
Stinger, mon humble cheminement, désolé si cette intervention est décalée, hors sujet ou stupide pour certains :
un pré : n'est ce pas au départ un sélecteur de sources mécanique et un potentiomètre de volume (donc une résistance variable ) ?
Dans un système mono source, je n'ai jamais bien compris pourquoi il fallait l'alimenter électriquement, qu'est ce ? un potard , donc un pré ampli passif sans alimentation, sauf gadget de télécommande éventuelle et contrôle de tonalité je n'y voyais d'autre explication.
Chez la famille Naim, j'ai appris qu'il y avait une autre approche où le pré jouait un rôle majeur au sein du système.Des notions de masse en étoile pour rapprocher les sources de l'ampli (?) en tout cas cela justifie semble t'il les tarifs et légitiment des alimentations conséquentes.
A tel point que je me suis demandé pourquoi ne pas multiplier les amplis plutôt que d'y investir des pré si onéreux...qui ne sont qu'un bouchon potentiel dans le cheminement de la chaîne, selon l'idée que je m'en faisais, avant.
Le pré Naim serait pourtant donc si actif qu'il apporterait sa touche de musicalité, de puissance perçue et sa patte en terme de couleur musicale, pas seulement tonale mais en terme de timing, mieux qu'un égaliseur de haut vol finalement...?
Je constate que l'importance du pré et de son alimentation est essentiellement une question récurrente chez Naim, ailleurs l'absence de pré serait plutôt gage de plus de musicalité ? puisque moins de bouchons potentiels théoriquement ...
Après on peut imaginer des étages de sortie analogique d'une source équipée de cette même touche musicale que celle afférente au pré.
Désolé, cette question me taraude depuis quelquess annéess
Après la question des pré numériques m'intéresse un peu moins, je vis avec mais jamais en S1...
