénéité, m'apporte un peu plus de tout par rapport aux cartes, pas à un point d'ignorer les cartes. Il m'est arrivé de les remettre pour voir, elles offrent toujours une excellente efficacité, le meilleur rapport prix/performances. Cependant avec l'Urika j'éprouve un peu comme une addiction

; Avec le Naim Superline grand pré-phono alimenté par une Supercap DR, dans mon contexte ce dernier procurait une telle énergie que je n'arrivais pas à m'y adapter comparativement aux cartes embarquées.