maxwell a écrit :bensim09 a écrit :le unitiserver est considéré, en association avec un Ndac, supérieur à un CDS2+XPS (revue son et image).
Suivant quels critères?
extrait:
L’ÉCOUTE DE L’UNITISERVE RELIÉ AU DAC NAIM
Depuis quelques années j’observe avec intérêt, curiosité et un brin de scepticisme, la transition de la reproduction musicale vers les serveurs de musique. Sur les forums de discussion, on vante les mérites de la transition, mais aussi les difficultés et obstacles qui peuvent en découra- ger plus qu’un. Mais l’idée qu’un fichier numérique pour- rait sonner mieux que le CD duquel on l’a extrait a capté mon intérêt. Est-ce possible?
Oh que oui et c’est Robert Charlebois qui m’a convain- cu. Ce fut la première belle surprise. J’ai fait le compara- tif de l’ensemble UnitiServe et le convertisseur Naim DAC avec mon lecteur Naim CDS2 et son alimentation XPS, et la différence n’était pas subtile. Ma conjointe est une inconditionnelle de Charlebois et essaie depuis longtemps de m’y intéresser, notamment par son CD double Tout écartillé. Avant l’UnitiServe, l’écoute de cet album sur le lec- teur CDS2 et son alimentation XPS, demeurait toujours un peu énervant ce qui m’empêchait de poursuivre l’écoute. À travers le Bryston BCD-1 comme transport alimentant le convertisseur Naim, on gagnait en détails et texture, mais il manquait le facteur frisson. Une fois l’album extrait par l’UnitiServe et stocké sur son disque dur et relié au DAC de Naim via le câble DC1, je me suis installé avec ma conjointe et nous avons parcouru sans pause les deux disques, complètement ravis.
l’UnitiServe offre des gains notables sur le plan de la définition et donc de la texture, tout en conservant les traits caractéristiques de Naim : la propul- sion, l’énergie et le facteur frisson.
J’ai finalement saisi ce qu’est la musique de Charlebois, son génie et sa créativité, et eu l’impression d’avoir revé- cu toutes les époques de son œuvre. Si une composante audio peut me faire comprendre aussi clairement une par- tie de la culture de la province dans laquelle je vis, il s’agit de quelque chose de spécial. Comparé aux autres sourcesnumériques que j’ai eues l’occasion de tester avec le DAC de Naim, l’UnitiServe offre des gains notables sur le plan de la définition et donc de la texture, tout en conservant les traits caractéristiques de Naim: la propulsion, l’énergie et le facteur frisson. Il y a réellement plus d’informations disponibles et il n’est pas nécessaire d’avoir un DAC de haut niveau pour l’entendre.
J’écris ces lignes en écoutant des concertos de chambres de Telemann par le biais d’iTunes sur mon PC avec le Serve comme source, et je découvre une luminosi- té et un niveau d’expressivité qui m’ont échappé jusqu’à maintenant. (Telemann, Chamber Concertos, Musica Antiqua Köln, sur étiquette Archiv)
Après l’acquisition du DAC, j’étais, comme beaucoup qui ont acheté cet appareil, en attente d’une source numérique à la hauteur. L’UnitiServe relié au DAC offre une voie de communication directe avec l’artiste et son œuvre. Il y a un sentiment d’aisance, une présentation décontractée à la musique, un sentiment que de nouveau, comme dans mes années vinyle, la musique coule justement et parfaitement, peu importe le genre ou l’enregistrement. De surcroit, Naim livre un appareil parfaitement achevé dont on ne peut pas améliorer la performance par l’ajout d’une alimentation externe. Que c’est rafraichissant!
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