Vos "coup de coeur" : musique classique

[filip63]

Schubert, Winterreise, Benjamin Appl, James Baillieu.



Somptueux, magique.

A garder absolument, à coté de Dietrich et de Matthias

[FredM]

Tu es vraiment le plus grand fan de cette œuvre!

[RV]

Schubert, Winterreise, Benjamin Appl, James Baillieu.



Somptueux, magique.

A garder absolument, à coté de Dietrich et de Matthias

Très belle interprétation

J’aime beaucoup aussi celle de Ernst Haefliger

Classica loue la prise de son de ce disque. Est-ce que tu as noté quelques saturations, par exemple lors des forte du Lied Wasserflut ?

[Lio84]

Rita Strohl: Sonate pour Violoncelle et piano « Titus et Berenice », solitude (rêverie)
George Onslow - Sonate pour violoncelle et piano

[filip63]

Schubert, Winterreise, Benjamin Appl, James Baillieu.

Somptueux, magique.

A garder absolument, à coté de Dietrich et de Matthias

Très belle interprétation

Classica loue la prise de son de ce disque. Est-ce que tu as noté quelques saturations, par exemple lors des forte du Lied Wasserflut ?

Non, aucune saturations, aussi bien sur le S1 que sur le S2.
La prise de son est admirable effectivement.
Nul doute que le mastering devrait ravir Bruno, ou on en perd son latin ...

[RV]

Non, aucune saturations, aussi bien sur le S1 que sur le S2.
La prise de son est admirable effectivement.
Nul doute que le mastering devrait ravir Bruno, ou on en perd son latin ...

J’en avais un peu avec un gain réglé à +12dB, j’avais écrit quelques mots sur çela dans mon fil install pour ne pas parasiter celui-ci
Je mets le lien pour les intéressés

viewtopic.php?p=549450#p549450

[naim21]

Le seul moyen pour le savoir serait d'analyser les fichiers et d'écouter, bien entendu.

Les saturations ressenties peuvent, en effet, provenir d'un mastering GDL, mais pas que.
Le positionnement du système d'enregistrement peut faire ça aussi.
De même que la saturation d'un micro... quand on connait la puissance vocale de certains interprètes, ça ne peut pas être exclu.

Ce phénomène de saturation ressenti est désormais, et fort heureusement, rare.
C'était quelque chose de fréquent auparavant avec les vinyles.
Graver est toujours possible avec les moyens PRO utilisés. Lire est parfois une autre paire de manches et dépend d'énormément de facteurs.
Cela se traduisait souvent par un "pincement" dans les forte, symptomatique d'une lecture mécanique "aux limites" de ses capacités.
Des fois, il était même impossible de lire le passage (par exemple, TELARC 1812 et ses canons descendant aux extrêmes).
On pouvait aussi VOIR le bras osciller à très basse fréquence en ou hors phase avec l'équipage mobile de la cellule ! Là, on se dit que disque et platine sont mal mariés.

Au final, et en faisant abstraction de ces cas mécaniques exceptionnels, la saturation peut provenir aussi (et bien plus souvent qu'on ne le pense ou l'imagine) d'étages de gains successifs non adaptés entre eux, que ce soit en lecture mécanique (cas du vinyle) ou numérique (CD ou démat).

Et pour le numérique, il est plus que difficile de s'y retrouver.
En gros, il FAUT que TOUS les maillons de la chaîne de traitement des 0&1 soient compatibles entre eux.
Pour mémoire, il n'y a PAS de limite numérique autre que le 0dBFS (FS signifiant Full Scale) qui se réfère à l’échelle maximale de valeurs que peut traiter le système numérique.
"Par contre, Il est IMPOSSIBLE de spécifier une valeur analogique universelle comme référence. On peut très bien se trouver face à un appareil numérique doté d’entrées et de sorties analogiques (un convertisseur A/D-D/A par exemple), pour lequel le 0 dBFS correspond à une valeur arbitraire fixée par le fabricant. Chez l’un, on pourra lire que le 0 dBFS correspond à une amplitude de 0 dBu à l’entrée du convertisseur A/D, chez un autre, on pourra lire que le 0 dBFS correspond à une amplitude de -10 dBu à l’entrée du convertisseur A/D. En général ces valeurs tournent autours de -18, -16dbu. Il est tout de même important de savoir à quels niveaux on doit travailler en entrée et en sortie d’un équipement numérique et si vous possédez plusieurs convertisseurs avec des valeur différentes, il faudra être capable de les calibrer à la même valeur".

On pourrait, ou aurait pu, penser qu'avec le numérique la normalisation des niveaux serait de mise... et ben NON!
L'exemple qui suit devrait éclaircir (ou pas) ce décor des "niveaux numériques".
Quelques rapports dB analogique/numérique:
- En Europe : -18 dB fs <=> +4 dBu
- Aux USA : -20 dB fs <=> +4 dBu
- En Radio : -16 ou -14 ou -12 dB fs <=> +4 dBu
Cette valeur de +4 dBu prend sens avec ce qu'affichait, en dB analogique, un vu-mètre; 0 VU = +4 dBu = 1,228 V.

Faire "bosser" des éléments numériques entre eux de façon cohérente n'est pas si facile que ça.
La saturation en numérique génère des bruits épouvantables. Un trop faible niveau générera des artefacts sonores, le système pouvant ne plus être utilisé dans la norme/plage constructeur.
Sans oublier bien sûr l'impact sur le signal analogique qui sort de tout ça.
Je vous laisse imaginer une entrée analogique (nous n'écoutons et n'entendons pas en numérique, enfin pas encore) dont la sensibilité est au standard domestique à -10dBv (soit 0,316 V) qui reçoit un signal de 1,228 V. Le "Headroom" (en gros marge avant saturation) fait que les circuits vont "encaisser" le signal sans (trop) broncher, soit.
Maintenant, imaginez que la source numérique envoie des signaux "bien copieux". Cela arrive sur les forte ou avec des éditions GDL...
Là, ce n'est plus la même, le signal émis pouvant passer de 1,228 V à plusieurs volts.

De bien beaux moments d'écoute en perspective, ne trouvez-vous pas?

PS; désolé pour cette digression "analogique/numérique" déjà évoquée dans d'autres posts.

[RV]

Dès lors qu’il est question de musique lyrique, Opéra Magazine est une revue qui généralement signale de belles découvertes.
Parmi celles-ci :

Rachmaninov : Dissonance - Asmik Grigorian (chant) & Lukas Geniusas (piano)





De plus, je trouve l’enregistrement parfaitement réussi sur le plan technique, ce qui ne gâte rien

[tatchik74]

Découvert hier sur France5
Pene Pati
Un ténor des îles Samoa

[groucho78]

Schubert, Winterreise, Benjamin Appl, James Baillieu.



Somptueux, magique.

A garder absolument, à coté de Dietrich et de Matthias

Je viens d'écouter : magnifique en effet

[RV]

Schubert, Winterreise, Benjamin Appl, James Baillieu.



Somptueux, magique.

A garder absolument, à coté de Dietrich et de Matthias

Il n’est pas rare que les critiques divergent que ce soit en musique, en cinéma, el littérature, etc.
Selon moi les désaccords, voire les contradictions sont plutôt bénéfiques à la critique et aux objets critiqués.

Ce disque ne fait pas exception. Si il ne se fait pas éreinter dans le dernier numéro (mai) d’Opéra Magazine, il fait l’objet d’une critique pour le moins acerbe.

[Lio84]

Découvert hier sur France5
Pene Pati
Un ténor des îles Samoa

En effet, album magnifique !

[Lio84]

Franz Liszt - Années de pèlerinage - Sonnets de Pétrarque
Hommage à Nicholas Angelich

Et quelle musique !

[Zarbos]

Le nouveau CD des derniers quatuors à cordes de Josef Haydn par le nouveau quatuor Prazak publié chez le label Français Praga Digitals racheté en 2021 par Little Tribeca après le décès du fondateur de Praga Digitals, Pierre Emile Barbier.
Un Cd qui tourne en boucle

[groucho78]

Franck et merci pour cette suggestion.
Les quatuors de Haydn sont pour la plupart des pépites