Crise des subprimes : une explication très simple pour ceux qui
essayent encore de comprendre.
Alors voilà, Mme. Ginette a une buvette à Reichshoffen, dans le Bas Rhin.
Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles
clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée.
Vu qu'elle vend à crédit, Mme. Ginette voit augmenter sa
fréquentation et, en plus, peut augmenter un peu les prix de base du
"calva" et du ballon de rouge.
Le jeune et dynamique directeur de l'agence bancaire locale, (Crédit
Agricole) quant à lui, pense que les "ardoises" du troquet
constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Mme.
Ginette, ayant les dettes des ivrognes comme garantie.
Au siège de la banque, des traders avisés transforment ces actifs
recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles
financiers que nul n'est capable de comprendre.
Ces instruments financiers servent ensuite de levier au marché
actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, aux Bourses
de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les
garanties sont totalement inconnues de tous (c.à.d., les ardoises des
ivrognes de Mme. Ginette).
Ces "dérivés" sont alors négociés pendant des années comme s'il
s'agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés
financiers de 80 pays.
Jusqu'au jour où quelqu'un se rend compte que les alcoolos du troquet
de Reichshoffen n'ont pas un rond pour payer leurs dettes.
Les contribuables viennent en aide aux banques et la buvette de Mme. Ginette fait faillite.
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Le problème c'est que madame Ginette avait juste 300 millions de clients !
et qu'en plus d'ouvrir des ardoises à tous ses clients et leur aurait aussi refilé plein de cartes de crédit à l'américaine (genre révolving) pour lesquelles il va aussi faloir bientôt mettre la main à la poche ! ! ! :perdu
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Une fois dans un village, un homme apparut et annonça aux villageois qu'il achèterait des singes pour 10 $ chacun. Les villageois, sachant qu'il y avait des singes dans la région, partirent dans la forêt et commencèrent a attraper les singes. L'homme en acheta des centaines à 10$ pièce et comme la population de singes diminuait, les villageois arrêtèrent leurs efforts. Alors, l'homme annonça qu'il achetait désormais les singes à 15$. Les villageois recommencèrent a chasser les singes. Mais bientôt le stock s'épuisa et les habitants du village retournèrent à leurs occupations. L'offre monta à 20$ et la population de singes devient si petite qu'il devint rare de voir un singe, encore moins en attraper un. L'homme annonça alors qu'il achèterait les singes 50$ chacun. Cependant, comme il devait aller en ville pour affaires, son assistant s'occuperait des achats. L'homme étant parti, son assistant rassembla les villageois et leur dit : « Regardez ces cages avec tous ces singes que l'homme vous a achetés. Je vous les vends 35$ pièce et lorsqu'il reviendra, vous pourrez lui vendre a 50$. » Les villageois réunirent tout l'argent qu'ils avaient, certains vendirent tout ce qu'ils possédaient, et achetèrent tous les singes. La nuit venue, l'assistant disparut. On ne le revit jamais, ni lui ni son patron, que des singes qui couraient dans tous les sens. Bienvenue dans le monde de la bourse !
La crise financière ? C'est comme une bonne grosse explosion nucléaire vue de loin en direct : ça éblouit d'abord, on trouve ça presque joli parce que ça ne concerne que ceux qui sont sur le point d'impact... et puis on commence à ressentir les vibrations du sol annonciatrices du souffle qui va nous venir dessus, et puis on pense que les retombées à long terme vont nous empoisonner la vie pour longtemps, à nous et à nos enfants, qu'on n'y pourra rien de toute façon.
Tant qu'à vivre moins bien autant en profiter pour le moment, aimer, écouter de la musique, claquer le fric qu'on aura bientôt plus même si on l'avait économisé.
C'est l'histoire d'un mari qui ne dormait pas.
-- "Pourquoi ne dors tu pas" demanda sa femme
-- "Parce que je dois payer le voisin demain pour le cochon que nous avons mangé à Noël", répondit-il, "et je n'ai pas l'argent pour le rembourser".
Alors la femme se leva, ouvrit ses fenêtres en grand, et cria:
--"Hé! voisin!"
Le voisin ouvrit ses fenêtres pour lui répondre:*
-- "Que se passe-t'il voisine?"
--"C'est bien demain que mon mari doit te payer?"
--"Oui, demain" répondit le voisin
--"Hé bien nous n'avons pas de quoi te rembourser. Nous n'avons plus un sou!".
La femme referma les volets, se faufila dans le lit et dit à son mari:
--"Tu vois, maintenant c'est lui qui ne va pas dormir!"
Pour le moment le crise financière est pas trop impactante sur mes petites affaires, mais la crise immobilière dans ce beau pays maconnais et bien réelle!!!
Il y a pléthore de biens à la vente ( dont ma maison ) et pratiquement aucuns acheteurs !!!