Et vous lisez quoi en ce moment ?

[RV]

Bon courage pour Le Château, je l’ai lu il y a un peu plus longtemps que toi et j’avoue que je ne le mettrais pas dans la pile "à relire"

C’est rigolo, c’est un livre dont je parlais avec mon fils la semaine dernière.

[love_leeloo]

Pour une fois j'ai lu un livre pendant mes vacances (d'habitude, je ne lis que des BD)

trouvé au Leclerc du coin :

"La Constance du prédateur" de Maxime Chattam

Ils l’ont surnommé Charon, le passeur des morts. De son mode opératoire, on ignore tout, sauf sa signature, singulière : une tête d’oiseau. Il n’a jamais été arrêté, jamais identifié, malgré le nombre considérable de victimes qu’il a laissées derrière lui. Jusqu’à ce que ses crimes resurgissent du passé, dans les profondeurs d’une mine abandonnée...

Plongez avec Ludivine Vancker dans le Département des Sciences du Comportement, les profilers, jusque dans l’âme d’un monstre.

J'adore Maxime Chattam, j'ai lu presque tout ses livres (j'ai une préférence pour ceux sur les serial tiller bien gore).
celui ci ne déroge pas à la règle.
j'ai bien aimé.
il faut que je lise les 3 premiers livres de la série "Ludivine Vanker"

et si vous voulez attaquer, je vous conseille "La Trilogie du mal"



PS : j'ai quand même lu plein de BD

PPS : j'en ai profité pour me prendre 2 livres dans une libraire également, que je viens d'attaquer :

"JE N'ÉTAIS PAS LA BIENVENUE" de Nathalie Guibert

Première femme dans le huis clos d’un sous-marin nucléaire.
Un mois enfermée dans un sous-marin nucléaire d’attaque… Nathalie Guibert est la première femme et la première journaliste autorisée à pénétrer à bord d’un de ces bâtiments de la marine française. Seule parmi soixante-quinze hommes, elle a partagé le quotidien d’une fraternité méconnue qui garde jalousement ses secrets. Elle livre ici le récit de ce huis clos captivant.
Elle raconte la vie hors du temps, baignée par une lumière jaune artificielle, l’engagement des hommes, l’organisation à bord, la promiscuité, la joie des escales, le sentiment d’étouffement lorsqu’on ne peut échapper à un camarade agaçant. Elle dépeint des caractères forts et révèle un lieu où l’on peut vivre quinze jours sans savoir que les Twin Towers sont à terre, qu’un nouvel ordre mondial est en marche. Une expérience que l’on partage avec frénésie, page après page.

"LA LIBERTÉ À MAINS NUES" de Patrick Edlinger, Jean-Michel Asselin

L’autobiographie de Patrick Edlinger, écrite avec son ami Jean-Michel Asselin.
Révélé dans les années 1970 grâce au court métrage La Vie au bout des doigts, Patrick Edlinger, génie de la grimpe et géant de l’escalade, était en accord profond avec les éléments. Ce grimpeur magnifique avait la capacité de « lire » le rocher. D’une seule main, il se balançait avec élégance au-dessus du vide, faisant à peine ­frissonner l’air autour de lui. La simplicité de son mode de vie, son choix de la liberté ont contribué à faire de lui une source d’inspiration.
Puis est venu le temps de la confession, et c’est à son ami Jean-Michel Asselin qu’il a décidé de se livrer sans concession, révélant, dans ce récit de vie écrit en duo, ses fragilités, dévoilant l’homme sans retoucher le génie de l’artiste.

[RV]

J’ai lu quelques uns des premiers mais cela fait un moment que je n’ai pu lu de livres de cet auteur. Je me souviens d’un avec un apnéiste qui construisait des cabanes étanches à l’air. N’est-il pas l’auteur des Rivières pourpres, que j’ai lu également. Mais j’ai un doute quant à l’auteur

[love_leeloo]

Tu confonds avec Jean-Christophe Grangé

[RV]

Ah oui , même le roman avec l’apnéiste ?

[love_leeloo]

Possible

https://www.senscritique.com/livre/La_L ... ire/167676

[RV]

Ah oui

J’ai quand même l’impression que j’ai lu Maxime Chattam je vais aller jeter un œil dans sa bio. Peut-être retrouverai-je le titre

[RV]

Sans que cela soit délibéré, je viens de lire à la suite 3 livres qui se passent sur une île : Pour chaque serment que tu brises un polar aux accents hitchcockien de Peter Swanson que j’ai évoqué dans le fil cinéma. Les invisibles de Roy Jacobsen qui décrit la vie plutôt rude sur une île minuscule au nord de la Norvège au début du XXe siècle et qui est en fait le premier livre d’une série qui pour l’instant en comprend 4.

Et ce dernier que je viens de terminer et qui est l’objet du post

Sukkwan Island de David Vann

Un livre aussi prenant qu’inoubliable, basé sur un traumatisme de l’auteur. Alors qu’il avait 13 ans, le père de David Vann lui a demandé de venir avec lui vivre sur une île isolée en Alaska. Il a refusé et son père s’est suicidé quelques semaines plus tard.

Dans le roman, le fils, Roy, accepte la proposition. Et l’auteur imagine ce qu’aurait pu être cette "aventure". Une catharsis glaçante.

Il s’agit d’un roman superbe mais d’une grande noirceur. À ne pas lire les jours de déprime.