 capté le 23 octobre 1968 :
 capté le 23 octobre 1968 :
Le titre quelque peu énigmatique se réfère au nom du proprio d'un des plus prestigieux club de New York, le Village Gate, qui comportait deux niveaux (Evans jouait en haut ce soir-là)...
Ce superbe double-CD présente Bill Evans accompagné de ses deux compères de l'époque, Eddie Gomez à la basse et Marti Morell à la batterie, excellents, comme à chaque fois. Et cet enregistrement, pour moi, ne l'est pas moins : Bill Evans, inspiré et serein (mais en est-il vraiment autrement avec ce pianiste ?) y déploie son jeu fait de lyrisme et de swing, de recueillement et de tension...
De plus, certains thèmes joués sont les premières versions enregistrées par Bill Evans en public ...
Je n'oublie pas la prise de son, de très bonne facture...
Bref, c'est un vrai bonheur et je me régale...

 
				







 C'est un beau document de septembre 1980 capté quelques jours seulement avant la mort de l'artiste, et c'est ce coffret-ci :
 C'est un beau document de septembre 1980 capté quelques jours seulement avant la mort de l'artiste, et c'est ce coffret-ci :
 
 

 Je vois le dématérialisé surtout comme une occasion de connaître, d'écouter ou de posséder des albums dont la distribution en CD se réduit comme peau de chagrin. Et puis, il n'est pas bien compliqué de « rematérialiser » des fichiers de bonne qualité avec une gravure soignée. C'est alors une bonne occasion de comparer le rendu de sa source CD et de sa solution dématérialisée...
   Je vois le dématérialisé surtout comme une occasion de connaître, d'écouter ou de posséder des albums dont la distribution en CD se réduit comme peau de chagrin. Et puis, il n'est pas bien compliqué de « rematérialiser » des fichiers de bonne qualité avec une gravure soignée. C'est alors une bonne occasion de comparer le rendu de sa source CD et de sa solution dématérialisée...
 Stéphane ).
  Stéphane ).