Pourtant, en fin de compte, ce qui est mis à disposition du public, c’est un album hyper-compressé, au son plat et sans vie .
À qui la faute, sinon à cette catégorie de nuisibles de la production audio professionnelle (tu vois bien laquelle


Croisade perdue d’avance, je le sais bien, mais jamais dans ce domaine je ne voudrai faire partie de la catégorie de ceux auxquels s’applique le dicton « qui ne dit mot consent » …