GVTahiti a écrit : ↑06 juil. 2025, 03:25
Boudiou ... j'l'avais raté, cette très belle intervention du Mélodrame !! C'est réparé ... si on ne lui répond pas, il déprime !!
C'est à ce point, Gérald?
Déprimer pour ça?!
Il est vrai que les restes du Monde ne s'y prêtent pas du tout, en ce moment...
Plus ou moins sérieusement, le sujet mérite, à mon sens, que je partage des infos et constats, même si ça n'intéresse que peu et conduit à parler de technique.
Technique et Musique sont, AMHA, intimement liés, notamment avec l'exploitation, ou du moins la tentative de le faire, de données mécaniques, contraignantes et limitant de facto les possibilités de gravure ET de lecture.
J'avais ouvert un
post il y a quelques mois, cherchant un pré Phono MC.
J'y ai "décortiqué" mon installation équipée d'un Stageline S afin d'en tracer les différentes étapes de tests et leurs conséquences "sonores".
Il va sans dire que cela n'augure en rien du résultat d'écoute, chacun ayant SES critères, aimant ceci et/ou cela.
Le tout, comme toujours, est de trouver un compromis acceptable (technique, financier, sonore, utilisation...).
Désormais, le système de lecture décrit a retrouvé sa place dans mon installation DIY, à l'exception de l'alimentation de la SSL SiX qui est celle d'origine constructeur. Cet équipement fait le job, lit les disques très correctement et permet de les écouter sur un système pas HiFi pour deux ronds mais, a contrario, révélateur de beaucoup d'informations, sonores et musicales.
Depuis un mois, quelques
nouveaux venus sont installés dans mon antre. J'ai fait quelques tests très rapides et superficiels afin de débuter mon apprentissage d'utilisation de ces machines nouvelles.
D'ici la fin de l'année, je pense pouvoir "décortiquer" à son tour ce système électro-mécanique.
Cela me permettra d'en connaitre un peu plus à son sujet et de savoir/comprendre comment et jusqu'où aller pour extraire et conserver au mieux les informations contenues dans le sillon des disques de ma collection. Enfin, de certains...
J'enrichirai donc ce sujet avec les nouvelles données dont je disposerai.
La rédaction d'un guide logique pour réaliser ces opérations dans de bonnes conditions est en projet, tant pour l'aspect électro-mécanique de la chose que pour son côté informatique, car il s'agit bien de cela.
Si les DAC lisent des 0&1 dans nombre d'installations, certains savent aussi encoder de l'analogique.
Et là, comme dans beaucoup d'autres domaines, il est préférable, du moins est-ce mon approche, de savoir ce qu'il faut faire, ou plutôt ce qu'il ne faut pas faire. Si le numérique est solide et fiable, mieux vaut en maîtriser CONTENU et CONTENANT pour éviter des déconvenues sonores.
En n'oubliant également jamais que le numérique est destructeur; ce qui est fait est fait, il n'y a pas de retour en arrière possible une fois que c'est enregistré.
L'aventure continue donc avec tous ces Objets Sonores et elle s'annonce vraiment pleine de découvertes, sonores, musicales et techniques.
Celles et ceux que cela intéresse pourront disposer d'informations réelles et factuelles sur ce sujet.
Cette numérisation n'a d'autre objectif que de disposer d'une interprétation d'un disque (chaque système a la sienne, qui plait plus ou moins d'ailleurs) pour en assurer la pérennité et en permettre l'écoute dans un cadre autre que celui d'une installation difficilement transportable ou transposable.
Un clone numérique, sans retouche aucune sauf à corriger les affres du temps et d'une lecture mécanique, par frottement je le rappelle.
