Mac, iMac
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Marc,
Ton avatar 2 fois de suite, l'un en dessous de l'autre, c'est TROOOOOOP :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
Bon, en fait, si je suis sur Mac, c'est un hasrd: lors du choix de mon logiciel médical il y a 13 ans, celuis ci n'existait que sous Mac; je serais sans doute sous windows ou vista si il n'avait existé que sur PC
A +
Ton avatar 2 fois de suite, l'un en dessous de l'autre, c'est TROOOOOOP :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
Bon, en fait, si je suis sur Mac, c'est un hasrd: lors du choix de mon logiciel médical il y a 13 ans, celuis ci n'existait que sous Mac; je serais sans doute sous windows ou vista si il n'avait existé que sur PC
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Ca, c'est pas du Audiard mais du Coluchefilip-63 a écrit :Tu nous fait du Audiard maintenant ?CAMEO172 a écrit :"Je m’énerve pas, j’explique"filip-63 a écrit : Mais pourquoi tu prends la mouche Caméo, Playchess parlait aussi de la marque "PC".
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CAMEO172 a écrit :....
de là à croire que je suis étroit d'esprit, je te laisse juge, autorise moi juste à savoir de quoi je parle et à avoir choisi mon partie.
:cache :vanne
Mais il est complêtement fou ce mec!
Mais moi, les dingue j'les soigne.
J'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévêre !
J'vais lui montrer qui c'est Raoûl.
Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon puzzle.
Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus, j'dynamite, j'disperse, j'ventile... :perdu
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Attention hein ! Pas de bourre-pif !Playchess a écrit :CAMEO172 a écrit :....
de là à croire que je suis étroit d'esprit, je te laisse juge, autorise moi juste à savoir de quoi je parle et à avoir choisi mon partie.
:cache :vanne
Mais il est complêtement fou ce mec!
Mais moi, les dingue j'les soigne.
J'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévêre !
J'vais lui montrer qui c'est Raoûl.
Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon puzzle.
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juste pour le plaisir :filip-63 a écrit :y-en a aussi !RV a écrit :et mollo sur la pomme !
à+
Hervé
1) http://fr.youtube.com/watch?v=FZmVVszcW9k
2) http://fr.youtube.com/watch?v=f8PtTKaXDTI
et une question, pour les fondus de ce film culte :
Le gimmick à la mandoline intervenant après les "bourre-pif" de raoul volfoni serait tiré d'un concerto grosso de Corelli (dont on verrait la pochette lorsque Claude Rich - alias Antoine- se trouve chez le disquaire).
Quelqu'un peut-il confirmer et donner la référence exacte ?
Merci.
Bruno.
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Il faut que je ressorte le DVD ...peinard_bed a écrit :juste pour le plaisir :filip-63 a écrit :y-en a aussi !RV a écrit :et mollo sur la pomme !
à+
Hervé
1) http://fr.youtube.com/watch?v=FZmVVszcW9k
2) http://fr.youtube.com/watch?v=f8PtTKaXDTI
et une question, pour les fondus de ce film culte :
Le gimmick à la mandoline intervenant après les "bourre-pif" de raoul volfoni serait tiré d'un concerto grosso de Corelli (dont on verrait la pochette lorsque Claude Rich - alias Antoine- se trouve chez le disquaire).
Quelqu'un peut-il confirmer et donner la référence exacte ?
Merci.
Bruno.
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Je crois que toutes les musiques du film sont des arrangements de ce même concerto (dont je ne connais pas le titre, mais quelqu'un va sûrement trouver ça).peinard_bed a écrit :Le gimmick à la mandoline intervenant après les "bourre-pif" de raoul volfoni serait tiré d'un concerto grosso de Corelli
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Voilà peut-être une réponsepeinard_bed a écrit :Je l'espère, car même une "googlisation" poussée du problème semble ne rien donner.Amator a écrit : Je crois que toutes les musiques du film sont des arrangements de ce même concerto (dont je ne connais pas le titre, mais quelqu'un va sûrement trouver ça).
C'est tout de même un comble
..... le morceau de Corelli que l'on entend dans le film n'est nullement de Corelli.
En effet Michel MAGNE s'est inspiré d'un tube du groupe des années 60 "Le Carillon de Notre-Dame" (dont on entend la version originale durant la boum organisée par Patricia) pour le décliner en plusieurs versions musicales pour le film (thème récurant) dont "une fameuse sonate à la manière de Corelli" ! Eh oui il a été très fort et nous, nous avons cru que cette sonate du maître italien existait et était la base du thème musical du film.
Il faut dire que Lino Ventura examine une pochette de disque de Corelli pour encore plus nous tromper.
....
http://www.michelaudiard.com
Une autre :
le réalisateur Georges Lautner aura cette phrase en parlant de Michel Magne : “Pour les Tontons Flingueurs, il m’a pondu une musique à la frontière du canular”. Il faut dire que Magne lui expliqua ainsi son concept : construire la partition sur les 4 notes du bourdon de Notre-Dame… Dans l’état actuel de mes recherches sur le net (chercher une aiguille dans une botte de foin …!), il s’inspira d’un thème de Corelli (vraisemblablement un concerto grosso, bien que tous les sites précisent qu’il s’agit d’une sonate), ou bien encore d’un tube d’un groupe des années 60 “Le Carillon de Notre-Dame” (dont on entend la version originale durant la boum organisée par Patricia).
Quelle qu’en soit la source, il en déclina le début du thème (l’incipit, pour les puristes) dans de multiples versions, toutes plus hilarantes les unes que les autres : swing, twist, tango, “film noir”, version en mineur, slow, liturgique (avec une cantatrice ayant probablement vu Dieu de très près et ne s’en étant pas vraiment remise…peut-être la variation la plus délirante), et la célébrissime variante banjo-piano qui ponctue chaque bourre-pif que reçoit Raoul Volfoni (Bernard Blier). La version baroque de ce thème serait peut-être un pastiche, une sonate ou un concerto “à la manière de Corelli”. Pour brouiller davantage les pistes, on voit même Lino Ventura examiner une pochette de disque mentionnant le compositeur baroque tout en avalant son casse-croûte : clin d’oeil de Lautner et Magne ?
La seule scène instrumentale qui échappe au procédé de la variation nous fait entendre la musique concrète que compose Antoine Delafoy (Claude Rich) dans son appartement, au milieu d’instruments étranges : robinets, tubes de verre, flasques supendues et magnétos à bande.
En utilisant cette bonne vieille technique du thème récurrent (on serait tenté d’utiliser le terme de leitmotiv, cher à Wagner, mais celui-ci est réservé à un court thème musical attaché à un personnage, un sentiment, un objet), Michel Magne réalise un bon gros gag, et comme le film fonctionne au deuxième degré, son utilisation ne dépare pas au sein de ce film à l’humour inégalable.
http://www.pazblog.fr/?m=200601&paged=2
Intéressant et rigolo.
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je vous remercie pour ce très haut moment de culture !
je me dépêche de communiquer ce détail fabuleux à mon père grand adorateur du film !
ce film est unique en ce genre et même sa BO est un honneur à l'humour avec un grand H.
on est bien loin de Camping 3 :?
je me dépêche de communiquer ce détail fabuleux à mon père grand adorateur du film !
ce film est unique en ce genre et même sa BO est un honneur à l'humour avec un grand H.
on est bien loin de Camping 3 :?
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Beau travail d'investigation, Filip !filip-63 a écrit :
Voilà peut-être une réponse
..... le morceau de Corelli que l'on entend dans le film n'est nullement de Corelli.
En effet Michel MAGNE s'est inspiré d'un tube du groupe des années 60 "Le Carillon de Notre-Dame" (dont on entend la version originale durant la boum organisée par Patricia) pour le décliner en plusieurs versions musicales pour le film (thème récurant) dont "une fameuse sonate à la manière de Corelli" ! Eh oui il a été très fort et nous, nous avons cru que cette sonate du maître italien existait et était la base du thème musical du film.
Il faut dire que Lino Ventura examine une pochette de disque de Corelli pour encore plus nous tromper.
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Une autre :
le réalisateur Georges Lautner aura cette phrase en parlant de Michel Magne : “Pour les Tontons Flingueurs, il m’a pondu une musique à la frontière du canular”. Il faut dire que Magne lui expliqua ainsi son concept : construire la partition sur les 4 notes du bourdon de Notre-Dame… Dans l’état actuel de mes recherches sur le net (chercher une aiguille dans une botte de foin …!), il s’inspira d’un thème de Corelli (vraisemblablement un concerto grosso, bien que tous les sites précisent qu’il s’agit d’une sonate), ou bien encore d’un tube d’un groupe des années 60 “Le Carillon de Notre-Dame” (dont on entend la version originale durant la boum organisée par Patricia).
Quelle qu’en soit la source, il en déclina le début du thème (l’incipit, pour les puristes) dans de multiples versions, toutes plus hilarantes les unes que les autres : swing, twist, tango, “film noir”, version en mineur, slow, liturgique (avec une cantatrice ayant probablement vu Dieu de très près et ne s’en étant pas vraiment remise…peut-être la variation la plus délirante), et la célébrissime variante banjo-piano qui ponctue chaque bourre-pif que reçoit Raoul Volfoni (Bernard Blier). La version baroque de ce thème serait peut-être un pastiche, une sonate ou un concerto “à la manière de Corelli”. Pour brouiller davantage les pistes, on voit même Lino Ventura examiner une pochette de disque mentionnant le compositeur baroque tout en avalant son casse-croûte : clin d’oeil de Lautner et Magne ?
La seule scène instrumentale qui échappe au procédé de la variation nous fait entendre la musique concrète que compose Antoine Delafoy (Claude Rich) dans son appartement, au milieu d’instruments étranges : robinets, tubes de verre, flasques supendues et magnétos à bande.
En utilisant cette bonne vieille technique du thème récurrent (on serait tenté d’utiliser le terme de leitmotiv, cher à Wagner, mais celui-ci est réservé à un court thème musical attaché à un personnage, un sentiment, un objet), Michel Magne réalise un bon gros gag, et comme le film fonctionne au deuxième degré, son utilisation ne dépare pas au sein de ce film à l’humour inégalable.
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Intéressant et rigolo.
La piste Corelli semble donc s'éloigner un peu. Dommage ...
Il n'en reste pas moins vrai que la musique sert le film à merveille.
Pour info, rappelons que Michel Magne a également composé celles de : un singe en hiver, mélodie en sous-sol, OSS 117, Fantomas (la série) et... Angélique (la série).
Bruno.