Berlioz: Requiem

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Baskerville
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Berlioz: Requiem

Message par Baskerville »

Cher(e)s mélomanes éclairés de ce Fort Rhum, je cherche (pourrait-on dire désespérément?) une bonne version de ce Requiem.
Bonne version dans le sens interprétation bien sûr, mais aussi bonne version technique.
C'est une œuvre très dynamique avec de grands pics et des vallées profondes et les versions en ma possession ne rende pas compte de tous cela.
Je possède en vinyl et en CD la version de Colin Davis et le L.S.O (enregistrement 1969)
L'interprétation est sensible mais les pics sont écrêtés.
Le "Dies Irie" est un jour de colère avorté, car au moment crucial "l'explosion" reste au même niveau que la mesure précédente comme sous l'effet d'une compression.
Même impression en vinyl et en CD, avec en prime pour le CD une remasterisation, comment dire, deg....(Super digital transfer, 96kHz 24-bit)
Merci la technique, où est la musique?
Mon autre version est celle de Levine (de 1992) avec le philharmonique de Berlin, belle interprétation musicale, mais Pavarotti... :evil:
Que vaut la nouvelle version de C. Davis?
Quelqu'un connait-il la version de Munch?
... ou une autre version.

J'adore le CR de Berlioz himself sur la première interprétation de son œuvre:

Le Requiem

Alors qu'à travers l'Europe, il était considéré comme un héros romantique, il demeurait un ennemi à Paris où la musique était avant tout affaire de politique et de pouvoir, d'alliances et de trahisons.
Ainsi, lorsqu'il obtint un contrat du ministère des beaux-arts pour une messe des morts, les partisans du directeur du Conservatoire, Cherubini, tentèrent (en vain) de faire échouer le contrat. Mais après qu'il eut fini l'œuvre (en l'espace de trois mois), que les arrangements eurent été pris pour sa création, le ministère annula, sans explication, le concert.
Le Requiem eut sa chance, toutefois, grâce au concours d'amis bien placés, en décembre 1837 en la chapelle des Invalides, décorée de milliers de chandelles, et en présence de la famille royale, du corps diplomatique et de toute la société parisienne ; Berlioz avait obtenu 190 instrumentistes, 210 choristes, quatre ensembles de cuivres placés dans les coins de la chapelle, ainsi que seize timbales.
« Au moment de [l'entrée des quatre orchestres de cuivre], au début du Tuba mirum qui s’enchaîne sans interruption avec le Dies irae, le mouvement s’élargit du double; tous les instruments de cuivre éclatent d’abord à la fois dans le nouveau mouvement, puis s’interpellent et se répondent à distance, par des entrées successives, échafaudées à la tierce supérieure les unes des autres. Il est donc de la plus haute importance de clairement indiquer les quatre temps de la grande mesure à l’instant où elle intervient. Sans quoi ce terrible cataclysme musical, préparé de si longue main, où des moyens exceptionnels et formidables sont employés dans des proportions et des combinaisons que nul n’avait tentées alors et n’a essayées depuis, ce tableau musical du Jugement Dernier, qui restera, je l’espère, comme quelque chose de grand dans notre art, peut ne produire qu’une immense et effroyable cacophonie.
Par suite de ma méfiance habituelle, j’étais resté derrière Habeneck et, lui tournant le dos, je surveillais le groupe des timbaliers, qu’il ne pouvait pas voir, le moment approchant où ils allaient prendre part à la mêlée générale. Il y a peut-être mille mesures dans mon Requiem. Précisément sur celle dont je viens de parler, celle où le mouvement s’élargit, celle où les instruments de cuivre lancent leur terrible fanfare, sur la mesure unique enfin dans laquelle l’action du chef d’orchestre est absolument indispensable, Habeneck baisse son bâton, tire tranquillement sa tabatière et se met à prendre une prise de tabac. J’avais toujours l’œil de son côté ; à l’instant je pivote rapidement sur un talon, et m’élançant devant lui, j’étends mon bras et je marque les quatre grands temps du nouveau mouvement. Les orchestres me suivent, tout part en ordre, je conduis le morceau jusqu’à la fin, et l’effet que j’avais rêvé est produit. Quand, aux derniers mots du chœur, Habeneck vit le Tuba mirum sauvé: « Quelle sueur froide j’ai eue, me dit-il, sans vous nous étions perdus! — Oui, je le sais bien, répondis je en le regardant fixement. » Je n’ajoutai pas un mot … L’a-t-il fait exprès ? Serait-il possible que cet homme, d’accord avec M. XX., qui me détestait, et les amis de Cherubini ait osé méditer et tenter de commettre une aussi basse scélératesse ? Je n’y veux pas songer… Mais je n’en doute pas. Dieu me pardonne si je lui fais injure. »
— Hector Berlioz, Mémoires, chap. XLVI.

Le Requiem lui gagna une acclamation immense de la part des critiques ainsi que de la part du public.
"Every Joke Is Half The Truth"
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Roksan Radius 5 / Ortofon MC Quintet Black S / IMac27 alu / AE / Micromega CDf1 / Micromega Duo Pro2 / NAC 102 / DualTeddyCap III / AR Sound / NAP 140 / ProAc Responce D1 --> MusiqueS
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Ratafia
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Ratafia »

Baskerville a écrit :Cher(e)s mélomanes éclairés de ce Fort Rhum, je cherche (pourrait-on dire désespérément?) une bonne version de ce Requiem.
Bonne version dans le sens interprétation bien sûr, mais aussi bonne version technique.
C'est une œuvre très dynamique avec de grands pics et des vallées profondes et les versions en ma possession ne rende pas compte de tous cela.
Je possède en vinyl et en CD la version de Colin Davis et le L.S.O (enregistrement 1969)
L'interprétation est sensible mais les pics sont écrêtés.
Le "Dies Irie" est un jour de colère avorté, car au moment crucial "l'explosion" reste au même niveau que la mesure précédente comme sous l'effet d'une compression.
Même impression en vinyl et en CD, avec en prime pour le CD une remasterisation, comment dire, deg....(Super digital transfer, 96kHz 24-bit)
Merci la technique, où est la musique?
Mon autre version est celle de Levine (de 1992) avec le philharmonique de Berlin, belle interprétation musicale, mais Pavarotti... :evil:
Que vaut la nouvelle version de C. Davis?
Quelqu'un connait-il la version de Munch?
... ou une autre version.

J'adore le CR de Berlioz himself sur la première interprétation de son œuvre:

Le Requiem

Alors qu'à travers l'Europe, il était considéré comme un héros romantique, il demeurait un ennemi à Paris où la musique était avant tout affaire de politique et de pouvoir, d'alliances et de trahisons.
Ainsi, lorsqu'il obtint un contrat du ministère des beaux-arts pour une messe des morts, les partisans du directeur du Conservatoire, Cherubini, tentèrent (en vain) de faire échouer le contrat. Mais après qu'il eut fini l'œuvre (en l'espace de trois mois), que les arrangements eurent été pris pour sa création, le ministère annula, sans explication, le concert.
Le Requiem eut sa chance, toutefois, grâce au concours d'amis bien placés, en décembre 1837 en la chapelle des Invalides, décorée de milliers de chandelles, et en présence de la famille royale, du corps diplomatique et de toute la société parisienne ; Berlioz avait obtenu 190 instrumentistes, 210 choristes, quatre ensembles de cuivres placés dans les coins de la chapelle, ainsi que seize timbales.
« Au moment de [l'entrée des quatre orchestres de cuivre], au début du Tuba mirum qui s’enchaîne sans interruption avec le Dies irae, le mouvement s’élargit du double; tous les instruments de cuivre éclatent d’abord à la fois dans le nouveau mouvement, puis s’interpellent et se répondent à distance, par des entrées successives, échafaudées à la tierce supérieure les unes des autres. Il est donc de la plus haute importance de clairement indiquer les quatre temps de la grande mesure à l’instant où elle intervient. Sans quoi ce terrible cataclysme musical, préparé de si longue main, où des moyens exceptionnels et formidables sont employés dans des proportions et des combinaisons que nul n’avait tentées alors et n’a essayées depuis, ce tableau musical du Jugement Dernier, qui restera, je l’espère, comme quelque chose de grand dans notre art, peut ne produire qu’une immense et effroyable cacophonie.
Par suite de ma méfiance habituelle, j’étais resté derrière Habeneck et, lui tournant le dos, je surveillais le groupe des timbaliers, qu’il ne pouvait pas voir, le moment approchant où ils allaient prendre part à la mêlée générale. Il y a peut-être mille mesures dans mon Requiem. Précisément sur celle dont je viens de parler, celle où le mouvement s’élargit, celle où les instruments de cuivre lancent leur terrible fanfare, sur la mesure unique enfin dans laquelle l’action du chef d’orchestre est absolument indispensable, Habeneck baisse son bâton, tire tranquillement sa tabatière et se met à prendre une prise de tabac. J’avais toujours l’œil de son côté ; à l’instant je pivote rapidement sur un talon, et m’élançant devant lui, j’étends mon bras et je marque les quatre grands temps du nouveau mouvement. Les orchestres me suivent, tout part en ordre, je conduis le morceau jusqu’à la fin, et l’effet que j’avais rêvé est produit. Quand, aux derniers mots du chœur, Habeneck vit le Tuba mirum sauvé: « Quelle sueur froide j’ai eue, me dit-il, sans vous nous étions perdus! — Oui, je le sais bien, répondis je en le regardant fixement. » Je n’ajoutai pas un mot … L’a-t-il fait exprès ? Serait-il possible que cet homme, d’accord avec M. XX., qui me détestait, et les amis de Cherubini ait osé méditer et tenter de commettre une aussi basse scélératesse ? Je n’y veux pas songer… Mais je n’en doute pas. Dieu me pardonne si je lui fais injure. »
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Le Requiem lui gagna une acclamation immense de la part des critiques ainsi que de la part du public.

:bjr:

J'ai ses mémoires sur ma table de chevet.
Le Berlioz de Munch est un monde à lui seul. Le coffret RCA de ses enregistrements t'ouvrira des portes que les Anglais ne savent forcer même si Berlioz et ses auditeurs modernes leur doivent presque tout.
On retrouve chez ce diable de Munch l'énergie qui caractérisait le grand Hector. Grâce à lui j'ai redécouvert la Fantastique. Son allant transcende la qualité des deux enregistrements du coffret (dont un en mono) et il en va ainsi de tout le reste, y compris du requiem. C'est un peu comme lorsqu'on écoute un lecteur Naim pour la première fois. :vanne
CDX 2 ; XPS; AR Sound Lunar + ND5XS; Teddy XPS->
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Ratafia »

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Re: Berlioz: Requiem

Message par Ratafia »

Baskerville a écrit : « Au moment de [l'entrée des quatre orchestres de cuivre], au début du Tuba mirum qui s’enchaîne sans interruption avec le Dies irae, le mouvement s’élargit du double; tous les instruments de cuivre éclatent d’abord à la fois dans le nouveau mouvement, puis s’interpellent et se répondent à distance, par des entrées successives, échafaudées à la tierce supérieure les unes des autres. Il est donc de la plus haute importance de clairement indiquer les quatre temps de la grande mesure à l’instant où elle intervient. Sans quoi ce terrible cataclysme musical, préparé de si longue main, où des moyens exceptionnels et formidables sont employés dans des proportions et des combinaisons que nul n’avait tentées alors et n’a essayées depuis, ce tableau musical du Jugement Dernier, qui restera, je l’espère, comme quelque chose de grand dans notre art, peut ne produire qu’une immense et effroyable cacophonie.
.
Je viens de réécouter tout ça chez Munch. Et bien comme prévu, on y est. Surtout laisser venir, ne pas monter le son au début du Dies irae, ce n'est pas la peine. A déconseiller la nuit si l'on a des voisins. :toutjuste
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Baskerville
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Baskerville »

Ratafia a écrit :Je viens de réécouter tout ça chez Munch. Et bien comme prévu, on y est. Surtout laisser venir, ne pas monter le son au début du Dies irae, ce n'est pas la peine. A déconseiller la nuit si l'on a des voisins. :toutjuste
:ok: Que celui qui n'est pas sûr de la fiabilité de son materiel ni de la comprehension de ses voisins (s'il en a) ne s'avise de toucher au potar gauche pour monter vers midi. :mrgreen:
J'extrapole par rapport à ce que tu me dis de la version Munch et de ce qu'a mis en œuvre Berlioz
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Ratafia »

Baskerville a écrit :
Ratafia a écrit :Je viens de réécouter tout ça chez Munch. Et bien comme prévu, on y est. Surtout laisser venir, ne pas monter le son au début du Dies irae, ce n'est pas la peine. A déconseiller la nuit si l'on a des voisins. :toutjuste
:ok: Que celui qui n'est pas sûr de la fiabilité de son materiel ni de la comprehension de ses voisins (s'il en a) ne s'avise de toucher au potar gauche pour monter vers midi. :mrgreen:
J'extrapole par rapport à ce que tu me dis de la version Munch et de ce qu'a mis en œuvre Berlioz

:?: :?:

Sans vouloir préjuger de quoi que ce soit puisque je n'en ai jamais entendues, je me demande si tes enceintes de bibliothèque répondront totalement présentes au sollicitations des cuivres.
Ceci est une question et rien qu'une question. Les différences de niveau sonore sont bien mises en évidences sur mes panneaux, et l'étaient quelques fois trop avant l'apport de certaines évolutions. Avec mon install actuelle je peux dire qu'il s'agit là d'une qualité primordiale des Aerius.

:bjr:
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Baskerville »

Les tablette sont des enceintes qui répondent toujours "présent" à n'importe quel sollicitation, aucun soucis! :ok:
"Mieux vaut une bibliothèque bien conçue qu'une colonne mal foutue"
Proverbe italien
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Baskerville »

Grand merci Ratafia pour tes réponses... et ton lien: coffret en attente de livraison. :sante
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filip63
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Re: Berlioz: Requiem

Message par filip63 »

Baskerville a écrit :...Quelqu'un connait-il la version de Munch?
... .......
De laquelle parles-tu ? Celle du Boston Orch ou celle de la radio bavaroise ?

:cool:
:hello: Install: S1, S2, S3
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Baskerville
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Baskerville »

filip-63 a écrit :
Baskerville a écrit :...Quelqu'un connait-il la version de Munch?
... .......
De laquelle parles-tu ? Celle du Boston Orch ou celle de la radio bavaroise ?

:cool:
J'ignorais qu'il existait plusieurs versions!
Pour tout dire, à l'occasion de la remise en route de ma platine vinyl, j'ai redescendu du grenier une petite cinquantaine de disques noirs, dont une petite dizaine d'une même collection "Chefs-d'œuvre de l'art, Grand Musiciens" Hachette.
Des disques qui sortaient tous les 15 jours dans les années 60/70, au prix de 27 Frs avec le disque (bien sûr) et un booklet conséquent sur l'œuvre et le compositeur. La collection comporte, a priori une cinquantaine de vinyls
J'ai écouté plusieurs disques et me suis rendu compte que l'interprétation était excellente.
les conducteurs étaient Ozawa, Munch, etc...
C'est en regardant le programme des sorties que j'ai vu Berlioz/munch.
So simply! :bjr:
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Re: Berlioz: Requiem

Message par melomane »

Charles Munch... C'est pas tout jeune...de quand date l'enregistrement ? vous avez pas peur que ça "gratouille" un petit peu ?
Une suggestion plus récente ?...
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Re: Berlioz: Requiem

Message par eric76 »

Munch, Boston dans la collection "Living Stereo" rééditée en SACD hydride :ok:

Image
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Re: Berlioz: Requiem

Message par filip63 »

melomane a écrit :Charles Munch... C'est pas tout jeune...de quand date l'enregistrement ? vous avez pas peur que ça "gratouille" un petit peu ?
Une suggestion plus récente ?...
La version bavaroise de Deutsche Grammophon est de 1968.

:cool:
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Ratafia
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Ratafia »

filip-63 a écrit :
melomane a écrit :Charles Munch... C'est pas tout jeune...de quand date l'enregistrement ? vous avez pas peur que ça "gratouille" un petit peu ?
Une suggestion plus récente ?...
La version bavaroise de Deutsche Grammophon est de 1968.

:cool:
Ouais mais Berlioz, Boston, Munch c'est un mythe...
Et du côté de la prise de son ? Le meilleur de ce qui se faisait à l'époque ( 1959 pour La Grande messe des morts ).
:bravo
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Re: Berlioz: Requiem

Message par Ratafia »

Baskerville a écrit :Grand merci Ratafia pour tes réponses... et ton lien: coffret en attente de livraison. :sante

Serviteur !

Je reste à l'écoute de ce fil. Poste-nous ton verdict dès que possible !

:bjr:
Modifié en dernier par Ratafia le 12 déc. 2009, 23:03, modifié 1 fois.
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