kalisaudio a écrit :Bienvenue parmi les membres actifs, sirrensis.
quel est ton ressenti de : streaming vs lecture fichiers stockés sur le Macmini ?
Mon degré de précision dans l'écoute n'est pas élevé, du coup je ne me souviens pas percevoir d'écart entre les deux. Je vais réessayer suite à cette demande et reviendrai en fin de semaine.
La Bastille a écrit :Bienvenue Sirrensis,
Tu as donc craqué pour un abonnement Qobuz HiRes (sublime +) , avec la fibre peu de risque de manque de débit !
Effectivement. Néanmoins j'ai aussi confronté à des sautes d'humeur de réception: serveur Qobuz, saturation FAI, embouteillage d'usage de par les vidéos, jeux et musique écoutés en même temps en famille?
Un lien vers un article pêché sur le vert où diverses questions de ce fil y sont abordées
Avec peut-être quelques petites coquilles ou des morceaux d’articles antérieurs non réactualisés.
Essor du streaming
Les prochaines plate-formes
Répartition des gains
etc.
kalisaudio a écrit :Bienvenue parmi les membres actifs, sirrensis.
quel est ton ressenti de : streaming vs lecture fichiers stockés sur le Macmini ?
Mon degré de précision dans l'écoute n'est pas élevé, du coup je ne me souviens pas percevoir d'écart entre les deux. Je vais réessayer suite à cette demande et reviendrai en fin de semaine.
Ce soir j’ai essayé du Keith Jarret, Buena Vista social club, Benjamin Biolay, Ella Fitzgerald, Pierre Hentaï Magnificat, Pergolese. Je n’entends pas de différence entre la version streaming et la version achetée et stockée sur le MacMini. À chaque fois, le son passe par Audirvana, les fichiers sont en aiff et l'échantillonnage va du 16/44 au 24/192.
En accroche sur la couv de la revue Jazz News #68 H - décembre 2017 : la révolution du streaming, quésako
L’article en page 31 annonce le streaming comme : LA TENDANCE DE L’ANNÉE et s’intitule : « Le streaming est la plus grosse révolution de la musique depuis l’invention de la radio »
Il s’agit en fait d’une interview par Mathieu Durand de Sophian Fanen auteur du livre Boulevard du Stream : du mp3 à Deezer, la musique libérée (éd. Castor Music)
Il est bien entendu question de la montée en puissance du streaming, mais seuls des fournisseurs comme Spotify ou Deezer sont mentionnés, à la trappe Qobuz et Tidal.
Il y est également question du risque de faillite de ces plateformes du streaming, d’une forme de résistance des supports physiques, du potentiel de l’écoute des artistes grâce au streaming, etc.
Ces points ne sont évoqués que très brièvement, du fait de la forme de l’article : une courte interview promotionnelle d’un bouquin.
Pour ma part, après avoir lu l’article, je ne suis à même à juger de l’intérêt dudit bouquin
Ce sont pourtant les majors, qui ont le plus gros catalogue, qui s'en sortent le mieux avec le streaming. Les labels mineurs ne récupèrent que des cacahuètes.
Intéressant. Comme il est dit, ce sont pour l'instant les petits labels qui rament le plus avec le streaming, et donc s'accrochent au CD. Les labels moyennement importants, mais qui ont un ou plusieurs artistes à succès, peuvent déjà tirer les marrons du feu dématérialisée (Héraclite s'en retourne dans sa tombe).